Actualités Archives - Page 138 sur 183 - Urgences - Parce que la santé est primordiale!

admin23 septembre 2009
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Scène de violence au service des urgences de l’Hôpital Joseph Ravoahangy Andrianavalona à Ampefiloha. Samedi vers minuit, un homme de grande taille y a semé la pagaille. Un médecin, un brancardier et un agent de sécurité ont été victimes de coups et blessures.

L’agitateur accompagnait un homme qui venait de se faire détrousser dans la rue à Ambatonakanga. Ce dernier a été hospitalisé après s’être fait rouer de coups par des brigands qui ont volé son scooter. Des militaires qui l’ont retrouvé dans la rue dans un état inquiétant, l’ont conduit au HJRA où ses proches, dont le perturbateur, l’ont ensuite rejoint.

Un médecin urgentiste s’est engagé à prendre à la pharmacie de l’hôpital les médicaments vitaux nécessaires aux premiers soins. Il a demandé au blessé de régler la facture à la session une fois ses accompagnateurs arrivés.

L’homme de grande taille ne l’a pas entendu de cette oreille. Il s’est emporté pour se jeter sur le médecin après l’avoir invectivé. Arrêté par la police, l’homme a été mis en garde à vue au commissariat central.

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admin22 septembre 2009
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7min2270

Le Conseil national de lutte contre le sida (NAC)du Zimbabwe a acheté des médicaments antirétroviraux (ARV) pour une valeur de 890 000 dollars américains, après avoir été accusé d’avoir détourné des fonds générés par la taxe de trois pour cent, connue sous le nom de taxe sida, prélevée sur les salaires.

L’organe gouvernemental responsable de la coordination des efforts de lutte contre le VIH/SIDA a recueilli environ 1,7 million de dollars américains depuis février 2009. Toutefois, il n’a dépensé que 20 000 dollars en achat d’ARV, s’attirant les foudres des activistes engagés dans la lutte contre l’épidémie qui réclament un audit des états financiers.

La taxe sida a été mise en place en 1999 en vue de financer les programmes VIH/SIDA, notamment l’achat d’ARV. Toutefois, le NAC a souvent été sous le feu des critiques, car les fonds générés par l’impôt n’ont pas servi à améliorer la qualité de vie des personnes vivant avec le virus. En effet, selon divers récents rapports publiés par les médias locaux, la majorité des fonds auraient été utilisés pour financer des salaires et des avantages.

« Pendant des années, ce fonds a suscité plus de controverses qu’il n’a été bénéfique aux personnes vivant avec le VIH », a déploré Stanley Takaona, vice-président du Syndicat des activistes engagés dans la lutte contre le VIH/SIDA du Zimbabwe (ZHAU en anglais), qui a réclamé une réforme du NAC.

« Nous demandons que l’administration de ce fonds soit retirée des mains du NAC, afin que ce dernier puisse concentrer ses efforts sur son autre rôle qui consiste à coordonner les programmes VIH/SIDA au Zimbabwe. L’administration du fonds devrait être confiée à une organisation plus crédible. Nous réclamons également un audit minutieux des fonds générés par la taxe sida, au fil des ans », a souligné le syndicat.

Médecins Sans Frontières, l’organisation humanitaire médicale internationale, estime que 400 individus, sur le 1,7 million de personnes vivant avec le virus au Zimbabwe, meurent chaque jour des suites d’une maladie liée au sida. Selon le ministère de la Santé, quelque 155 000 patients reçoivent des ARV d’établissements sanitaires publics, soit un peu moins de la moitié des personnes nécessitant un traitement.

En juillet dernier, le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme a décidé d’écarter le NAC du rôle de bénéficiaire principal de ses subventions, après que la Reserve bank of Zimbabwe (RBZ) a détourné plus de sept millions de dollars de la subvention accordée par l’organisme international.

La RBZ a fini par restituer l’argent destiné à l’élargissement du programme national de distribution d’ARV, mais le Fonds mondial a décidé d’allouer ses subventions via le Programme des Nations Unies pour le développement.

« Pendant des années, ce fonds a suscité plus de controverses qu’il n’a été bénéfique aux personnes vivant avec le VIH »

« La taxe sida a été créée dans le but de prendre soin des personnes vivant avec le VIH, et non de verser des salaires et acheter des voitures de luxe aux administrateurs du fonds. Si nous acceptons cela [comme la norme], nous avons alors tout faux », a martelé le docteur Douglas Gwatidzo, président de l’Association des médecins zimbabwéens pour les droits humains.

« L’argent nécessaire au financement de la gestion de la taxe sida doit provenir du fisc, de cette façon, les fonds générés par l’impôt servent uniquement à l’achat des ARV, aux soins et au soutien des personnes vivant avec le VIH », a-t-il dit à IRIN/PlusNews.

Le NAC a réfuté les allégations, affirmant dans une déclaration n’avoir détourné aucun fonds. Selon lui, les délais sont imputables aux « longues procédures d’appel » et « au fait qu’il ne [soit] pas rentable d’acheter des ARV en puisant dans les fonds générés par la taxe sida sur une base mensuelle, car le coût de l’acquisition finirait pas excéder la marchandise prévue ».

M. Gwatidzo a estimé que le NAC ne devrait pas être autorisé à « garder en otage la vie des personnes vivant avec le VIH à cause de procédures d’appel… Je ne crois pas que des procédures d’appel puissent prendre jusqu’à huit mois pour être traitées. C’est de la vie des gens dont il est question ici, ils devraient faire preuve de sérieux ».

Lors d’un entretien accordé à un hebdomadaire officiel, The Herald, le docteur Tapuwa Magure, directeur exécutif du NAC, a indiqué que les ARV achetés dernièrement permettraient d’assurer le traitement d’au moins 4 000 personnes pendant un an.

La plupart des ARV disponibles auprès du secteur de santé public du Zimbabwe sont distribués par des donateurs étrangers, dont le Fonds mondial, le Fonds des Nations Unies pour l’enfance et la Fondation Clinton.

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admin22 septembre 2009
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5min1390

La directrice générale de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Margaret Chan, a indiqué lundi que le virus A(H1N1) n’avait apparemment pas encore muté vers une maladie plus grave et que l’accès au vaccin par les pays en développement constituait le principal défi.

Jusqu’à maintenant, les vaccins se sont révélés très efficaces, a déclaré Mme Chan, à l’ouverture à Hong Kong de la réunion annuelle de l’OMS pour la région Ouest pacifique.

« Le virus peut muter à tout moment. Mais depuis avril, nous pouvons constater à partir des données fournies par les laboratoires du monde entier que le virus est très similaire (à son état précédent) », a indiqué Mme Chan.

Trois milliards de doses de vaccin pourraient être produites chaque année, a-t-elle ajouté, précisant que la Chine avait déjà commencé à vacciner sa population.

Mme Chan a également souligné que le principal défi de la lutte contre la pandémie était de s’assurer que les pays en développement disposeraient d’assez de vaccins.

« Les résultats des premiers essais cliniques montrent qu’une seule dose du vaccin suffira. Si cela est confirmé, cette découverte va doubler le nombre de vaccins disponibles », a-t-elle expliqué.

« Mais la vraie question est la suivante : cela aura-t-il pour résultat une distribution plus équitable des vaccins ? Je vous l’assure : je vais étudier cette possibilité sous différents angles », a-t-elle ajouté.

La semaine passée, l’OMS avait indiqué que la production annuelle de vaccins contre la grippe H1N1 serait inférieure à celle qui était prévue et sera même « largement en dessous de 4,9 milliards » de doses.

« Les fournitures actuelles de vaccin pandémique ne couvrent pas les besoins de la population mondiale parmi laquelle tout le monde est susceptible d’être infecté par un nouveau virus extrêmement contagieux », avait relevé dans un communiqué Mme Chan.

Dimanche, le directeur régional de l’OMS, Shin Young-soo a indiqué que l’OMS et l’ONU tentaient de réunir un milliard de dollars pour aider les pays en ayant le plus besoin à acheter des vaccins.

Mme Chan, ancienne responsable de la Santé de Hong Kong, a également conseillé aux autorités de Hong Kong d’assouplir « pas à pas » les mesures contre la pandémie et de concentrer les ressources sur les patients atteints.

Seuls les patients à haut risque, comme les personnes âgées, les obèses et les personnes présentant des maladies chroniques pourraient être fortement affectés par le virus, a-t-elle souligné.

Hong Kong, qui a été en première ligne face à l’épidémie de la pneumonie atypique (Sras) en 2003 et qui est en état d’alerte face à la grippe aviaire, a pris une série de mesures strictes pour combattre la grippe porcine, notamment un renforcement des contrôles à ses frontières.

Le chef de l’exécutif de Hong Kong, Donald Tsang, a répondu en indiquant que Hong Kong, accusée d’avoir surréagi après l’annonce en mai de ses premiers cas de grippe H1N1, ne prendrait aucun risque face à la pandémie et ne baisserait donc pas la garde.

« Nous avons pris toutes les précautions pour éviter la propagation du virus. A la lumière de nos récentes expériences avec la grippe aviaire et le Sras, le gouvernement n’a pas et ne prendra aucun risque », a déclaré M. Tsang.

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admin22 septembre 2009
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3min1590

Le Programme commun des Nations Unies contre le VIH/sida (Onusida) et plusieurs ONG ont signé lundi à New York un accord de partenariat pour éliminer la transmission du sida de la mère à l’enfant en Afrique noire.

L’accord, signé à la veille du rendez-vous annuel des chefs d’Etat et de gouvernement pour l’Assemblée générale de l’ONU, vise à « accélérer l’action collective contre le sida » et notamment à « corriger l’inégalité criante dont souffrent les enfants » face à la maladie, a indiqué à la presse Michel Sidibé, directeur d’Onusida.

Le recul de la pandémie est l’un des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) adoptés par les dirigeants mondiaux en 2000, pour l’horizon 2015.

Selon M. Sidibé, sur les 2 millions de décès dûs au sida l’an dernier, 1,9 million sont survenus dans les pays en développement, dont 1,7 million en Afrique. Plus de 300.000 enfants naissent chaque année avec le virus, la plupart en Afrique, et 30% d’entre eux meurent avant leur premier anniversaire.

Les signataires de l’accord veulent agir sur quatre axes: « empêcher les femmes en âge de procréer de contracter le virus, prévenir les grossesses non désirées chez les femmes infectées par le virus, empêcher la transmission du sida de la mère à l’enfant et fournir un traitement aux mères ayant contracté le virus. »

Outre l’Onusida, les signataires sont notamment l’Institut de la Terre (Earth Institute) de l’université de Columbia dirigé par l’économiste américain Jeffrey Sachs et la Millenium Promise Alliance (MPA), un groupe de réflexion et d’action sur les Objectifs du millénaire pour le développement en Afrique.

La MPA est notamment à l’origine du Projet des villages du millénaire (MVP), un programme pionnier consistant à mettre en oeuvre dans 80 villages répartis dans 10 pays d’Afrique des stratégies contrôlées par les communautés locales et visant à améliorer la production alimentaire, l’éducation, l’accès à l’eau et la prévention des maladies.

Le document a été signé en présence des présidents du Sénégal, Abdoulaye Wade, et de l’Ouganda, Yoweri Museveni.
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admin21 septembre 2009
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2min1640

Des quantités importantes de drogues et de médicaments incinerées

Le substitut du procureur de la République prés la cour de Nouakchott, le juge Ahmed Ould Abdalla a supervisé, jeudi au PK 33 de la route Nouakchott-Akjoujt, la destruction d’une quantité importante de drogues dangereuses, en plus d’autres produits, dont des herbes qui entrent dans la composition de potions concoctées par des charlatans et des médicaments en péremption.

Ces drogues ont été incinérées grâce à des liquides hautement inflammables.

Dans une déclaration à l’ANI, le substitut du procureur a indiqué que ces quantités ont été saies sur des personnes ayant arrêtées par la police, avant d’être poursuivies inculpées et condamnées par la justice.

Il a également ajouté que l’incinération de ces drogues est un signe fort à l’endroit des criminels qui comprendront que la justice est là pour les contrecarrer.

Les produits détruits sont les suivants :

-12 kg de cocaïne
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-500kg d’héroïne

-12 kg de crack marocain

-98 kg de chanvre indien

-21 bouteilles de différentes boissons spirituelles

-50 litres de Soum-soum

-32 sacs de médicaments périmés

-568 comprimés de drogue

En plus d’une quantité de produit alimentaires en péremption, des photos pornographiques, des préservatifs masculins, des quantités de cigarettes dangereuses, des coupures de monnaie falsifiées et des quantités d’herbes.

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admin21 septembre 2009
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1min1590

Le Syndicat unique des travailleurs de la santé et de l’action sociale (Sutsas) et le Syndicat autonome de la santé (Sas) en partenariat avec le ministère de la Santé ont offert aux centres de Santé de la banlieue des médicaments, des moustiquaires imprégnées, du Gazoil et du ciment d’une valeur de plus trois millions de FCfa.

Touchés par les inondations, les centres de Santé de la banlieue ont besoin de l’assistance pour faire face aux conséquences liées à ce phénomène. Ils sont pris d’assaut par les populations en cette période d’hivernage. Il s’agit des centres de Santé de Pikine, Guédiawaye et Mbao. Le geste a été salué à juste valeur par les médecins chefs centre de Santé de la banlieue.

Le Secrétaire général du Sutsas, Mballo Dia Thiam, a apprécié l’aide du ministre de la Santé, Mme Thérèse Coumba Diop, qui a offert les médicaments. D’ailleurs, le Sutsas et le ministère ont décidé d’oeuvrer ensemble pour le développement du système de santé.

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admin19 septembre 2009
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1min1880

Le Salon international de l’innovation et de la technologie, comme son nom l’indique, regorge de nouveaux joyaux.

Le service Assistance + y figure parmi les derniers cris. Le système permet à une personne en danger, notamment en cas d’accident routier ou de panne technique, de lancer un appel de détresse à partir de sa voiture. Lire la suite

admin18 septembre 2009
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4min2060

Une réunion, tenue hier au siège du ministère des Affaires de la  Femme, de la Famille, de l’Enfance et des Personnes âgées, a été  consacrée à la coordination pour l’élaboration d’un plan d’action  commun entre le ministère de la Santé publique, la Chambre nationale  des jardins d’enfants et des crèches, et les organisations et  associations liées par des relations de partenariat avec le secteur de  l’enfance. Lire la suite

admin18 septembre 2009
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4min1890

Dans l’extrême ouest du pays, notamment à Sebdou, Sidi Djillali  et Beni Snous, le plan de lutte contre la brucellose institué par le  ministère de la Santé a permis de réduire considérablement la  prévalence de l’infection. Néanmoins, depuis ces derniers mois, la  maladie est devenue d’actualité devant le manque de traitement au  niveau de l’hôpital de Sebdou, qui ne dispose dans ce sillage même pas  du sérum antitétanique (SAT) au niveau des urgences. Lire la suite

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