Actualités Archives - Page 137 sur 183 - Urgences - Parce que la santé est primordiale!

admin28 septembre 2009
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Environ 4.000 nouveaux cas d’insuffisance rénale chronique (IRC) sont enregistrés chaque année en Algérie, dont la plupart sont des jeunes de moins de 20 ans, a indiqué samedi le Pr Mustapha Benabadji, chef de service Néphrologie au CHU Mustapha Pacha (Alger).

« Chaque année, ce sont 4.000 malades, notamment parmi les jeunes ayant moins de 20 ans, qui sont traités par dialyse, alors que dans les pays européens, les malades atteint d’insuffisance rénale ont plus de 70 ans », a déclaré à l’APS

le Pr Benabadji, à l’ouverture de journées de formation sur le « traitement de l’urémie terminale » au CHU de Beni Messous.

De ce fait, il a préconisé la nécessité de « reprendre en main ce problème dans sa globalité, sur le plan de la prévention », précisant que celle-ci « doit commencer très tôt pour diminuer la fréquence de cette maladie (IRC) ».

Au sujet de ces deux journées organisées par le CHU de Beni Messous en collaboration avec la Société algérienne de Néphrologie, Dialyse et Transplantation,

M. Benabadji a indiqué que cette rencontre scientifique se veut une opportunité pour « rappeler, notamment aux jeunes médecins en formation, l’historique du traitement de l’urémie terminale qui a connu un grand essor en Algérie ».

« Une trentaine d’années auparavant, les gens mourraient d’insuffisance rénale », a-t-il rappelé, ajoutant qu' »aujourd’hui, l’Algérie prend totalement en charge les malades qui se trouvent dans cette situation », en matière de traitement par dialyse.

De ce fait, le Pr Benabadji a insisté sur le volet de la sensibilisation, afin de diminuer la fréquence de cette maladie.

« Nous allons, à l’occasion de cette rencontre, faire un rappel historique sur le traitement de cette pathologie, afin de pouvoir en développer les concepts de prévention », a-t-il affirmé.

S’agissant de la greffe rénale, M. Benabadji s’est félicité du fait que l’Algérie se soit « bien développée » dans ce domaine, faisant remarquer que ce genre d’interventions se fait « dans de bonnes conditions chez nous et les résultats obtenus sont satisfaisants ».

Il a, en outre, indiqué que ces journées constituent une occasion de plaider pour le développement de la greffe rénale au profit du conjoint auprès des pouvoirs publics.

« Il y a des conjoints qui vivent les problèmes du malade et qui veulent donner leur rein, mais sur le plan légal, cela n’est pas encore possible », a-t-il regretté.

C’est la raison pour laquelle, il lance un appel aux juristes et aux parlementaires notamment, pour promulguer des textes de loi afin que la greffe du rein qui se fait actuellement à l’étranger, puisse se réaliser à l’avenir en Algérie ».

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admin28 septembre 2009
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3min1610

Pendant 21 jours, plus d’une centaine d’élèves âgés de 13 à 15 ans vont troquer leurs vacances de fin d’année scolaire contre un camp d’ado animé par Synergie Banlieue, avec l’appui de Save the Children Suède, en collaboration avec la Division de la Santé de la reproduction et l’implication du Cdeps de Pikine.

A cette occasion, Synergie Banlieue, à travers ses moniteurs, va combiner l’information et l’éducation à la santé de la reproduction à des activités socio-éducatives. Ces ateliers seront animés par une équipe pédagogique constituée d’enseignants, de travailleurs sociaux et de jeunes éducateurs. Selon le Dr Abdou Salam Mbengue, coordonnateur de Synergie Banlieue, ‘si le Sénégal veut continuer durablement à maintenir un taux de séroprévalence du Vih inférieur à 1 %, il faut investir très tôt dans des stratégies efficaces basées sur les besoins des adolescents de moins de 15 ans qui constituent plus de 45 % de la population’. Et d’ajouter : ‘La grande banlieue dakaroise a la particularité d’être une zone fortement composée de jeunes où la problématique de l’information sur la santé de la reproduction est un véritable défi à relever’.

L’objectif du camp, pour cette deuxième édition, est de contribuer à une meilleure prise en charge des adolescents dans la prévention du Vih/Sida. En effet, jusque-là, les stratégies de prévention ont concerné les jeunes âgés entre 20 et 24 ans. Or la réalité recommande de démarrer très tôt la prévention et de prendre en compte les préoccupations des adolescents.

D’autant que, selon Bamba Diop, chef du bureau Santé et Développement de l’adolescent à la Division de la Santé de la reproduction, ‘l’Enquête démographique et de santé a révélé que cette couche est traversée par beaucoup de problèmes et que 50 % des grossesses non désirées surviennent chez les filles dont l’âge se situe à 19 ans’.

Pour cette année, le camp est organisé à l’école élémentaire Cité Fass Mbao. A la suite, les élèves vont élaborer un plan d’action pour sensibiliser leurs pairs sur divers thèmes liés à la santé de la reproduction et la prévention du Vih/Sida.

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admin26 septembre 2009
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3min1600

C’est à partir de la semaine prochaine que le vaccin contre la grippe saisonnière sera disponible dans toutes les pharmacies, à travers toutes les régions du pays.

Dr Mongi Hamrouni, directeur des soins de santé de base au ministère de la Santé publique, signale que 300 mille doses de vaccins contre la grippe saisonnière sont disponibles, cette année, avec une augmentation de 100 mille doses, par rapport à l’année précédente. Il préconise la prévention précoce par la vaccination, surtout pour les personnes âgées et les cas atteints de maladies chroniques, afin d’éviter les complications pour la santé dues à la grippe saisonnière. Lire la suite

admin25 septembre 2009
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Le laboratoire pharmaceutique américain Merck & Co a annoncé en fin de semaine dernière l’arrêt des essais de son « candidat vaccin » contre le sida. Notamment testé aux Etats-Unis, en Amérique latine et en Afrique du Sud, le V520 – jugé prometteur – s’est révélé inefficace pour empêcher la contamination et réduire la charge virale. La déception est grande, mais l’espoir demeure.

« Le virus [du sida] est extraordinairement divers dans le monde, évolue rapidement même chez un seul individu infecté et effectue des mutations pour échapper aux défenses immunitaires de l’organisme lors d’une même infection », déclarait en 2006 le Dr Bette Korber, une chercheuse des Laboratoires Nationaux de Los Alamos (Nouveau-Mexique) devant la conférence annuelle sur les rétrovirus. D’où la difficulté de trouver un vaccin. Le laboratoire pharmaceutique américain Merck & Co en a fait l’amère expérience. L’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses a annoncé, vendredi soir, qu’un comité indépendant a décidé d’arrêter les tests de son « candidat vaccin » V520.

La raison ? Le prototype du laboratoire pharmaceutique américain Merck s’est révélé inefficace pour protéger les personnes saines ou réduire la charge virale de celles atteintes par le virus de l’immuno-dédicience humaine (VIH). Sur 741 individus ayant reçu le V520, 24 ont été infectés par le VIH contre 21 chez les 762 à qui a donné un placebo. C’est ce qui ressort du premier bilan intermédiaire des essais de la phase II. Des essais qui étaient effectués chez des séronégatifs à risque (homosexuels, prostituées…) âgés entre 18 et 45 ans, originaires des Etats-Unis, d’Australie, du Pérou, du Brésil, de Porto Rico et, depuis le 8 février, d’Afrique du Sud.

Grande déception et espoir

Une grande déception après les résultats encourageants des études préliminaires réalisées sur des animaux et sur un petit nombre d’humains. « Ce vaccin était considéré comme la stratégie la plus prometteuse et je pense que cet échec est une déception pour nous et pour tous ceux travaillant sur des vaccins », a reconnu le Dr Mark Feinberg, vice-président de Merck, cité par le New York Times. « C’est un jour très triste pour tous ceux impliqués dans la recherche d’un vaccin contre le VIH. Ce candidat était l’un des plus prometteurs depuis vu depuis 20 ans et il y avait beaucoup d’espoir qu’il marcherait. C’est très navrant de voir ces résultats », a déclaré à Afrik Sarah Alexander, chargée de la communication et des relations extérieures du réseau HIV vaccine trials network, qui teste des vaccins expérimentaux contre le sida et a participé à l’expérience avec le V520.

L’heure est maintenant à la réflexion. « L’essai n’est pas arrêté, ce sont juste les vaccinations. Nous continuons à faire des visites de suivi avec les participants pour en savoir plus sur pourquoi cette stratégie n’a pas fonctionné. Il reste encore à faire beaucoup d’analyses de fond des données », souligne Sarah Alexander. Elle précise que les recommandations du Conseil de surveillance des données et de la sécurité détermineront la marche à suivre à l’avenir concernant ces essais.

Une trentaine d’essais de « candidats vaccins » thérapeutiques ou préventifs plus ou moins aboutis sont actuellement en cours. Certains sont d’ailleurs calqués sur le modèle du V520, le premier vaccin d’une nouvelle classe qui ne se base pas sur la production d’anti-corps attaquant le VIH mais sur la production de lymphocytes T, cellules immunitaires chargées de la défense anti-virale. Tous les espoirs pour un vaccin ne sont donc pas perdus.

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admin25 septembre 2009
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6min1500

Trois nouveaux cas de grippe porcine viennent d’être confirmés par le laboratoire de microbiologie de l’hôpital de Bab Saâdoun, ce qui élève le nombre de personnes atteintes de grippe porcine en Tunisie à 53. Ces cas sont des élèves étudiant au lycée Pierre Mendès-France qui présentaient des symptômes grippaux et qui ont vite été diagnostiqués et mis sous traitement.

A l’instar des cinquante autres personnes porteuses du virus A(H1N1), celles-ci sont actuellement en bonne santé et leur état ne présente aucune gravité.  » Ils ont été mis sous paracétamol pour les cas qui ne présentent aucune gravité et sous tamiflu pour les personnes dont l’état s’est aggravé « , a souligné le Professeur Amin Slim, virologiste à l’hôpital Charles-Nicolle.

Actuellement, le laboratoire, qui a jusqu’ici procédé à l’analyse de sept cents prélèvements, effectue près de 25 analyses par jour sur des prélèvements provenant de toute la Republique. Si le virus s’est jusqu’ici déclaré dans des foyers isolés et ne s’est pas encore propagé à une large échelle, provoquant une épidémie, c’est grâce au système de surveillance sanitaire qui a été mis en place, visant à freiner l’évolution du virus, a souligné le médecin.  » Nous étions soulagés par le fait que, jusqu’en juin, l’épidémie ne se soit pas déclarée. C’est aussi grâce à la chaleur du climat et à la fermeture des établissements éducatifs et universitaires. Mais avec l’arrivée du froid et la rentrée scolaire et universitaire, l’épidémie risque à tout moment de se déclarer « .

D’après les études qui ont été effectuées et les résultats qui ont été observés dans les autres pays, le virus touche surtout les enfants et les jeunes adultes dont l’âge est compris entre dix et trente ans et dont le système n’a pas été immunisé contre ce nouveau type de virus.  » Mais ce n’est pas inquiétant « , explique le Pr Slim. Il est d’ailleurs  » préférable que les jeunes adultes qui sont en bonne santé et qui ne présentent aucune insuffisance respiratoire ou maladie chronique ne se fassent pas vacciner et prennent un simple traitement symptomatique. Cela permettra à leur système immunitaire de s’immuniser contre ce type de virus « .

En effet, la vaccination a été prioritairement prévue pour les femmes enceintes et les personnes atteintes de maladies chroniques (bronchite chronique, insuffisance respiratoire, asthme, diabète, hypertension…). Les 700.000 doses de vaccins qui ont été commandées et qui seront normalement disponibles à partir de la fin du mois d’octobre (il faut toutefois préciser que le vaccin n’est pas encore prêt à être commercialisé) serviront également à la vaccination des cadres et du personnel travaillant dans les institutions vitales de l’Etat ainsi qu’à celle du personnel des établissements hospitaliers.

Bien que le vaccin de la grippe saisonnière n’immunise pas du tout contre ce nouveau type de virus, le virologiste estime qu’il est conseillé pour les personnes habituées à le faire pendant cette période de l’année de le faire comme d’habitude.  » Cela permettra de ralentir la circulation du virus de la grippe saisonnière et diminuera ainsi le risque de voir se combiner les deux virus « , relève le Pr Amin Slim.

Revenant sur les symptômes qui peuvent être révélateurs de la grippe porcine, le virologiste a relevé que si une personne voit sa température s’élever brutalement (supérieure à 38°5) sans raison particulière, associée à d’autres symptômes tels qu’une fatigue généralisée, des maux de tête, des douleurs musculaires, des éternuements, une toux … il est préférable qu’elle consulte un médecin « Beaucoup de médecins nous demandent s’ils doivent, systématiquement, prescrire des prélèvements pour des analyses, observe le virologiste. Je réponds généralement par la négative en leur demandant de prescrire des prélèvements juste pour les personnes qui ont séjourné à l’étranger, dans des pays où il y a un foyer de grippe porcine ou pour les personnes qui se sont trouvées en contact avec des personnes atteintes de grippe porcine. Sinon, pour les autres cas suspects, il faut leur prescrire un traitement symptomatique et si dans les trois jours qui suivent, les symptômes n’ont toujours pas disparu, il faudra alors faire des analyses « .

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admin24 septembre 2009
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Le ministre du Développement social, de la Solidarité et des Personnes âgées, Sékou Diakité, a reçu le jeudi 17 septembre 2009 les parrains de la 15e édition du Mois de la solidarité et de la lutte contre l’exclusion, organisé durant chaque mois d’octobre au Mali.

Le premier responsable du département de la Solidarité a conféré jeudi avec le parrain du Mois de la solidarité 2009, Ahmed Mohamed Ag Hamani, ancien Premier ministre. Il a aussi échangé avec les autres parrains des quatre semaines thématiques. Il s’agit de l’administrateur à la retraite Youssouf Traoré, parrain de la Semaine des personnes âgées, du Pr. Mamadou Marouf Kéita, parrain de la Semaine thérapeutique, de Mme Timbo Oumou Bah, marraine de la Semaine des personnes handicapées, et Bamoussa Touré qui parrainera, lui, la Semaine de l’économie solidaire et sociale.

Le ministre Sékou Diakité a félicité ces personnalités, saluant leur engagement et leur constante disponibilité. Il a remercié les parrains pour avoir accepté de prendre part aux activités de la 15e édition Mois de la solidarité. Le ministre Diakité s’est réjoui de l’implication de plus en plus croissante de la société civile dans l’organisation du Mois de la Solidarité et de la lutte contre l’exclusion.

Parrain du Mois, l’ancien Premier ministre Ahmed Mohamed Ag Hamani, par ailleurs président de l’association Arena, s’est dit honoré par le choix porté sur sa « modeste » personne. Selon lui, la solidarité demeure une base fondamentale de notre culture et notre religion. « Et il nous faut la préserver ». Le président de l’Association pour la revalorisation de l’expertise nationale (Arena) a indiqué que le choix du thème de la présente édition du Mois de la solidarité est très pertinent, notamment « la solidarité est plus qu’un mot, c’est un comportement ».

S’exprimant tour à tour, au cours de la brève cérémonie, les autres parrains des semaines thématiques se sont également félicités du choix porté sur eux. Et n’ont pas manqué d’inviter les plus hautes autorités du pays à pérenniser davantage le Mois de la solidarité. « Personne ne peut mesurer la portée de ce mois. C’est unique en Afrique. Il faut le préserver », a dit le doyen Youssou Traoré, médaillé d’or de l’indépendance du Mali.

Pour le Pr. Marouf Kéïta, pédiatre de son état et président de l’Amaldème, le Mois de la solidarité est un bon créneau pour conscientiser davantage les Maliens. De l’avis de l’ancien député et coordonnateur des chefs de quartier du district de Bamako, Bamoussa Touré, ce Mois doit nous permettre de nous ancrer davantage dans nos valeurs sociétales et ancestrales.

« Je suis fière de mon pays à cause de cette solidarité. Ailleurs on se bat pour une semaine de solidarité. Chez nous c’est un mois entier. La solidarité est une valeur au Mali que nous devons préserver », a lâché la présidente de l’Association Raoul Follereau, Mme Timbo Oumou Bah.

A signaler que cette rencontre avec les parrains s’est tenue en présence du secrétaire général du ministère du Développement social, Amadou Rouamba, par ailleurs président du comité de pilotage du Mois, de Alassane Bocoum, le directeur national du développement social, mais aussi plusieurs membres du cabinet du ministre Sékou Diakité.

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admin24 septembre 2009
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Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) a noué lundi un partenariat avec le Programme des Villages pour le millénaire afin de réduire la transmission du VIH de la mère à l’enfant en Afrique.

Selon les termes de l’accord, les deux partenaires aideront conjointement les autorités locales dans neuf pays africains à établir « des zones exemptes de transmission de la mère à l’enfant ».

Le Programme des Villages pour le Millénaire (Millenium Villages Project) a pour but d’atteindre les objectifs du Millénaire pour le développement, huit objectifs de lutte contre la pauvreté à réaliser d’ici à 2015, dans dix pays africains dans les cinq ans à venir grâce au développement au niveau communautaire.

Chaque année, la grande majorité des enfants nés séropositifs dans le monde vivent en Afrique sub-saharienne, où moins de la moitié des femmes enceintes vivant avec le virus reçoivent un traitement, qui est crucial pour empêcher que les nouveaux nés ne deviennent séropositifs.

Avec le soutien de chefs d’entreprises africains et d’autres parties du monde, le nouveau projet sera bâti sur les infrastructures et les ressources humaines existantes dans les villages pour étendre rapidement les services de santé.
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« Dans toute l’Europe occidentale, il y a eu moins de 100 transmissions de mère à l’enfant en 2007, alors qu’en Afrique sub-saharienne, il y en a eu 370.000 », a souligné le directeur d’ONUSIDA, Michel Sidibé.

Dans les pays riches, la transmission du VIH à l’enfant est passée au cours des dernières années de 25% à un taux situé entre 1 et 5%, grâce à la généralisation des tests VIH, des conseils aux femmes enceintes, de l’utilisation de médicaments pendant et après l’accouchement, et de l’alimentation protégée de l’enfant.

Des études montrent que des mesures peu coûteuses et adaptées pourraient réduire les taux de transmissions en Afrique, actuellement de 45%, à moins de 1 à 2%.

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admin23 septembre 2009
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Elle se frotte sans doute les mains, mais Trafigura qui dit être  parvenue à un autre accord avec ses interlocuteurs ivoiriens, est  toujours enlisée dans les déchets toxiques déversés par elle dans des  décharges à ciel ouvert à Abidjan il y a trois ans. En effet, les  ennuis judiciaires de la multinationale sont loin d’être terminés car  l’accord d’indemnisation ne concerne qu’environ un tiers des 108 000  victimes. Au total, 31 000 personnes avaient engagé au niveau des  tribunaux britanniques un procès devant se dérouler très prochainement. Lire la suite

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