Actualités Archives - Page 135 sur 183 - Urgences - Parce que la santé est primordiale!

admin12 octobre 2009
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8min1770

La grippe H1N1 a tué au moins 4 525 personnes dans 191 pays et territoires de la planète depuis l’apparition du nouveau virus en mars dernier, selon le dernier bilan de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Le précédent bilan de l’OMS, diffusé le 2 octobre, faisait état d’«au moins 4 108 morts», soit une différence de 417 décès en une semaine.

Selon l’organisation onusienne, la maladie continue de progresser dans l’hémisphère Nord, en particulier aux Etats-Unis, au Mexique, dans certaines parties du Canada, en Irlande, en Belgique, aux Pays-Bas, et au Japon, des pays où un nombre inhabituellement élevé d’affections respiratoires a été enregistré. En revanche, le pic de propagation du virus pandémique a «été passé en France», précise un porte-parole de l’OMS avant d’avertir : «Tout le monde doit être prêt pour une autre vague dans l’hiver.» Alors que la maladie a nettement reculé dans l’hémisphère Sud, le nouveau virus a affecté au moins 378 223 personnes dans le monde, selon les dernières données de l’OMS qui souligne que ce chiffre est en deçà de la réalité étant donné que nombre de pays ne comptabilisent plus strictement tous les cas. L’Amérique du Nord, où le virus est apparu au printemps dernier, continue de payer le plus lourd tribut avec 3 292 décès et 146 016 malades recensés. Par ailleurs, un troisième vaccin contre la grippe H1N1, le Celvapan fabriqué par le groupe américain Baxter, a été homologué dans l’Union européenne, ont annoncé vendredi la Commission européenne et le laboratoire. La Commission a donné son accord en début de semaine, après un avis favorable de l’Agence européenne des médicaments (EMEA). Deux autres vaccins contre la grippe H1N1, l’un du laboratoire suisse Novartis, l’autre du britannique GlaxoSmithKline, ont déjà reçu une autorisation pour leur commercialisation dans l’Union européenne. La particularité du Celvapan est d’être sans adjuvant, a souligné le groupe Baxter dans un communiqué. Le Laboratoire précise ne pas avoir attendu le feu vert de la Commission européenne pour livrer les premières doses de ce vaccin «dans certains pays sous contrat». S’agissant des informations selon lesquelles le vaccin contre la grippe porcine comporte des risques, l’OMS a voulu rassurer : les cas d’effets secondaires sont mineurs, a affirmé l’organisation onusienne. En Chine, quatre personnes ont signalé des effets secondaires, sur un total de 39 000 personnes vaccinées, a affirmé le porte-parole de l’OMS, Gregory Hartl. «Il s’agit de symptômes bénins, comme des maux de tête et des crampes musculaires», a-t-il précisé. «Il est normal que des personnes souffrent d’effets secondaires après l’administration de vaccins. Mais le vaccin contre la grippe A est sûr», a déclaré Gregory Hartl.

«Ces craintes ne doivent pas en tout cas empêcher les gens de se faire vacciner. Le vaccin est le moyen le plus sûr de prévenir une pandémie», a-t-il dit. L’OMS recommande en particulier à tout le personnel de santé de se faire vacciner. Les personnes souffrant de rhumatismes inflammatoires devraient aussi se faire vacciner contre la grippe porcine et la grippe saisonnière. C’est la recommandation faite par la Société suisse de rhumatologie et la Ligue suisse contre le rhumatisme. La grippe présente plus de risques pour les sujets atteints d’une maladie auto-immune, soulignent les deux associations. Les experts sont «unanimes» et recommandent, donc, à ces patients une double vaccination. Plusieurs pays ont lancé des campagnes de vaccination, dont la Chine, la Hongrie, et les Etats-Unis. Le gouvernement hongrois, a entamé, il y a une dizaine de jours, une campagne de vaccinations volontaires. La campagne américaine de vaccination contre la grippe a concerné en priorité le personnel médical. Pour ce dernier, le vaccin se présente sous la forme d’un pulvérisateur nasal et non pas d’une injection dans le bras. Cinq groupes de personnes ont été définis afin de recevoir le vaccin en priorité : outre le personnel médical, on compte les enfants, les femmes enceintes, les personnels en contact avec les enfants et les plus de 65 ans souffrant de problèmes médicaux. Mais beaucoup ne pourront pas être vaccinés avec le pulvérisateur nasal, notamment les femmes enceintes, celui-ci n’ayant pas été testé sur cette population.

Le vaccin 2008-2009 contre la grippe saisonnière offre une certaine protection contre la grippe H1N1, particulièrement contre ses formes les plus sévères, selon une étude menée au Mexique et publiée mercredi dans le British Medical Journal. Les chercheurs, dont l’équipe était conduite par l’épidémiologiste mexicain José Luis Valdespino, soulignent, cependant, que ces résultats «préliminaires» doivent être considérés avec prudence et «ne montrent en aucune façon que la vaccination saisonnière devrait remplacer la vaccination contre la grippe H1N1». Pour cette étude, l’équipe a comparé, de mars à mai derniers, 60 patients de l’Institut national des maladies respiratoires à Mexico atteints de grippe H1N1, et 180 autres patients souffrant d’autres problèmes de santé. Ils ont constaté que les personnes du groupe témoin non infectées par la grippe H1N1 avaient plus souvent été vaccinées contre la grippe saisonnière. Il y avait nettement moins de personnes qui mouraient parmi les personnes vaccinées que parmi les personnes non vaccinées. Les chercheurs expliquent la protection partielle offerte par le vaccin saisonnier par le fait qu’il renforce les anticorps chez des

individus antérieurement exposés à un virus grippal similaire, soit par infection, soit par vaccination.Les virus H1N1 ont circulé chez les êtres humains de 1918 à 1957, et de nouveau en 1977, selon l’étude. Les chercheurs insistent, cependant, sur le fait que l’échantillon étudié est limité en particulier, puisqu’il ne s’agit que de malades d’un hôpital spécialisé dans les maladies respiratoires, et qu’il faudrait «conduire des études similaires dans d’autres cadres pour confirmer ou réfuter ces résultats».

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admin12 octobre 2009
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1min2010

Dakar — Le Réseau africain d’éducation pour la santé (RAES) a donné un point de presse vendredi à 15h 30 dans le cadre du projet « Amélioration de la réponse au VIH Sida en milieu scolaire par le dépistage volontaire, la promotion des droits humains et la communication », annonce un communiqué reçu à l’APS.

La rencontre avec les journalistes sera axée sur la campagne de sensibilisation des jeunes par les jeunes sur le VIH SIDA, par divers outils, notamment les SMS, précise le texte.

Le point de presse, organisé en partenariat avec ASPROCIDE et Sida service, est prévu dans les locaux du RAES à la SICAP Liberté 6.
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admin10 octobre 2009
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4min1980

A l’occasion de la commémoration, le 10 octobre 2009, de la Journée mondiale de la santé mentale, le Secrétaire général de l’Organisation des Nations unies (ONU), Ban Ki-moon, plaide, dans le présent message, pour «des services de santé mentale au sein des structures de soins primaires, afin de lutter contre les préjugés et les hospitalisations inutiles»… Lire la suite

admin10 octobre 2009
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2min1750

Déclenchée le 31 août dernier après un préavis sans succès lancé au gouvernement le 12 du même mois et radicalisée le 7 septembre, la grève des médecins des hôpitaux publics de l’Etat vient d’entrer dans une phase inquiétante où l’on annonce la suppression du service minimum qui était observé encore jusqu’à ce jour. Lire la suite

admin9 octobre 2009
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2min1800

La Tunisie célèbre, demain samedi 10 octobre, à l’instar de tous les pays du monde la Journée mondiale de la santé mentale qui a pour thème : « La maladie de la dépression».

Cette question tient compte des exigences de la vie moderne et des pressions exercées sur l’être humain, suite aux multiples préoccupations. Cette maladie a des impacts sanitaires et sociales importantes.

Le ministère de la Santé publique est soucieux de fournir les meilleures prestations pour prévenir cette maladie tout en assurant un traitement adéquat. Le thème a été choisi par la direction de la santé de base relevant du ministère de la Santé publique. Prise en charge dès les premiers signes, la dépression peut être guérie. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) définit la santé comme un bien-être physique, mental et social.

La santé est exposée à des facteurs interposés, notamment biologiques, mentales et sociales. En plus, il faut aussi tenir compte des conditions physiques, économiques, familiales, professionnelles et culturelles. Toute défaillance peut entraîner des perturbations mentales menaçant l’équilibre familial, professionnel et personnel.

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admin9 octobre 2009
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2min2270

Les sessions en ligne sur le diabète se poursuivent au laboratoire de médecine à Antsakaviro. Hier, comme à chaque deuxième jeudi du mois, la session portait sur la prise en charge du pied diabétique dans les centres de soins africains. Un exposé en ligne a été suivi en simultané par les différents pays francophones africains et européens.

À Madagascar comme en Afrique, cette maladie est un fardeau pour la santé publique. Selon le professeur J.P Assal de Genève Suisse, parmi les intervenants, le diagnostic du diabète au pied est assez souvent tardif. Une situation qui engendre des complications graves pour le malade. Par conséquent, la prise en charge devient subitement coûteuse.

La session qui a duré près de 1h 30 a pu apporter une nouvelle vision à l’audience malgache composée de médecins spécialistes du diabète, étudiants, laborantins et des représentants du corps médical.

Ce programme de formation est conçu par l’université numérique francophone mondiale (UNFM) et diffusé par réseau en Afrique francophone pour la télémédecine. À Madagascar, le laboratoire Sanofi Aventis, producteur de médicaments antidiabétiques parraine ce programme vu son importance.

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admin8 octobre 2009
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6min1330

Les travailleurs de l’hôpital Sanou Souro, à l’appel de la section SYNTSHA du Houet, sont en grève depuis le 6 octobre 2009, et ce pour 72 heures. Au soir de la première journée, cette grève que les initiateurs ont voulue totale, c’est-à-dire sans le moindre service minimum, semblait causer le trouble dans les rangs des responsables de l’hôpital qui redoutent ses conséquences.

Par un préavis datant de la fin du mois dernier, adressé au gouverneur de la région des Hauts Bassins, la section Houet du SYNTSHA annonçait un arrêt de travail de 72 heures, à compter du mardi 6 octobre 2009. Cependant, ce que les responsables du SYNTSHA n’avaient pas signalé dans leur préavis, c’est la forme de grève qu’ils allaient adopter. Et c’est justement cette forme, plus que le mouvement en lui-même, qui perturbe les responsables de cet hôpital en ce moment.

« Je me demande bien si les gens ont mûri leur réflexion avant de prendre une telle position car une grève totale dans un hôpital universitaire, ce n’est pas une chose à envisager », a laissé entendre Korotoumou Ouattara, Directrice générale du CHU Sanou Souro visiblement désarçonnée, lorsque nous l’avons rencontrée dans l’après-midi de mardi. Selon elle, aucune ampliation du préavis de grève ne lui a été adressée. Ce n’est que la veille, à 17 heures que les organisateurs auraient décidé d’observer une grève totale.

A minuit, au moment de faire le point avec ses équipes, et encourager ceux qui le veulent bien à rester, pour assister les malades, elle dit avoir constaté la présence de responsables syndicaux venus pour faire partir les équipes des lieux. Cela n’a pas été sans rixes car certaines équipes ont refusé de partir. Au matin de mardi, beaucoup des personnels seraient venus travailler mais les meneurs de la grève sont encore venus les faire partir, au prétexte qu’ils ont voulu que la grève soit totale. Certains ne savaient pas que c’était une grève totale puisque d’habitude, poursuit-elle, le syndicat lui-même organise le service minimum.

« Nous avons fait le point et nous sommes à un taux de suivi de la grève de 43% », dira-t-elle. Si dans la plupart des services la situation est gérée tant bien que mal, avec l’appui de personnels soignants militaires appelés en renfort, Korotoumou Ouattara craint qu’en médecine générale où il y a des malades chroniques, il y ait des situations regrettables. Aussi, comme alternative, dira la directrice, les districts sanitaires de la ville ont été rendus très opérationnels pour prendre en charge d’éventuels accidentés et autres cas d’urgence.

S’agissant du traitement des revendications des grévistes qui s’articulent autour de deux points essentiels, la question des émoluments, et le dysfonctionnement dû au manque d’équipements, elle s’explique : « Nous avons négocié avec eux pour payer les reversements dus à la catégorie P en septembre dernier. Les émoluments qui concernent une vingtaiLes travailleurs de l’hôpital Sanou Souro, à l’appel de la section SYNTSHA du Houet, sont en grève depuis le 6 octobre 2009, et ce pour 72 heures.

Au soir de la première journée, cette grève que les initiateurs ont voulue totale, c’est-à-dire sans le moindre service minimum, semblait causer le trouble dans les rangs des responsables de l’hôpital qui redoutent ses conséquences.ne de médecins hospitalo-universitaires n’ont pu trouver une solution car le montant cumulé s’élève à plus de 200 millions de F CFA. Comme le cas du bloc opératoire urgeait, nous avons préféré nous pencher sur ce problème et un nouvel autoclave de 58 millions, ainsi que d’autres matériels divers ont été commandés.

Entre la question d’émoluments qui n’est en fait qu’une indemnité compensatrice, un bonus et le problème de Yalgado qui nécessitait plus de 3 milliards, sans oublier le problème des sinistrés auxquels le ministère devait faire face, je crois que le choix est évident. Nous leur avons donc demandé, dans la mesure où le contexte n’était pas opportun, de surseoir à cela en attendant mais ils ont marqué leur désaccord et ils sont partis en grève ».

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admin8 octobre 2009
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6min2380

« Depuis le mois de septembre 2009, le conseil d’administration de la Mugefci, dirigé par monsieur Holland N’da Joseph, a cru devoir exiger aux mutualistes le renouvellement des cartes de membre moyennant la somme de 1000F.

Quant aux pharmaciens, ils sont assujettis au paiement d’un agrément d’une valeur de 100.000F Nous exigeons la nomination d’un administrateur provisoire en vue de l’élaboration de nouvelles modalités de gestion à la Mugefci ; un audit de la gestion de monsieur Holland N’da à l’effet d’identifier les causes réelles des difficultés de la Mugefci depuis l’avènement de celui-ci à la tête de la Mugefci. Nous interpellons le gouvernement sur les conséquences imprévisibles des errements affairistes du président du conseil d’administration. »

Telle est la substance de la conférence de presse qu’a animée le mardi dernier, Me Dakouri Roger, porte-parole de l’Union syndicale pour la défense des intérêts des mutualistes (Usydem). Une conférence de presse organisée après 6 jours de grève des responsables des pharmacies privées qui rejettent les décisions prises par le conseil d’administration de la Mugefci. Grève qui, selon Me Dakouri Roger, aurait causé, de « source hospitalière, 23 morts » parmi les mutualistes.

A l’évidence, comme nous l’écrivions en mai dernier, la Mugefci vit depuis quelque temps, un véritable malaise. On se souvient en effet que dans la période du mois d’avril au mois de juin dernier, une tendance du syndicat national des assistants sociaux de Côte d’Ivoire (Synasci) conduite par Zadi Domené Daniel dit Samco avait organisé conférences de presse sur conférences de presse pour réclamer (en encensant curieusement le Pca) la démission de l’ex Dg de la Mugefci, M. Adon Monsan Bernadin, qu’il accusait outrageusement d’être « incompétent », de mal gérer la mutuelle » et d' »avoir provoqué par sa gestion scandaleuse, une fermeture du service de délivrance des livrets de mutualiste », ce qui aurait provoqué « la mort de plusieurs mutualistes ».

Approchés pour avoir la réaction des premiers responsables de la Mutuelle face à ces accusations, nous nous étions heurtés à un véritable mur de silence. L’ex Dg nous avait répondu à plusieurs reprises qu’il attendait l’autorisation de son Pca Holland N’da pour réagir. Quant au Pca, jamais nous n’avions pu le rencontrer pour avoir sa position malgré nos nombreuses démarches.

Finalement, on apprendra le 24 juin dernier, au cours de l’Assemblée générale ordinaire de la Mugefci et de la bouche de M. Holland N’da, que M. Adon Monsan avait démissionné et qu’il avait été remplacé au pied levé, par M. Ouattara Bakary. On apprendra également (oh surprise) que la Mutuelle avait réalisé un excédent jamais égalé, de plus de « 550 millions de FCFA » pour la période de 2008, contre seulement « 2 millions » pour la période 2007.

Pourquoi alors M. Holland N’da avait accepté la démission de son Dg et est resté sans réaction devant les accusations portées contre ce dernier ? Ce qui se passe en ce moment entre les pharmaciens et la mutuelle est peut-être la réponse à cette interrogation. Et la sortie pour le moins musclée de l’Union syndicale pour la défense des intérêts des mutualistes contre le Pca dont elle réclame ni plus ni moins que le départ, confirme l’idée selon laquelle, la Mugefci, sous des apparences de bonne santé, est une grande « malade » qui vit un véritable malaise. Et ce malaise, nous l’avions perçu quand nous nous sommes rendu en mai dernier dans ses locaux pour interroger quelques agents. Toute chose qui n’est pas de nature à rassurer les mutualistes dont la santé voire la vie dépend de la stabilité et de la bonne gestion de cette mutuelle.

Quand Me Dakouri Roger parle « d’un audit de la gestion de M. Holland N’da à l’effet d’identifier les causes réelles des difficultés de la Mugefci depuis l’avènement de ce dernier à la tête de la Mugefci » et d’interpeller « le gouvernement sur les conséquences imprévisibles des errements affairistes du président du conseil d’administration », il pense peut-être à ce malaise. Serait-ce le retour du bâton pour Holland N’da ?

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admin8 octobre 2009
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La multinationale pharmaceutique Pfizer a décidé désormais de concentrer près de 30 % de son budget dans la lutte contre la malaria dans la région Afrique. Hier mardi, à l’occasion d’un déjeuner de presse organisé à Dakar, le Directeur général de la filiale pour l’Afrique de l’Ouest a décliné le programme de grande envergure consacrée à la lutte contre cette maladie très répandue sur le continent. Ceci en relation avec près de 40 journalistes venus de plusieurs pays du monde et qui vont séjourner pendant trois jours au Sénégal pour visiter les zones les plus affectées et/ou à risque.

En effet, après les programmes déroulés au Ghana et au Kenya, les responsables de la firme pharmaceutique Pfizer sont décidés à explorer le terrain sénégalais. C’est ainsi qu’une quarantaine de journalistes issus de plusieurs organes vont séjourner au Sénégal pendant trois jours pour visiter certaines zones les plus affectées par la malaria. Selon le directeur général de cette compagnie en Afrique de l’Ouest, ces reporters qui viennent d’Europe et des Etats-Unis visiteront ce mercredi également l’usine pharmaceutique de cette firme dont son bureau est basé à Dakar. Et dans le cadre de leur programme ils se rendront à l’intérieur du pays notamment dans la région de Tambacounda.

Une occasion pour ces hommes des médias, selon toujours le patron de cette firme en Afrique de l’Ouest, de visiter les postes de santé, les cases de santé et rencontrer les populations notamment celles qui sont situées dans les zones les plus reculées en vue de mieux s’enquérir des méthodes de lutte contre la malaria. A en croire le responsable de Pfizer, cette visite de presse a pour objectifs de faire comprendre aux journalistes les méthodes employées pour améliorer la santé des populations dans les pays que la firme pharmaceutique compte appuyer dans le cadre de la lutte contre le paludisme.

A l’occasion du déjeuner de presse, les journalistes ont échangé sur toutes les questions liées à la Santé au Sénégal et en Afrique de l’Ouest avec Marco Winkler, le responsable de la Communication de la firme en Afrique, Europe et dans le reste du monde. Il avait à ses côtés Cheikh Tidiane Bâ, le directeur général de la firme pour l’Afrique de l’Ouest et de Saliou Sylla, le directeur des ressources humaines de cette même compagnie pharmaceutique.

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admin6 octobre 2009
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2min2730

Deux ambulances dont l’une pour l’hôpital de Guiglo et l’autre pour celui de Taï. A ces véhicules, s’ajoutent des fauteuils roulants, des tables et des fauteuils d’examen, un bloc opératoire complet, des lits et des matelas médicalisés, des fauteuils de repos et d’examen, et bien d’autres équipements sanitaires.

C’est le matériel d’un montant de 421 millions de francs que le conseil général de Guiglo en collaboration avec l’Organisation internationale pour l’environnement et le bien-être social, la santé et la lutte contre le handicap (O.I.E.B.E.S.H.) a offert, le 29 août dernier aux populations. Cela, à l’occasion de la 3è réunion du conseil général qui s’est tenue à la salle de conférence de la préfecture de Guiglo en présence des élus et cadres du département.


Le président du conseil général, Gui Tiehi jean- Claude a pour ce qui est des ouvrages restés en souffrance, faute de ressources financières souhaité que les différents présidents de commission déposent les résultats de leurs travaux afin qu’ils soient validés. Sur la question, certains conseillers ont émis le voeu de la répartition équitable des projets de sorte à répondre efficacement aux besoins des populations. Quant au budget primitif 2010, il s’élève à 555 millions dont 290 millions pour l’investissement et 265 millions pour le fonctionnement. La construction de logements d’infirmiers à Béablo, V15, Sakré, Ziglo et Béoua pour un montant de 75 millions figure au nombre des travaux d’investissements.

Au plan éducatif le conseil général entend construire un collège à Zagné, deux cantines scolaires à Koulably et Zéhébly, et un logement de maître à Glopaoudy d’un montant de 70 millions FCFA. Quant à la jeunesse, une pépinière d’hévéa de 800 hectares sera mise à sa disposition pour assurer son autonomie.

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