Actualités Archives - Page 131 sur 183 - Urgences - Parce que la santé est primordiale!

admin16 novembre 2009
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2min1660

Abidjan — D’ici un an, les diabétiques de Côte d’ivoire n’auront  plus à effectuer de longues distances afin de bénéficier de la prise en  charge de leur maladie. Le ministère de la Santé et de l’Hygiène  publique a annoncé la bonne nouvelle ce samedi 14 novembre, lors de la  célébration de la journée mondiale du diabète qui s’est déroulée à  l’Institut national de santé publique (Insp) à Abidjan-Adjamé. Lire la suite

admin16 novembre 2009
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6min1850

Un travail en collaboration qui mérite respect et encouragement. Les  habitants de Belouizdad et des cités avoisinantes ont bien apprécié  l’arrivée, jeudi dernier, au stade du 20 Août (Alger), de jeunes  habillés en tenue bleue, portant la griffe Novo Nordisk Algérie,  mobilisés spécialement pour donner des explications sur le diabète et sa prise en charge. C’est une  initiative du laboratoire, avec l’aide de l’association des malades  diabétiques de la wilaya d’Alger, la direction de la Maison des  diabétiques des Anassers et le soutien du P/APC de Belouizdad, Ahmed  Aggoune, à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale du  diabète. Une maladie chronique qui touche des sujets adultes et jeunes,  avec des complications assez lourdes qui peuvent aller jusqu’à  l’amputation des membres inférieurs et la perte de la vue. Lire la suite

admin15 novembre 2009
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3min1740

Dans sa volonté de nouer une collaboration efficace et sincère dans l’intérêt des adhérents, la Mutuelle générale des fonctionnaires et agents de l’Etat de Côte d’Ivoire (Mugef-Ci) a appelé hier à la Caistab, les pharmaciens à une concertation. Malheureusement, cette rencontre s’est terminée en queue de poisson par la seule volonté de ces derniers.

La majorité d’entre eux ont quitté la table de discussion après l’intervention du Pca de la mutuelle, M. Holland N’da. Pourtant, ce dernier dès l’entame de son intervention, n’a cessé d’inviter ses partenaires à la discussion. « La Mugef-Ci a clairement exprimé sa volonté d’établir un partenariat apaisé, empreint de convivialité et de respect réciproque à travers entre autres, la mise en place d’une plate-forme d’information et d’échanges » a-t-il dit.

Holland N’da par la suite, est revenu à titre de rappel sur le nouveau processus d’agrément, la réaction des pharmaciens qui a conduit à la suspension des bons et leurs griefs contre la mutuelle. Une fois son adresse terminée, ses interlocuteurs avec lesquels il a promis d’échanger ont refusé de prendre la parole. Durant plusieurs minutes, ils ont été suppliés mais en vain. Finalement, c’est une déclaration qui a été servie au conseil d’administration.

Les pharmaciens ont exprimé leur colère au Pca pour, selon eux, ses propos discourtois à leur endroit. « Nous vous exprimons de vive voix la colère des pharmaciens qui ne peuvent supporter outre mesure des propos dégradants Nous vous appelons au droit, au respect de notre corps Sachez que l’ordre est chargé de veiller au respect, à l’honneur et à l’indépendance de notre profession Vous n’avez pas le droit de continuer impunément de traiter notre corporation syndicale de coupeur de route Votre interlocuteur direct demeure le Syndicat national des pharmaciens privés de Côte d’Ivoire », a lancé le porte-parole de la délégation.

Après quoi, en grand nombre, ils ont quitté la salle en signe de protestation. Les échanges malgré tout ont continué avec ceux de leurs confrères beaucoup plus réceptifs. Aujourd’hui, l’ordre des pharmaciens qui attend les conclusions de la médiation du ministre de la Santé avant tout autre échange, tient une conférence de presse pour dire encore sa part de vérité sur cette affaire.

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admin15 novembre 2009
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4min1630

Le Conseil National sur le sida a estimé à 82 700 le nombre de Zambiens qui seront contaminés par le VIH en 2009, un chiffre en hausse par rapport aux 70 000 contaminations de 2007.

L’analyse en 2009 des modes de transmission et de prévention contre le VIH en Zambie a montré que le pourcentage des nouvelles infections dues au VIH s’était stabilisé, mais que, en valeur absolue, le nombre des nouvelles contaminations s’était accru du fait de l’augmentation de la population.

71% des nouvelles contaminations résultent d’un rapport sexuel avec un partenaire occasionnel, alors que les personnes déclarant avoir un seul partenaire sexuel représentent 21% des nouvelles infections.

« Ceci montre l’importance du risque d’être contaminé par le VIH même pour ceux qui sont fidèles. Le pays se trouve face à de nouveaux défis pour réduire le taux de contamination parce que la maladie déstabilise les familles et les couples » précise le rapport.

Le faible taux de circoncisions, dans la plupart du pays, et une mauvaise utilisation du préservatif, en particulier chez les couples discordants (dont l’un seulement des partenaires est séropositif) constituent d’autres facteurs de développement de l’épidémie en Zambie.

Bien que la Zambie ait enregistré des succès dans la prévention de la transmission mère – enfant (PMTCT), assurant un approvisionnement sanguin sain, et au travers de campagnes de communication sur les changements de comportements, les auteurs recommandent fortement de concentrer les prochains efforts de prévention sur l’abandon de pratiques courantes telles que celles d’avoir des partenaires multiples et de manière concomitante, ou d’avoir des relations sexuelles transactionnelles et intergénérationnelles.

« Avoir des partenaires multiples et simultanés constitue la cause principale d’infection au VIH en Zambie. Dans ces relations, l’utilisation appropriée et régulière du préservatif reste désespérément insuffisante en dépit d’une mise à disposition des préservatifs facilitée, et la plupart du temps gratuite. » a rappelé le Président Rupiah Banda lors de l’ouverture de la Convention Nationale de Prévention du VIH, la semaine dernière à Lusaka, et a appelé à davantage d’efforts concertés pour juguler les nouvelles contaminations.

Toutefois, le rapport précise que les besoins annuels sont estimés à 200 millions de préservatifs masculins et à 2 millions de préservatifs féminins alors que seulement 96 millions de préservatifs masculins et 500 000 préservatifs féminins sont actuellement disponibles.

Le Vice-Président George Kunda, quant à lui, tient la médiocre capacité des services de lutte contre le VIH/sida et la réticence à modifier les comportements à risques pour responsables du nombre élevé des nouvelles contaminations.

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admin13 novembre 2009
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2min2090

Salomon Kalou s’est engagé à apporter son secours aux malades insuffisants rénaux. L’attaquant des Eléphants et de Chelsea a été intronisé Ambassadeur de la lutte contre l’insuffisance rénale, hier, par le SAMU à l’hôtel du Golf à Abidjan.

Un honneur et une mission de coeur pour le jeune international ivoirien dont le choix a été guidé suite à sa visite aux malades au SAMU. « J’ai décidé de donner de mon temps, mon image pour combattre cette maladie. C’est à nous de nous entraider pour résoudre nos problèmes et non attendre l’Etat parce que l’Etat, c’est nous-mêmes. J’espère que je réussirai à marquer contre l’insuffisance rénale », a lancé le nouvel Ambassadeur.

Aussitôt installé dans ses nouvelles fonctions, Kalou s’est engagé à prendre en charge tous les malades enregistrés, et ce jusqu’en fin d’année. Un premier acte de sa mission qui précède la recherche de moyens pour la construction de centre d’hémodialyse.

Le ministre de la santé et de l’hygiène publique, Allah Remi, tout en appelant les malades à garder espoir, a fait l’état des lieux des moyens dont dispose la Côte d’Ivoire pour faire face à ce fléau. Sans ambages, le ministre a reconnu que l’offre est inférieure à la demande avec des fauteuils obsolètes et du matériel usé.

Aussi, a-t-il remercié Salomon Kalou pour son engagement et l’a exhorté à porter la bonne nouvelle auprès de ses coéquipiers et des autorités susceptibles de soutenir son action dans le monde entier.

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admin13 novembre 2009
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5min1570

Dans dix ans, l’incidence du cancer du sein passera de 30 pour 100.000 actuellement, à 60 pour 100 000 aux environs de 2020. Au lieu de1.500 nouveaux cas par an, 4.000 femmes en seront victimes chaque fin d’année.

Les chiffres font d’autant plus peur, que le cancer frappe dans la tranche d’âge la plus productive. D’année en année, la maladie fait inexorablement son chemin fauchant au passage (elle est la première cause de mortalité de la tranche d’âge 35-55 ans) celles qui n’ont pas eu le réflexe ou la chance de tomber à temps sur la minuscule boule responsable de leur malheur.

Car, et une fois encore les chiffres le prouvent, d’une façon générale, le fameux nodule demeure d’une taille alarmante (50mm) au moment de la détection et met une décennie entière avant de perdre 5 à 6 mm. Pour l’avoir ignoré ou tout simplement pour en avoir eu peur, les femmes payent un lourd tribut au mal puisqu’il représente à lui seul 25% de l’ensemble des cancers féminins et puisqu’il se situe au premier rang des causes de la mortalité féminine. Pourtant, de cancer, on en parle. Dans chaque famille, pas une semaine ne passe presque sans qu’on n’en entende parler autour de soi, à la télé, dans les journaux

Qu’est-ce qui fait alors qu’il gagne toujours du terrain et que, selon les pronostics les plus optimistes, il deviendra, dans seulement quelques années, un problème de santé publique en Tunisie ?

Les raisons sont en fait multiples et variées. D’abord, le cancer reste une question que l’on a de la peine à aborder. Non pas par pudeur, les lamentations figurant en bonne place dans notre culture et nous adorons étaler nos problèmes de santé, non pas parce que l’on ne connaît pas la maladie, mais tout simplement parce que le cancer demeure une question taboue. On ne parle pas de malheur et on ne s’en porterait que mieux!

D’autre part, les spécialistes de la mammographie se situent pour la plupart sur les côtes au détriment, bien sûr, des zones intérieures et, pour tout le pays, on ne dispose que de trois centres anticancéreux auxquels est venu s’ajouter récemment un quatrième à l’Ariana. Il suffit d’y passer une matinée pour se rendre compte de l’encombrement et du nombre impressionnant des malades qui y défilent chaque jour.

Le cancer semble ne pas faire peur seulement à monsieur – tout – le monde et les médecins spécialistes en la matière ne courent pas les rues. Ils sont même si peu nombreux que leurs noms sont presque connus par tout le monde pour peu qu’on s’intéresse à la question. L’auto-palpation n’est pas toujours correctement effectuée et il serait curieux de savoir si vraiment la technique est fiable et si les femmes la pratiquent sérieusement.

Les solutions se posent alors d’elles- mêmes comme l’a fait l’Onfp sur quatre ans dans sa clinique de l’Ariana, il faudrait instaurer des diagnostics quasi systématiques aux femmes, et grâce à la mammographie, le dépistage n’en sera que plus efficace et plus fiable. Plus ce dernier est précoce, plus la tumeur est bénigne et plus le traitement est anodin. Bien sûr, cela ne peut se faire réellement que dans le cadre d’une stratégie nationale de lutte contre le cancer. Une stratégie qui tarde, malheureusement, à se mettre en place.

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admin12 novembre 2009
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5min1570

En cas de fièvre persistante, de maux de tête, de douleurs articulaires, etc., pensez à la grippe de la dengue et allez consulter rapidement la structure sanitaire la plus proche. Tel est le conseil donné par le directeur de la Prévention qui confirme l’existence de la dengue au Sénégal.

Dengue ? Cette affection est devenue familière aux Sénégalais depuis quelques jours. En effet, pour la première fois, des cas de grippe de la dengue sont enregistrés dans notre pays. Au total, 36 cas ont été recensés à la date du 9 novembre 2009 dont 2 dans le département de Mbour (région de Thiès). Cette information émane du Dr Aboubacrine Fall, directeur de la Prévention au ministère de la Santé.

S’agissant de nouveaux cas qui se seraient déclarés dans la journée d’hier, le Dr Fall indique que la situation est faite en étroite collaboration avec l’Institut Pasteur. « Pour l’instant, on attend d’avoir la confirmation ou non de nouveaux cas de dengue », déclare-t-il. La dengue est une maladie infectieuse transmise par les moustiques. « Elle a le même mode de contamination que le paludisme », souligne le directeur de la Prévention, qui précise que c’est une affection due à un virus. Elle se manifeste comme un palu, une grippe simple. Mais, la composante douleur est très nette avec des maux de tête, des douleurs des articulations, etc. ».

Renforcer la surveillance

Les virus de la dengue sont transmis à l’homme par la piqûre des femelles de moustiques infectées du genre aedes. Ce moustique acquiert en général le virus en se nourrissant du sang d’une personne infectée. Après une incubation de huit à dix jours, le moustique infectieux pourra toute sa vie transmettre le virus aux sujets sensibles lorsqu’il procède à des piqûres exploratoires et se nourrit. Mais, « la transmission ne se fait pas d’homme à homme », renseigne le Dr Aboubacrine Fall, qui fait savoir qu’avec l’Institut Pasteur, « il fallait confirmer si les aedes sont présents et contaminés par le virus et essayer de voir sa répartition géographique. Car, c’est cela qui permet d’orienter les mesures de lutte ». Aussitôt après confirmation des cas, l’alerte a été donnée avec notamment le Service national de l’Hygiène qui a entamé une opération d’épandage d’insecticide. Selon le directeur de la Prévention, l’aedes (vecteur de la dengue), contrairement à l’anophèle (vecteur du paludisme), pique aussi bien le jour que la nuit.

En plus, il y a des circonstances qui favorisent la prolifération de ces moustiques qui évoluent dans des zones urbanisées. Pour le Dr Fall, ces genres de moustiques aiment les fleurs. Aussi, indique-t-il : « les vieux pneus, les bassins de rétention, carcasses de véhicules, canaux à ciel ouvert, etc., favorisent le développement de gîtes larvaires ».

Sur les risques en banlieue où sont construits des bassins de rétention pour lutter contre les inondations, le directeur de la Prévention soutient qu’une étude entomologique (L’entomologie médicale est une discipline scientifique qui étudie les insectes, acariens vecteurs ou non responsables de pathologies humaines), va être menée. Mais, il ne manque pas de préciser que « l’aedes est un vecteur qui n’aime pas les eaux souillées. C’est un vecteur roi. Mais, nous allons continuer les opérations de saupoudrage ».

Puisque, aucun vaccin n’est disponible pour traiter cette grippe, le Dr Aboubacrine Fall insiste sur le renforcement de la surveillance épidémiologique. « Il n’y a pas de traitement curatif. Le seul traitement consiste à faire baisser la fièvre. Concernant la dengue hémorragique, le Dr Fall fait savoir que ce sont des cas très rares. « Mais, si on les diagnostique tôt, on peut les maîtriser ».

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admin12 novembre 2009
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6min1420

Kinshasa — En dépit des progrès réalisés au cours des dernières  décennies, les sociétés ne parviennent toujours pas à répondre aux  besoins de soins de santé des femmes à des périodes cruciales de leur  vie. Et cela notamment au cours de leur adolescence puis de leur  vieillesse. Tel est le constat dressé par un rapport de l’Organisation  mondiale de la santé (OMS) publié le lundi 9 novembre 2009. Lire la suite

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