Guide santé Archives - Page 45 sur 51 - Urgences - Parce que la santé est primordiale!

admin20 octobre 2007
CANCER5.jpg
1min2220

Le traitement du cancer est onéreux et pas à la portée du premier venu. La Ligue ivoirienne contre le cancer (LICC), dans son engagement aux côtés des pouvoirs publics contre cette maladie, a offert hier soir, au ministère de la Santé et de l’Hygiène publique un lot de médicaments de chimiothérapie en vue de la prise en charge des malades. Ces médicaments d’une valeur de 48 millions de francs sont le fruit de la générosité manifestée par le public lors du Téléthon et du gala organisés par la LICC en juin dernier.
Selon la présidente de la Ligue, Mlle Bintou Bourgoin, 78 millions ont été collectés au cours de cette opération, mais seulement 48 millions ont été recouvrés à ce jour. 


Sorc: Fratenit Matin 

Lire la suite

admin19 octobre 2007
entretien_general01.jpg
2min2300

Et si l’asthme chez l’adulte, plongeait certaines de ses racines dans l’usage des désodorisants d’intérieur ? Une nouvelle étude espagnole pointe en effet du doigt la toxicité de ces produits, semble-t-il responsables « d’une augmentation importante du risque d’asthme » plus tard dans la vie.


Pour aboutir à cette conclusion, le Dr Jan-Paul Zock et ses collègues de l’Institut de Recherche médicale de Barcelone, ont passé en revue les données de l’étude longitudinale européenne sur la santé respiratoire (ECRHS). Cette dernière incluait 3 500 personnes qui avaient, entre autres, signalé la fréquence à laquelle elles avaient recours aux sprays d’intérieur. Leur capacité respiratoire avait également été évaluée.


Il en ressort que « l’usage fréquent des désodorisants augmente le risque d’asthme à l’âge adulte », conclut Zock. Un sur-risque qui peut atteindre… 50% chez celles et ceux qui ont recours à ces produits plus d’une fois par semaine. Sont concernés, les vaporisateurs et autres diffuseurs d’odeurs couramment utilisés. Même les nettoyants pour vitres sont épinglés…


En 2004, la dangerosité des désodorisants d’intérieur avait déjà été mise au jour par l’UFC-Que Choisir. A l’époque, l’association de défense des consommateurs y signalait la présence d’allergènes, de produits cancérigènes et même de phtalate, un perturbateur endocrinien.


Source: yahoo.news


Lire la suite

admin18 octobre 2007
cosmetic_acupuncture.jpg
4min4270

Selon une étude clinique, la pratique de l’acupuncture avant et durant une intervention chirurgicale réduirait significativement les risques d’effets secondaires liés à l’anesthésie.


« Tandis que les patients traités par acupuncture recevaient nettement moins d’opioïdes [des antalgiques, NDLR] que les autres, les résultats les plus importants ont été constatés au niveau de la réduction des effets secondaires », déclare Tong Joo Gan, anesthésiste de la Duke University Health System (Grande-Bretagne). Et d’ajouter que ces effets secondaires peuvent avoir une influence négative sur la récupération d’un patient et la durée de l’hospitalisation. Ce médecin vient de présenter les résultats de son analyse à la conférence scientifique annuelle de la société américaine d’anesthésiologie à San Francisco. Selon les auteurs de cette étude (qui a compilé quinze ensembles d’observations cliniques), la fréquence des nausées serait divisée par 1,5, les démangeaisons cutanées par 1,3, les vertiges par 1,6 et les problèmes de rétention urinaire par 3,5.
Ces résultats confortent l’hypothèse selon laquelle l’acupuncture jouerait un rôle dans la qualité d’une intervention chirurgicale. D’autres études antérieures, dont certaines ont été conduites par Gan, vont également dans ce sens, indiquant que l’acupuncture réduirait certains effets indésirables, tels nausées et vomissements. Cette méthode possède en plus l’avantage d’être peu coûteuse et de ne présenter aucun effet secondaire si elle est pratiquée par un personnel qualifié et selon toutes les précautions d’usage habituellement appliquées en matière de stérilité (aiguilles à usage unique, etc.).


L’acupuncture


Selon la médecine traditionnelle chinoise, l’état de santé d’un individu reposerait sur l’équilibre énergétique entre le corps physique – le yin – et d’énergie qui anime la matière – le yan – lequel circule le long de conduits appelés les méridiens. Toute perturbation de cette énergie (le Qi) entraîne un blocage qui se traduit par l’entrave au mouvement. L’énergie s’accumule alors en amont de cette entrave et un déficit apparaît en aval. L’acupuncteur tentera alors de localiser l’endroit de ce dysfonctionnement, et à l’aide de l’aiguille, de rediriger le flux d’énergie.
Bien entendu cette théorie (que nous avons ici fortement schématisée…) ne convainc pas le scientifique qui tente de découvrir les raisons du fonctionnement de l’acupuncture, dont certains effets sont aujourd’hui démontrés. Les résultats les plus récents de la recherche semblent s’orienter vers la capacité des points d’acupuncture à stimuler la production d’hormones spécifiques lorsqu’ils sont excités, telles des endorphines. Gan entreprend actuellement de nouvelles études afin d’éclaircir ce schéma.
 
Source: Futira-sciences.com
 
 
 

Lire la suite

admin17 octobre 2007
sida1.jpg
5min2280

Le virus du Sida ne représente plus une condamnation à mort au Botswana, grâce au programme de distribution d’antirétroviraux (ARV) le plus poussé d’Afrique, mais la persistance des tabous empêche de contenir l’épidémie.


« Jusqu’en 2001, les gens tombaient comme des mouches, mais la vie a repris quand les ARV sont arrivés », raconte Francinah Moumakwa-Sinos, qui combat chaque jour le virus grâce à ces médicaments.


La frêle mère de famille a perdu ses trois soeurs, emportées par la pandémie qui a fait chuter l’espérance de vie de 65 ans à moins de 40 ans dans ce pays d’Afrique australe de moins de deux millions d’habitants, dont 270.000 séropositifs.


« Nous sommes menacés d’extinction », lançait en 2001 le président Festus Mogae, en annonçant le premier programme africain de distribution gratuite d’ARV.


Grâce aux recettes de ses mines de diamants, l’Etat fournit aujourd’hui ces médicaments, qui stabilisent les anticorps, à près de 90.000 personnes, ce qui correspond à 85% des séropositifs en ayant besoin, selon l’agence des Nations unies sur le Sida.


La riche Afrique du Sud ne fournit ce traitement qu’à 21% des séropositifs en ayant besoin et le Zimbabwe 8%, selon l’Onusida.


Au Botswana, seuls 8,5% des patients engagés dans le traitement depuis 2002 sont décédés, selon l’Agence de coordination sur le Sida (NACA). « Nous avons réussi à contenir la mortalité », en conclut Joseph Kefas, un de ses responsables.


Autre motif de satisfaction: grâce aux médicaments administrés à toutes les femmes enceintes séropositives, seuls 4% de leurs bébés sont contaminés, un taux comparable aux pays occidentaux.


Mais pour y avoir accès, Francinah, 38 ans, a dû s’opposer à son mari. « Pour lui, le virus n’existe pas, alors il m’a interdit de prendre les médicaments et on a continué à avoir des rapports non protégés. »


En 2003, elle se retrouve enceinte. « Pour mon bébé, je me suis engagée dans le programme de prévention de la transmission de la mère à l’enfant. J’ai donné naissance à un fils séronégatif, mais mon mari m’a quittée. »


Le Botswana a en effet encore beaucoup à faire sur le terrain des tabous.


« Quand vous dites que vous êtes séropositif, les gens ne vous croient pas ou vous rejettent, en vous traitant de sorcière ou de femme adultère », raconte Francinah.


« Les discriminations sont fréquentes sur le lieu de travail ou au sein des communautés », confirme Uyapo Ndadi, membre de Bonela, une ONG qui défend les droits des séropositifs.


Il cite l’exemple d’une femme de ménage, licenciée quelques jours après avoir révélé son statut à une collègue, ou encore celui d’une scène de drague interrompue par une curieuse qui a lancé au soupirant: « Tu vas mourir, cette femme est séropositive! »


A cause de cette stigmatisation, de nombreux Botswanais hésitent à se soumettre aux tests de dépistage. Moins de 30% de la population connaît son statut, ce qui favorise les comportements à risque.


« Quand ils ne voient pas l’intérêt direct pour eux, les gens ne changent pas de comportements aussi rapidement que nous le souhaiterions », déplore Joseph Kefas.


En conséquence, le nombre des nouvelles contaminations n’enregistre qu’un léger fléchissement. En 2006, 32,4% des femmes enceintes, seules à bénéficier d’un dépistage systématique, étaient porteuses du virus, contre 33,4% en 2005.


Le gouvernement vient de reconnaître qu’il n’a pas fait assez pour la prévention, avec des financements « peu importants et en déclin depuis quelques années », selon NACA. Pour y remédier, il est prévu de lancer des campagnes plus ciblées.


L’objectif est de parvenir à zéro nouvelle contamination en 2016 pour le 50e anniversaire de l’indépendance du Botswana, parce que « le programme d’ARV coûte très cher et n’est pas tenable à long terme », indique Monica Tselayakgosi, responsable des programmes de NACA.


Source: yahoo.news

Lire la suite

admin15 octobre 2007
moustique.jpg
1min2080

Sanofi Pasteur, la division vaccins du groupe Sanofi-Aventis annonce la signature d’un accord de collaboration avec l’Institut Pasteur pour le développement d’un vaccin contre le paludisme.



Selon les termes de cet accord, Sanofi Pasteur a accès à des antigènes identifiés par l’Institut Pasteur de Plasmodium falciparum, le parasite responsable des formes mortelles de paludisme.


Sanofi Pasteur a l’intention d’utiliser ces antigènes pour développer un vaccin candidat sûr et efficace contre le paludisme, précise le groupe pharmaceutique dans un communiqué.


Ce projet de vaccin est actuellement en phase préclinique.


D’après l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), près de 40% de la population mondiale, vivant en majorité dans les pays les plus pauvres, sont exposés au risque de paludisme.


Chaque année, plus de 500 millions de personnes sont gravement malades de paludisme, et plus d’un million d’entre elles en meurent, essentiellement de jeunes enfants et des femmes enceintes, dont la majorité vit en Afrique, plus précisément en Afrique sub-saharienne.


Source: yahoo.news

Lire la suite

admin13 octobre 2007
medicaments2.jpg
6min2800

La pharmacogénétique vise à identifier de nouveaux marqueurs permettant de prédire la réponse à un médicament. Mais elle n’est pas sans soulever de nombreuses questions éthiques, politiques et sociales.


 MÉDECINS et pharmaciens ont depuis longtemps constaté qu’un médicament efficace pour un patient ne l’est pas forcément pour un autre. Certaines personnes même n’y sont absolument pas sensibles alors que d’autres y sont exagérément réactives, avec même parfois des risques d’effets secondaires majeurs, voire mortels.


Depuis peu, on sait que de telles variations peuvent avoir des origines génétiques. C’est l’objet d’une toute nouvelle discipline, la pharmacogénétique. Son objectif, identifier de nouveaux marqueurs capables de prédire la réponse à un médicament chez un patient donné afin d’éviter de lui prescrire un traitement qui s’avérerait inefficace ou, pis, toxique.


Plusieurs communications ont été consacrées à ce sujet novateur à l’occasion d’un séminaire européen organisé le 2 octobre dernier à Paris à l’instigation du Conseil de l’Europe, du ministère de la Santé et de l’Agence de la biomédecine.


Aux États-Unis la toxicité due à des médicaments est à l’origine de 100 000 décès par an, selon les estimations. En France, elle serait la cause de 3,2 % des hospitalisations pour un surcoût estimé à 320 millions d’euros.


Le Pr Philippe Beaune, de l’unité de pharmacogénétique et oncologie moléculaire de l’université René-Descartes et du laboratoire de biochimie de l’hôpital européen Georges-Pompidou, à Paris, cite l’exemple classique des anticoagulants oraux (antivitamines K). Prescrits à près de 500 000 personnes en France pour éviter la formation de caillots, ils ont un inconvénient : leur variabilité d’efficacité, qui va de un à dix.


Si certains malades n’ont besoin que de 5 à 10 milligrammes par semaine pour maîtriser leur fluidité sanguine, d’autres ont besoin de doses allant de 75 à 80 mg par semaine. Tant et si bien qu’il est d’usage au départ de prescrire une dose moyenne, puis de l’ajuster ensuite en fonction des réactions individuelles. Car il existe un certain nombre d’accidents, liés à un excès d’efficacité (d’où un risque de saignements) ou à l’effet inverse, avec l’éventualité de caillots et d’embolie. On déplore chaque année dans notre pays 3 000 décès par an et 17 000 hospitalisations consécutives aux effets secondaires de ces anticoagulants.


Seuls pour l’instant quelques laboratoires hospitaliers proposent aux médecins de réaliser des tests de pharmacogénétique pour déterminer cette susceptibilité individuelle par génotypage et phénotypage. Le premier test permet de savoir si l’individu est un « métaboliseur » lent, rapide ou ultrarapide du médicament. Le second, en dosant les enzymes de dégradation de la molécule, permet de connaître l’activité de l’anticoagulant chez cette personne.


Éviter les accidents


Le développement de cette nouvelle discipline devrait permettre de réaliser des tests génétiques chez les patients justiciables de ce type de thérapeutique, et leur éviter ainsi des accidents grâce à la mise en oeuvre de traitements personnalisés.


D’autres grandes familles sont concernées : des immunosuppresseurs (destinés à lutter contre le rejet de greffe), des antirétroviraux (contre le sida) et des anticancéreux. Certains de ces derniers ont une fenêtre thérapeutique étroite : la dose efficace est sur le fil, à la limite parfois de la dose toxique. « Comme on commence à savoir détecter la carte génétique d’identité des tumeurs, on peut espérer réussir un jour à adapter les chimiothérapies anticancéreuses à chaque patient en fonction des caractéristiques propres de son cancer », espèrent les spécialistes. Mais est-ce à dire que l’on arrivera à guérir des patients que l’on ne guérissait pas jusqu’ici ? La question reste posée.


« Si la pharmacogénétique est susceptible d’apporter un réel bénéfice aux malades, elle n’est pas sans soulever de nombreuses questions éthiques, politiques et sociales », met en garde le Pr Göran Hermeren (université de Lund, en Suède), président du groupe européen d’éthique des sciences et des nouvelles technologies. Car on accède ainsi à l’identification du génome de la personne et donc à sa carte d’identité génétique.


Comment rassembler et traiter ces précieuses données tout en respectant l’intimité du patient ? Comment lui fournir des informations claires et compréhensibles ? Qui va financer la formation des généralistes à ces nouvelles pratiques ? Quelle agence ou autorité doit vérifier la qualité des essais de pharmacogénétique, le niveau de compétence des laboratoires analysant les échantillons, et l’application des directives nationales relatives à la protection des données ?


Enfin, qui va payer le surcoût de ces tests ? Pour l’instant, ce sont les groupes de recherche des hôpitaux. Mais par la suite, qui les prendra en charge ?


Source: Le figaro

Lire la suite

admin11 octobre 2007
rhumatisme_path.jpg
3min2710

Les douleurs lombaires appelées communément maux de reins sont un véritable problème de santé ayant des répercussions socio- économiques .Huit personnes sur dix en souffrent aujourd’hui en Côte d’Ivoire. Fort de ce constat, la Société ivoirienne de rhumatologie (SIRH) a choisi de réfléchir jeudi, sur les différentes pathologies responsables de ce mal, à l’occasion de son 2ème congrès à Versus Bank au Plateau.
Autour du thème «les lombalgies», les conférenciers ont fait le tour des infections relatives à la rhumatologie avant de faire des recommandations à la population. Il ressort que les activités professionnelles, de ménage, sportives et même les gestes habituels (mauvaise posture, soulever un objet…) sont des facteurs de risques non négligeables.
Pour le professeur Kouakou N’dri, président du SIRH, ce sujet est d’actualité dans la mesure où cette maladie constitue un handicap professionnel pour des «milliers de travailleurs et provoque de nombreux désastres en entreprise». Le traitement très coûteux et la difficulté d’obtenir des prises en charge pour cette maladie sont au nombre des difficultés rencontrées par les malades, déplore-t-il. M. Kouakou a saisi l’occasion pour présenter sa société qui est restée très discrète depuis sa création en 1989. Dr. Marcel Koffi, directeur de cabinet représentant le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, a salué cette initiative des rhumatologues qui vise à mieux appréhender la maladie et à être outillés pour sa prévention. Il leur a recommandé par la même occasion de promouvoir cette spécialité en étendant leurs activités sur tout le territoire national. On ne compte que huit rhumatologues et un seul service de rhumatologie au CHU de Cocody. Il a donc estimé qu’ils sont en nombre restreint face au nombre de plus en plus élevé des malades.


Source: Fraternité Matin

Lire la suite

admin10 octobre 2007
sida1.jpg
2min2500

Libreville (Gabon) – Antonia Radelli, chercheur italien à l’Université de Milan (Italie) effectue depuis quelques jours, des tests d’un vaccin préventif contre le VIH/Sida, sur des singes du Centre international de recherches médicales de Franceville (CIRMF), a annoncé l’intéressée, interrogée lundi à radio Masuku émettant de Franceville, au Gabon.


Le singe macaque est l’espèce la mieux indiquée pour effectuer les expériences en cours, a-t-elle affirmé sans communiquer plus de détails sur la nature de ce vaccin et ses effets sur les singes en question.


L’expert italien affirme travailler aux côtés du chef du département de virologie du CIRMF, Mirdad Kazanji qui gère au quotidien ces macaques.


L’expérience actuelle est financée par l’Union européenne, selon Mme Radelli.


Le CIRMF créé par l’Etat gabonais grâce à un appui du pétrolier Total Gabon est spécialisé dans les recherches des maladies tropicales. Depuis des années il sert de laboratoire de recherche pour plusieurs pathologies tel que le redoutable virus à fièvre hémorragique de type Ebola.


Source: APA

Lire la suite

admin8 octobre 2007
ordre-de-malte-lepreux.jpg
2min3390

Plaider pour une seule cause, celle de millions d’hommes dont l’ignorance, l’égoïsme de la société ont fait des «lépreux», des «rejetés». Tel est le combat que Raoul Follereau (1903-2007), le vagabond de la charité a, toute sa vie durant, mené. Avocat devenu par la suite journaliste, c’est au cours d’un de ces voyages au Sahara qu’il va trouver «le but de son existence». C’est par ces mots que le Pr. Assé Henri, chirurgien, qui a été directeur de l’Institut Raoul pendant 12 ans, a présenté celui-ci au cours d’une conférence. Et ce à l’occasion de la cérémonie d’ouverture des manifestations commémorant les 30 ans (1977-2007) du décès de Raoul Follereau, fondateur, en 1906, de la Fédération internationale des associations de lutte contre la lèpre. C’était samedi à l’institut de santé publique d’Adjamé. Raoul Folle-reau, grâce à qui le lépreux bénéficie d’une assurance maladie totale, sera célébré jusqu’au 26 octobre prochain à Abidjan et Adzopé. M. Franck Guéï, conseiller spécial du Président Laurent Gbagbo, qui le représentait, a remis au nom de celui-ci, une enveloppe de 2 millions de francs cfa pour soutenir l’association.


Source: Fraternité Matin

Lire la suite

admin6 octobre 2007
lepre2.jpg
1min2710

Cela fait 30 ans (1977- 2007) que Raoul Follereau, le vagabond de la charité, a quitté ce monde. A l’occasion de ce 30ème anniversaire, l’Union internationale des associations Raoul Follereau a décidé de faire de ce mois d’octobre 2007, le mois « Raoul Follereau « . La section Côte d’Ivoire ne veut pas rester en marge de cette commémoration. Du 6 au 12 octobre prochain, des manifestations seront organisées dans ce sens.
La lèpre le combat de Raoul ; la mondialisation de l’amour sont les thèmes qui seront entre autres traités au cours de conférences à Abidjan et à Adzopé. Pour Coty Diakité, président de la section Côte d’Ivoire, il s’agira de perpétuer l’œuvre de ce “grand homme” que fut Raoul Follereau et de le magnifier. La lèpre en Côte d’Ivoire, c’est 976 nouveaux malades, 2643 malades traités dont 1312 déclarés guéris , 71 perdus de vue et 16 cas de décès.


Source: Fraternité Matin

Lire la suite

Page 45 de 51
1 41 42 43 44 45 46 47 48 49 51