Guide santé Archives - Page 40 sur 51 - Urgences - Parce que la santé est primordiale!

admin26 avril 2008
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3min2640

La célébration nationale aura lieu le 16 mai à Agou. Les chiffres sont alarmants. L’Unicef demande de redoubler d’effort contre la maladie mortelle qu’est le paludisme. Et cela à la faveur de la Journée mondiale de lutte contre cette maladie célébrée hier, et dont la manifestation officielle en Côte d’Ivoire sont prévues pour le 16 mai prochain. Sous le thème : «Paludisme, une maladie sans frontière ». Avec pour slogan : « Tous unis contre le paludisme ». Le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Dr. Allah Kouadio, a indiqué dans la déclaration qu’il a faite au nom du gouvernement, que près de 172 enfants de moins de 5 ans décèdent tous les jours du paludisme. Pour lui, il s’agit d’une journée de détermination et d’optimisme. Car la communauté internationale a maintenant suffisamment de preuves que le combat peut être remporté si les partenaires collaborent efficacement aux niveaux communautaire, local, national, régional et international. En Côte d’Ivoire, le paludisme est la première raison de consultation et d’hospitalisation. Environ 3,5 millions d’enfants de moins de cinq ans et un million de femmes enceintes y sont exposés. L’Unicef affirme par ailleurs que cette maladie est l’une des premières causes de mortalité chez les touts- petits. 63000 enfants de moins de cinq ans meurent en moyenne chaque année dans les hôpitaux du paludisme. Et chaque heure, environ sept enfants. Ce mal représente 33% de tous les décès survenant dans les hôpitaux. De plus, près de 50% des pertes agricoles et 40% de l’absentéisme scolaire sont dus au paludisme. Il est urgent, selon l’organisation, d’appuyer la Côte d’Ivoire dans l’approvisionnement en moustiquaires imprégnées et médicaments pour pouvoir prévenir et traiter la maladie de façon correcte et adéquate. Mme Ann M.Veneman, directrice générale de l’Unicef, a déclaré qu’il est inacceptable que le paludisme tue chaque année plus d’un million de personnes en majorité des enfants. Les statistiques de l’OMS indiquent que la maladie fait plus d’un million de victimes chaque année dans le monde, dont 90% en Afrique au sud du Sahara. Aussi le secrétaire général de l’ONU a-t-il demandé aux praticiens de traiter le palu avec beaucoup plus de rigueur et de sérieux.


Source: Fraternité Matin

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admin25 avril 2008
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L’école primaire publique Biabou II, située dans la commune d’Abobo, est le grand vainqueur de la 1ère édition du concours intercommunal de sensibilisation des écoliers au paludisme. Le concours organisé par le Programme national de santé scolaire et universitaire (PNSSU) en partenariat avec le groupe Sanofi-aventis, s’est déroulé, mercredi, au Palais de la culture de Treichville. 10 écoles des communes d’Abidjan étaient en compétition. Le directeur général de Sanofi-aventis, M. Tiéné Idrissa, est convaincu que c’est par le canal des enfants qu’on pourra faire une large diffusion des dangers du paludisme et des mesures d’hygiène à observer pour l’éviter. Il a donc exhorté les enfants à sensibiliser leurs proches. Le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Dr. Allah Kouadio Rémi, a lui aussi encouragé les écoliers à respecter les règles d’hygiène et à utiliser les moustiquaires imprégnées pour lutter efficacement contre cette maladie. Des kits d’hygiène comprenant des brouettes, des râteaux et des produits d’entretien ont été remis aux 10 établissements en compétition.
Nimatoulaye Ba
Coup d’œil
SYNDICAT. Elu nouveau secrétaire général du Syndicat national des agents des banques, établissements financiers et assurances de Côte d’Ivoire (Synabefa-Ci) lors du congrès extraordinaire du 13 décembre dernier, M. Guébo Nickel a été installé récemment à Abidjan-Plateau. «Il nous faut nous mettre ensemble pour lutter pour le bien-être des membres», a insisté M. Angui. M. Guébo Nickel, lui, a placé son mandat sous le signe de la redynamisation. «Nos priorités concernent la syndicalisation de toutes les entreprises du secteur. Il nous faut aussi organiser la formation des délégués du personnel et renouer avec nos collaborateurs extérieurs», a-t-il indiqué.


Source: farternité Matin

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admin22 avril 2008
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2min2580

Les dégâts causés par l’hypertension artérielle et le diabète sont de nature à compromettre de façon irréversible la productivité et les activités économiques en milieu rural. Le souci, sinon de venir à bout, au moins d’en réduire l’impact sur l’économie locale a amené les fils et filles de Koffikro, dans le département d’Aboisso à réagir. L’Union de la nouvelle génération pour le développement de Koffikro (UNGDK) a donc organisé le samedi 12 avril une séance gratuite de consultation générale en faveur des populations du village. En vue d’une détection précoce et d’une prise en charge rapide des malades. Parce que reconnaît M. Diakité Fédé, le président de l’Union  » par manque d’information, par ignorance et surtout par manque de moyens, de nombreux parents sont devenus handicapés à vie et par conséquent improductifs « . Alors qu’une sensibilisation en amont où une détection à temps du mal, aurait pu les épargner et les maintenir par conséquent dans le tissu socio-économique. L’issue de la consultation générale donnera raison au président. Puisque sur la centaine de personnes soumises au contrôle, un peu plus d’une trentaine sont diabétiques ou susceptibles de développer sous peu le mal. Vingt autres sont, quant à elles menacées par l’hypertension. A ces potentiels malades, des conseils et premiers soins ont été prodigués gracieusement grâce aux efforts de l’union qui a bénéficié, du soutien de la pharmacie de la santé publique (PSP). L’union, a déclaré son président, ne va pas s’arrêter en si bon chemin, car l’affluence commande qu’elle multiplie ses actions dans le sens du bien-être des populations.


Source: Fraternité Matin

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admin21 avril 2008
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2min2310

Le comité national anti-tuberculeux de Côte d’Ivoire veut relancer la lutte contre le fléau dans toutes les zones gouvernementale et CNO. Réuni la semaine dernière à Yamoussoukro, le comité national de lutte contre la tuberculose entend relancer la lutte contre le fléau. Considérée comme un problème de santé publique, la tuberculose a une incidence annuelle supérieure à 100 pour 100000 habitants. Le nombre de cas malheureusement augmente chaque année. Et l’épidémie du VIH /SIDA a aggravé celle de la tuberculose. Selon les chiffres du Comité national anti-tuberculeux de Côte d’Ivoire (CNACI) et du Programme national de Lutte contre la Tuberculose (PNLT), 36% des cas de tuberculose sont liés au VIH/SIDA et on estime que 45% des patients tuberculeux sont co-infectés par le VIH. Le drame est que, malgré la disponibilité d’un traitement efficace, on observe une autre forme de résistance aux antituberculeux disponibles. Et la crise du 19 septembre 2002 a aggravé ce tableau déjà préoccupant. En effet, compte tenu de la crise, les Centres anti-tuberculeux des régions CNO ont été abandonnés, ainsi que les malades. Ce qui a entraîné l’arrêt des activités de lutte sur le terrain. Face à cette situation très préoccupante, le comité national anti-tuberculeux que dirige le Dr Coulibaly Issa Malick, s’est planché sur le sujet et chercher à trouver des solutions idoines. Il s’agit de redynamiser et renforcer les actions sur le terrain. Car, il ressort des explications des experts que de 2001 à 2007, les actions sur le terrain ont baissé.


Source: Le Temps

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admin19 avril 2008
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La première clinique à être certifiée ISO 9001-2000 pour la qualité de ses prestations médicales en Afrique de l’ouest est ivoirienne. C’est la Clinique médicale du grand centre (CMGC).
Dr Kouamé Konan, le directeur général de cette clinique sise à Yopougon était face à la presse le mercredi dernier 16 avril dans un hôtel au Plateau pour donner l’information à la presse. Il a fait savoir qu’il souhaite faire de sa clinique  » une référence  » sur le plan médical. Il a en projet la construction d’une polyclinique qui est en étude et qui devrait coûter 5 milliards Fcfa. Marcellin Koffi, le responsable du département qualité a expliqué que l’un des facteurs qui a milité dans l’obtention de la certification est  » la prise en compte des besoins et des attentes du patient  » et a invité les autres centres de santé en Côte d’Ivoire à souscrire à un programme de certification en vue d’offrir des services de qualité aux Ivoiriens. C’est la structure AFAQ qui, après un audit en décembre dernier, a attribué la certification ISO 9001-2000 à la CMGC. Désormais, Marcellin Koffi, promet que l’objectif à court et moyen terme est la triple certification en système Qualité sécurité, santé et environnement (QSSE).


Source: Le Nouveau Réveil

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admin18 avril 2008
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Le Comité National Antituberculeux de Côte d’Ivoire (CNACI) a sommé, à l’issue de deux jours d’atelier (11 et 12 avril 2008) à Yamoussoukro, les entreprises à faire un dépistage actif de la tuberculose en leur sein. C’était en marge de la célébration de la journée mondiale de la lutte contre la tuberculose où le CNACI s’est réuni pour réfléchir sur la Redynamisation et le Renforcement de ses Activités de terrain dans le Contexte Post Crise.
Selon le rapport final de l’atelier, les participants ont exigé la mise à disposition des Centres Anti-Tuberculeux (CAT) de région, “les textes de décret faisant obligation aux chefs d’entreprises de faire des radios de dépistage actif de la tuberculose en entreprise ”. Les participants ont invité les responsable des CAT à répertorier les entreprises dans chaque zone de coordination régionale de sorte que les médecins chef de CAT, munis du décret, aillent “prendre contact avec les chefs d’entreprises pour leur expliquer l’obligation de surveillance radiologique des ouvriers pour se conformer aux lois de la médecine du travail”.
Les travaux conduits par Dr. Coulibaly Issa Malick, Secrétaire Général du CNACI, ont été ouverts par le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, M. Allah Kouadio Rémi. Ils ont permis de lancer des ébauches de pistes, en vue de redynamiser les comités régionaux par un processus de rencontre avec les différentes autorités administratives, politiques, coutumières, les leaders d’opinion, les ONG et les chefs religieux de chaque région. Au terme de ces rencontres soutenues par des conférences, exposés ou des émissions à travers les radio de proximité, les comités régionaux devront être mis en place, selon les statuts et règlement intérieursdu CNACI.
Par ailleurs, l’atelier a défini les conditions de participation des centres de dépistage et de traitement (CDT) à la campagne sur le timbre antituberculeux. Les participants exigent que dorénavant, tous les CDT doivent nécessairement participer à la campagne du timbre sous la supervision du médecin chef coordonnateur régional et que de même, ils doivent s’approvisionner auprès du CAT (chaque CDT aura un numéro de compte ouvert au comité par le médecin chef). L’atelier a aussi,recommandé l’instauration d’une campagne du timbre au niveau des établissements scolaires et demandé aux CDT de justifier avec des pièces afférentes, l’utilisation des ristournes reçues dans le cadre de la vente des timbres.
Enfin, s’agissant de la « mise en place d’un comité de gestion au sein des CAT », le principe a été adopté par l’atelier. De même que le principe de « l’ouverture de compte pour la gestion de la subvention des CAT ». Les modalités devront être définies en collaboration avec le CNACI.
Le CNACI a été créé en 1957. L’atelier de Yamoussoukro qui a fait le bilan du comité est donc une des premières activités prévues pour la commémoration du cinquantenaire de ce comité qui est une association reconnue d’utilité publique par décret n 67-232 du 2 juin 1967. Est reconnue d’utilité publique par l’autorité administrative, toute association dont le but et les objectifs ont un caractère d’intérêt général évident et très fort.
De ce statut découlent des prérogatives plus larges (article 21 de la loi n 60-315 du 21 septembre 1960). Les associations reconnues d’utilité publique ont une personnalité juridique. Elles peuvent faire tous les actes de la vie civile.


Source: Notre voie

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admin15 avril 2008
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2min1950

La mortalité infantile continue d’être un souci dans le monde. Le rapport 2008 de l’UNICEF sur «la situation des enfants dans le monde» et particulièrement sur «la thématique de la survie de l’enfant» relève les décès comme un véritable frein au développement. En Côte d’Ivoire, «87.000 enfants de moins de cinq ans meurent encore chaque année», mentionne le rapport. Cette situation, pour la structure avocate des droits de l’enfant, est d’autant inacceptable que «bon nombre de décès pourraient être évités ». La Côte d’Ivoire se trouve ainsi loin des objectifs du millénaire, qui prescrivent « la réduction du taux de mortalité des enfants de moins de cinq ans de deux tiers entre 1990 et 2015». En effet, précise le rapport, «pour passer à un maximum de 51 décès pour 1000 naissances vivantes, la Côte d’Ivoire aurait dû se retrouver en 2006 avec 79 décès pour 1000 naissances vivantes, soit une réduction de 48% au lieu de 127 ». Malheureusement, le pays se retrouve en deçà des espérances, à cause des pathologies telles que, «la diarrhée, le paludisme, la malnutrition aiguë et le VIH». C’est pourquoi le bureau Côte d’Ivoire et sa représentante-résidente l’encouragent à plus d’efforts en combattant «les effets dévastateurs de ces pathologies». Toutefois, l’UNICEF apprécie la volonté politique affichée qui a permis à la Côte d’Ivoire «d’adopter la stratégie d’accélération de la survie et du développement de l’enfant (SASDE) », en collaboration avec cette structure, l’OMS, la Banque mondiale et d’autres structures. « Il reste toutefois essentiel d’assurer le renforcement quantitatif et qualitatif de ce programme », selon le rapport.


Source: fraternité Matin

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admin14 avril 2008
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3min1720

Moins d’un quart des 68 pays qui concentrent la quasi-totalité de la mortalité maternelle et infantile sont sur la voie d’atteindre les Objectifs du millénaire pour le développement dans ces domaines, selon la dernière livraison de l’hebdomadaire médical britannique The Lancet.


Le rapport 2008 du « Compte à rebours 2015 » dresse un bilan à mi-parcours: « un progrès rapide est possible, mais bien davantage peut et doit être fait », notent ses auteurs.


Seulement 16 des 68 pays considérés progressent vers la diminution des deux-tiers de la mortalité des enfants de moins de 5 ans entre 1990 et 2015 (objectif 4), souligne de son côté Richard Horton, rédacteur en chef de l’hebdomadaire. Ce sont : Brésil, Bangladesh, Egypte, Mexique, Indonésie, Népal, Philippines, Bolivie, Erithrée, Guatemala, Laos, Pérou, Maroc, Chine, Haïti et Turkménistan.


Malgré des « succès notables », comme celui de la Chine, « le progrès depuis 2005 est décevant », estime-t-il.


La situation en Afrique reste particulièrement préoccupante: « au moins la moitié de la mortalité infantile et maternelle concerne l’Afrique sub-saharienne », souligne M. Horton.


Dans 12 pays de cette région, la situation s’est même aggravée (Botswana, Swaziland, Zimbabwe, Lesotho, Kenya, Congo, Guinée équatoriale, Afrique du Sud, Cameroun, Tchad, République centrafricaine et Zambie).


La mortalité maternelle reste élevée ou très élevée dans 56 des 68 pays. Les données manquent pour déterminer si les pays progressent dans l’amélioration de la santé maternelle (objectif 5).


Fondé en 2005, le « Compte à rebours 2015 » est une collaboration entre institutions (dont l’OMS, l’Unicef ou la Fondation Bill et Melinda Gates), visant à établir un compte-rendu des objectifs atteints et relancer les efforts des pays concernés. La 2e conférence « Compte à rebours 2015 » se tiendra au Cap (Afrique du Sud) du 17 au 19 avril.


Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, a annoncé récemment l’organisation en septembre d’une réunion internationale visant à stimuler la mise en oeuvre des huit Objectifs du millénaire pour le développement, approuvés par les dirigeants du monde en 2000 pour réduire la pauvreté à l’horizon 2015.


Source: AFP

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