Guide santé Archives - Page 39 sur 51 - Urgences - Parce que la santé est primordiale!

admin26 mai 2008
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2min1800

En vue d’améliorer la mise en œuvre de la
composante (promotion du conseil et dépistage) au sein de la
population, le Réseau ivoirien des organisations de personnes vivant
avec le vih/sida (Rip+) a organisé vendredi, à Port-Bouët, une
cérémonie de signature d’une convention de partenariat avec les réseaux
d’organisations et des Ong engagées dans l’exécution de ce projet.
Ainsi, à travers le projet « Servir » qui durera trois ans, le Rip+
entend mobiliser la population dans l’optique du Cdv (Conseil et
dépistage volontaire). D’ailleurs, le but du programme «Servir» est de
contribuer à l’amélioration de la qualité de vie des personnes vivant
avec le vih/sida en Côte d’Ivoire, en accroissant la disponibilité et
l’accès à des services de soins et un soutien de qualité à base
communautaire. Pour le chargé de programme du Rip+, Claude Baheto, ce
projet a été possible grâce au soutien du gouvernement américain. Il se
fera en trois volets dont le premier consistera à renforcer les
capacités administratives et financières du Rip+ et celles de ses
organisations affiliées à 100%. Le deuxième volet visera la promotion
du dépistage au sein de la population en général. Enfin, dans le
dernier volet, il sera question de prendre en compte les personnes
affectées. Selon Mme Abo Larissa, coordonnatrice du projet Cdv à
Port-Bouët, c’est une bonne initiative, puisqu’elle permettra d’être
plus efficace sur le terrain. Lire la suite

admin20 mai 2008
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2min1880

Quinze formateurs nationaux sont formés
depuis hier en insertion et retrait des implants Jadelle au siège de
l’AIBEF à Treichville. Cette formation qui prend fin le vendredi 23 mai
s’inscrit dans le cadre des activités de la direction de coordination
de la santé de reproduction et de planification familiale (dc-Pnsr/pf)
en collaboration avec l’Unfpa. La dc-Pnsr/pf se propose avec l’appui de
l’Unfpa d’introduire les implants dans la gamme des produits
contraceptifs disponibles en Côte d’Ivoire, conformément à la politique
nationale de la santé et la reproduction (1998) qui vise à élargir les
méthodes contraceptives mises à la disposition des populations. Le
produit en question se présente sous forme de capsules fines, souples,
contenant du Levonorgestrel (hormone synthétique) que l’on place sur la
face interne du bras, 6 à 8 cm du pli du coude. Il en existe différents
types : le Norplant, avec six capsules, le Jadelle avec deux capsules,
et l’implanor avec une capsule. Le produit dont la promotion sera faite
en Côte d’Ivoire est le Jadelle. C’est une méthode de protection de
longue durée qui rend la glaire cervicale impénétrable aux
spermatozoïdes. Il faut un personnel qualifié pour manipuler ces
implants. D’où la formation de médecins, de gynécologues et de
sages-femmes en provenance des quatre Chu. Les Ivoiriennes ont enfin
accès à cette méthode contraceptive parce que l’Etat l’a voulu. Lire la suite

admin19 mai 2008
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3min1910

Les hépatites chroniques B et C, dix fois plus répandues que le sida
avec 500 millions de personnes infectées dans le monde, doivent
bénéficier d’une attention équivalente aux autres maladies virales,
comme le sida, la tuberculose et le paludisme, a réclamé lundi l’ONG
Alliance hépatite mondiale.
« Alors qu’une personne sur douze est infectée par une hépatite B ou
C, il y a un manque sérieux d’attention et de volonté politique de
s’occuper de ces maladies », s’est alarmée l’association, en marge de
l’assemblée annuelle de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Lire la suite

admin15 mai 2008
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2min2360

L’institut de cardiologie veut mettre l’accent sur la prévention des maladies cardio-vasculaires.
Une journée de dépistage gratuit. C’est ce qu’a offert hier, l’institut de cardiologie d’Abidjan à la population. En prélude à son trentenaire et en commémoration de la journée mondiale de lutte contre l’hypertension artérielle. Ce, à l’initiative de la société ivoirienne de cardiologie, avec l’appui technique du laboratoire Sanofi aventis. La commune d’Abobo a accueilli cette manifestation dans l’enceinte du complexe socio-éducatif.Plusieurs centaines de personnes d’un certain âge, ont pris d’assaut le site expérimental du dépistage gratuit pour connaître leur statut. C’est à juste titre que le directeur pour la Côte d’Ivoire de Sanofi aventis, Hyppolite N’Guessan, a indiqué que le choix de la commune d’Abobo a été motivé par le fait que la plupart des résidants n’ont pas le réflexe du dépistage. Toutefois, le responsable du laboratoire exprime tout l’engagement de son industrie pharmaceutique à aider à bouter
l’hypertension artérielle hors de la Côte d’Ivoire. Dr Kramo Euloge de l’institut de cardiologie, fera remarquer pour sa part, que l’hypertension artérielle est une maladie asymptomatique. Ce qui impose que les populations doivent changer de comportement en vérifiant régulièrement leur tension pour ne pas se laisser surprendre par la maladie. Les organisateurs de la journée de sensibilisation et de dépistage gratuit de l’hypertension artérielle ont décidé de rééditer cette action désormais le 14 mai de chaque année.


Source: Fraternité Matin

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admin14 mai 2008
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3min9680

La 3ème édition de la journée africaine a été célébrée, samedi, par l’ONG Lanaya universel à la mairie annexe d’Attécoubé. C’était en présence du maire de la commune, M. Danho Paulin. La cérémonie a été marquée par une séance de dépistage de 100 enfants de la commune et d’une conférence publique prononcée par Pr. Ibrahima Sanogo, chef du service d’hématologie du Chu de Yopougon. La conférence, qui portait sur «L’anémie chez le drépanocytaire», a été l’occasion pour Pr. Sanogo de sensibiliser la population aux risques de cette maladie héréditaire du sang et aux mariages à risques. Au dire du conférencier, 150 millions de personnes dans le monde sont atteintes par ce mal qui se manifeste par des douleurs articulaires et osseuses très intenses, l’anémie et des complications telles que les insuffisances cardiaques, les plaies chroniques, la cécité, l’effritement des os, etc. Très fréquente chez les sujets de race noire, la drépanocytose touche près de 40 % de la population de l’Afrique centrale où la fréquence est très élevée, a confié Pr. Sanogo. Pour lui, la drépanocytose est pratiquement incurable car la greffe de la moëlle osseuse qui coûte entre 70 et 100 millions de francs CFA n’est pas à la portée de tous et le succès n’est pas garanti. Au regard de ces faits, il a conseillé aux uns et aux autres de faire le test d’électrophorèse d’hémoglobine afin de déterminer son type d’hémoglobine et éviter ainsi les mariages à risques. Il s’agit, selon lui, de mariage entre deux personnes atteintes de la drépanocytose. Qui peuvent donner naissance à un enfant présentant la forme grave de la maladie. Pour la présidente de Lanaya universel, Mme Fofana Awa, ainsi que la responsable humanitaire de l’Union africaine, Mme M’Boundzi, la population, les politiques et les médecins doivent conjuguer leurs efforts pour combattre la maladie.


Source: Fraternité Matin

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admin13 mai 2008
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5min4180

Evaluer le taux de sucre dans son sang, c’est le quotidien des patients diabétiques. Répété plusieurs fois par jour, ce geste permet de mieux gérer sa maladie. Pour minimiser les contraintes de cette autosurveillance, les lecteurs de glycémie sont de plus en plus pratiques. Grâce à nos conseils, choisissez le bon !


Selon l’Organisation mondiale de la santé, 180 millions de personnes sont atteintes de diabète dans le monde et ce chiffre devrait doubler d’ici 2030 ! La France n’est pas épargné avec plus de deux millions de malades. Face à cette maladie chronique caractérisée, le patient est souvent acteur de sa prise en charge en surveillant lui-même son taux de sucre dans le sang. Une auto-surveillance qui a longtemps été perçue comme une contrainte supplémentaire pour le malade. Mais aujourd’hui, des lecteurs de glycémie nouvelle génération facilitent la vie des diabétiques. Encore faut-il choisir le bon !


L’intérêt de la surveillance glycémique


L’autosurveillance glycémique (ASG) est apparue dans les années 1970. Elle consiste pour le patient diabétique à mesurer lui-même son taux de sucre dans le sang, à l’aide d’un appareil appelé lecteur de glycémie. C’est un élément central de l’éducation thérapeutique et donc de la prise en charge des personnes diabétiques.
Pour les diabétiques de type 1, ces résultats sont très importants car ils permettront d’adapter ou d’ajuster le traitement par insuline. Chez les diabétiques de type 2, cette surveillance est recommandée pour tous les patients traités par comprimés, afin d’adapter leurs posologie. La glycémie est également recommandée chez les patients pour lesquels l’insuline est envisagée à court ou moyen terme selon les recommandations de la Haute Autorité de Santé.
Indispensable à la prise en charge du diabète, l’autosurveillance glycémique est parfois ressentie comme une contrainte ou un facteur d’angoisse. Au contraire, elle est un outil pour mieux vivre avec son diabète. Encore faut-il pouvoir bénéficier de lecteurs de glycémie fiable et simple associé à un autopiqueur très doux.


Comment fonctionne cette analyse ?


C’est le sang déposé sur la bandelette réactive qui va déclencher une réaction chimique proportionnelle à la quantité de sucre dans le sang. Attention, cette valeur peut être affichée dans deux unités différentes sur certains lecteurs. Dans ce cas, choisissez celle que votre médecin aura indiquée et surtout n’en changez pas en cours de suivi. Pour faire l’analyse, le lecteur et la bandelette ne se suffisent pas, il faut l’associer à un autopiqueur utilisant des lancettes. Chaque marque de lecteur et d’autopiqueur est compatible avec un type de consommables.


Des lecteurs de glycémie de nouvelle génération


Au-delà des efforts concernant l’éducation thérapeutique du patient, les fabricants ont intégré aux lecteurs de glycémie de très nombreux progrès technologiques. En 1974, le premier lecteur de glycémie pesait près d’un kilo, et le premier lecteur de glycémie « portable » date de 1981, mais il nécessitait une quantité de sang importante, une « grosse » goutte de 15 à 20 microlitres et un délai d’attente de plusieurs minutes pour vérifier le résultat. Aujourd’hui, les lecteurs sont plus petits, plus maniables, faciles à transporter et plus rapides. Certains éléments sont à prendre en compte avant l’achat de votre lecteur de glycémie.


Source: Doctissimo

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