admin, Author at Urgences - Parce que la santé est primordiale! - Page 136 sur 140

admin28 août 2007
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L’un des précurseurs de la musique moderne akié d’une part et ivoirienne d’autre part, Anoma Brou Félix, a décidé de ranger micro, guitare, trompette et autres instruments de musique pour s’essayer dorénavant à l’écriture. “Depuis le mois de juillet dernier, j’ai décidé d’arrêter la musique pour me consacrer désormais à l’écriture de mon livre”, a confié le musicien Anoma Brou Félix, rencontré récemment à son domicile, au quartier Tsassodji d’Adzopé, dans le voisinage du cimetière catholique.



A en croire, le futur ex-musicien, l’arbre de l’art est un arbre mystique dont chaque branche donne des fruits bien différents. “La branche musicale m’a rendu célèbre dans mon pays, la Côte d’Ivoire. Aujourd’hui, je me sens capable de me déplacer sur une autre, la branche littéraire. Et je compte y rester jusqu’à la fin de ma vie”, a annoncé Anoma Brou Félix.
 
Pour ce faire, il dit s’être mis au travail pour la finition de son livre intitulé “Sueur de courage purifie l’âme. Mets-toi en évidence, enfant noir”. Cette future œuvre, selon son auteur, sera divisée en 7 grands chapitres dont “Le carrefour de la sagesse”, L’enfant éprouvé”, “J’ai eu peur de l’homme noir”, “Initiation ancestrale” et “Tout se paye sur cette terre”.



Anoma Brou affirme l’avoir tiré de son premier manuscrit datant de 1996 mais qui n’a jamais été publié “pour des problèmes de diverses natures”. Mais pour lui, cette fois est la bonne. “L’édition de l’œuvre est en cours. Elle paraîtra en 2009. Et je compte placer la cérémonie de dédicace de mon futur livre sous le parrainage du président de la République, Laurent Gbagbo”, a confié le futur ex-musicien.


Anoma Brou Félix a profité de notre rencontre pour revenir sur la triste rumeur qui l’avait annoncé pour mort, il y a quelques semaines. “Je voudrais demander à tous les Ivoiriens et singulièrement à mes proches parents, ainsi qu’à mes amis et connaissances, de se tranquilliser car je suis encore vivant et je me porte comme un charme”, a-t-il lancé.


A 72 ans révolus, Anoma Brou mène une vie paisible, depuis une dizaine d’années, dans sa retraite d’Adzopé. Il la partage désormais entre l’écriture de son livre et des travaux champêtres.


Source: Notre voix

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admin28 août 2007
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2min3080

Nous ne voulons plus d’interlocuteur, autre que le président de la république. Nous en avons assez des promesses non tenues. Si rien n’est fait, nous fermerons toutes les auto-écoles… Ainsi plusieurs jeunes ivoiriens qui vivent du permis de conduire se retrouverons au chômage‘’


C’est par ces propos fermes que le syndicat nationale des exploitants, employés et moniteurs d’auto école de Cote d’ Ivoire (SYNEEMAE-CI), par la voix de son secrétaire général adjoint, M Dion Salomon a tenu à exprimer son mécontentement suite à la reforme du permis de conduire initiée par le ministre des transports Mabri Toikeuse. Pour ce syndicat, la reforme du permis ne saurait se faire, sans la participation de tous les acteurs, notamment des auto-écoles qui constituent à en croire M. Dion le premier maillon. Pour lui, la reforme du permis de conduire, aurait dû débuter par la formation et la subvention des auto-écoles par l’Etat de Côte d’Ivoire. Cela, pour garantir une formation de qualité aux aspirants au permis et aussi de dissiper toutes les suspicions sur la formation dispensée par ces écoles.


Aussi, propose t’il que désormais le code pour l’obtention du permis soit fait en présence d’un jury composé d’expert du milieu des transport et non d’un inspecteur d’un ministère des transports comme cela se fait.


Source: Fraternité Matin

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admin27 août 2007
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5min2510

Plusieurs experts venus d’Afrique, d’Europe et des Etats-Unis réfléchissent depuis ce lundi à l’Hôtel Président de Yamoussoukro, sur la façon dont le sang est utilisé dans nos hôpitaux en situation d’hémorragie. Il s’agit pour ces spécialistes d’obtenir un aperçu objectif des pratiques transfusionnelles dans les services de soins, afin d’établir un consensus sur l’utilisation de ce produit. Car ce n’est un secret pour personne, les posologies des différents produits sanguins manquent d’homogénéité. Ce qui donne à constater qu’il y a un recours quelque peu abusif de la transfusion dans nos hôpitaux.
Et c’est à juste titre que le professeur Anongba Grégoire qui représentait Dr Allah Kouadio Rémi, ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, à l’ouverture des travaux des experts, a indiqué qu’en plus des documents consensuels qui vont être adoptés sur la pratique de la transfusion sanguine, il est plus que nécessaire de se donner les moyens et le temps de former, chaque année, les prescripteurs et utilisateurs sur la base d’un programme cohérent. «Cela impliquerait que tous les centres de transfusion puissent être en réseau. Et que les antennes de l’intérieur basculent du manuel, à l’automatique, à l’instar d’Abidjan», a indiqué le professeur Anongba. Lui qui a par ailleurs suggéré qu’en plus du pari du sang de qualité qu’il faut gagner, notre pays se doit de parvenir à l’autosuffisance en produits sanguins, tout comme la mise à jour de l’arsenal juridique.
Aussi, s’est-il félicité des efforts importants accomplis par le Centre national de transfusion sanguine (CNTS) qui, depuis sa création n’a fait que glaner des lauriers.
En effet, grâce à la rigueur professionnelle de Dr Konaté Seidou, directeur du CNTS, et de ses collaborateurs, cette structure a été retenue comme centre de transfusion de référence à la démarche qualité pour tous les pays d’Afrique Noire francophone et lusophone depuis 2000. Cette dynamique s’est poursuivie à l’intérieur du pays avec l’ouverture d’antennes à Daloa en 1998, Yamoussoukro en 2003, Gagnoa en 2007. Ainsi que de sites de prélèvement à Port-Bouet, Yopougon et Abobo. Toutes choses qui ont valu au CNTS d’être éligible au Plan d’urgence du Président des USA pour la lutte contre le VIH/SIDA (PEPFAR) depuis juillet 2004, jusqu’en mars 2010.
Pour tous leurs appuis, le professeur Anongba n’a pas manqué de traduire la gratitude du gouvernement ivoirien aux organisations et institutions internationales, notamment les Etats-Unis d’Amérique et leur ambassadeur en Côte d’Ivoire.
Après avoir salué cette solidarité des pays du Nord à partager et à faire profiter de leurs connaissances dans ce domaine qui fait aujourd’hui appel à la haute technologie qu’est la transfusion sanguine, le représentant du Dr Allah Kouadio Rémi a pris l’engagement d’accorder une place de choix au CNTS dans le Plan national de développement sanitaire 2008/2012 afin que cette structure puisse répondre aux attentes sans cesse croissantes de la population ivoirienne.
Notons que cette 2è conférence internationale sur l’usage clinique du sang et des produits sanguins a pris fin mercredi avec l’adoption d’un guide en vue d’une pratique harmonisée de la transfusion sanguine, et particulièrement en situation d’hémorragie.


Source: Fraternité Matin

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admin27 août 2007
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4min2490

Football : L’Africa coince, l’Asec gagne.


L’Africa Sports a été tenu en échec par la JCA (1-1), hier au Parc des Sports, lors de la 16e journée du championnat national de ligue 1. Le leader au classement, qui avait la possibilité de maintenir son écart sur son poursuivant immédiat, l’ASEC, ne doit s’en prendre qu’à lui-même. En effet, les Aiglons ont eu, en première période, l’occasion de se mettre à l’abri. Mais, les attaquants Ottro Gnakabi, Olié Koffi et Blagnon Goué ont fait preuve de maladresse. Après trente minutes équilibrées, les Vert et Rouge assiègent le camp de la JCA. Ils sont récompensés de leur effort, à la 32e mn. Ottro récupère dans le dos de la défense de la JCA, une ouverture de Kaboré. Du plat du pied, le goléador de l’Africa ouvre le score (1-0). Dès lors, les Aiglons ont le match en main. Mais, le trio de l’attaque n’exploitera pas les deux nettes occasions qu’il se crée (35e mn et 43e mn). La pause intervient sur ce maigre avantage pour l’Africa. A la reprise, le coach des «Abidjanais» fait entrer Gohou Bi Goua et Ogundina Michael. Ces deux joueurs donnent du rythme au jeu de la JCA. Les protégés du président Adou Nangon obtiennent l’égalisation à la 77e mn, par Djè Konan qui reprend victorieusement un centre de Mangoua Kessé (1-1). Les Abidjanais réussiront à conserver ce score au grand dam des Membres associés qui ont exprimé leur colère à la fin de la rencontre. De son côté, l’Asec s’est imposée (2-0) devant Lagoké au stade Champroux. A la mi-temps, les Mimos menaient (1-0) grâce à une réalisation de Yao Kouassi (23e mn). En seconde période, les Jaune et Noir corsent l’addition par Ali Diarra (2-0) à la 73e. Dans l’ensemble, les deux équipes ont produit du beau spectacle. Les Mimos, plus réalistes et plus mordants, l’ont logiquement emporté. Avec cette victoire, l’Asec (32 points) n’est plus qu’à trois de l’Africa (35 points). Les Mimos comptent un match en retard. La victoire face au Lagoké est encourageante pour les Mimos, qui se déplacent cette semaine au Caire, en vue du dernier match de la phase de poules de la Ligue des Champions, contre Al Ahly, le tenant du titre.


Les autres résultats:


Bouna – SOA 0-2


Stella –Stade 0-1


Gagnoa –Odienné 1-1


Daloa – Bingerville 2-1


Sewé – Issia 1-1


Mort pour l’Africa Kouassi Guédé Robert, policier à la retraite, fervent supporter de l’Africa Sports est mort, hier. Il est tombé sur la nuque après l’égalisation de la JCA à la 77e mn. Entouré de supporters passionnés, personne n’a fait attention à lui. C’est n’est qu’après le coup de sifflet final qu’il a été évacué du stade sur un brancard. Malheureusement, il n’a pas survécu à ce choc.


Source: Fraternité Matin

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admin27 août 2007
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2min2500

Un petit avion cargo s’est écrasé dimanche à 650 km au nord de Lumumbashi dans la province du Katanga, sud-est de la République Démocratique du Congo.


Selon Nicaise Nunakuny, l’administrateur du territoire de Kongolo dont relève le Katanga, l’avion a décollé sans problème, mais quelques instants plus tard, un problème de moteur l’a obligé à tenter un réatterissage; c’est alors que l’accident s’est produit.


Bilan


Il y avait 8 personnes à bord de l’appareil. Il s’agit de huit passagers congolais, dont deux rescapés avec des blessures graves. Les trois membres d’équipage sont morts, carbonisés. Quand l’avion a fait demi tour, il s’est écrasé à trois km du bout de la piste. « Tout s’est enflammé, c’était horrible », a déclaré M. Nunakuny qui précise que les blessés, un petit garçon de deux ans et un jeune homme, ont été transportés à l’hôpital de Kongolo.


Ejectés


« L’enfant souffre de deux fractures et l’homme de blessures à la tête. Ils ont pu s’en sortir parce que la soute arrière de l’appareil s’est ouverte et ils ont été éjectés. » L’appareil, un petit Antonov, transportait une cargaison de cassitérite de Kongolo à Goma, à près de 500 km au nord-est. Ce minerai d’étain utilisé dans l’industrie métallurgique est exploité depuis des années dans les mines de l’est de la RDC.


Vieux


Les accidents d’avion sont fréquents en RDC, dont la flotte aérienne – qui compte plus d’une cinquantaine de compagnies privées et une compagnie nationale. L’essentiel de cette flotte est composé de vieux avions de fabrication soviétique peu entretenus et dont certains volent sans licence en règle.


Source: BBC Afrique

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admin27 août 2007
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5min4510

De nombreux fumeurs hésitent à arrêter… à cause de la prise de poids. Mais en la matière, de nombreuses idées reçues circulent. Combien prend-on de kilos ? Des médicaments peuvent-ils limiter la casse ? Quels sont les facteurs de risque ?… Tour d’horizon pour arrêter en connaissance de cause.





On prend du poids quand on arrête de fumer


C’est vrai… si on ne fait rien ! Environ 80 % des gens prennent du poids : entre 3 et 5 kilos. Et ce sont les femmes qui prennent le plus. Mais si on regarde au bout de dix ans entre un fumeur et un non fumeur, il n’y a pas de réelle différence : on prend donc un peu plus vite des kilos que l’on aurait pris de toute façon.


On a plus d’appétit quand on arrête de fumer


C’est vrai. A l’arrêt, on a souvent une hausse d’appétit (on n’a plus la sensation de satiété).  Souvent, on va se mettre à grignoter. Mais il y a aussi des mécanismes métaboliques indépendant de notre appétit qui entrent en jeu dans la prise de poids. Notamment le stockage des graisses augmente.


Certains médicaments permettent d’arrêter de fumer sans prendre de poids.


Certains médicaments se vantent d’avoir des propriétés de sevrage en limitant la prise de poids :




  • Le buproprion (Zyban ®) a bâti sa réputation là-dessus, car certaines études constataient une minceur plus importante qu’avec les substituts nicotiniques ;
  • Le Rimonabant est fait pour perdre du poids, mais il n’a pas tenu ses promesses en matière de sevrage tabagique. D’ailleurs, il n’a pas le droit d’être commercialisé pour cette indication aux Etats-Unis ;
  • La varénicline. Cette molécule commercialisée par Pfizer n’est pas encore disponible en France. Elle serait très efficace pour arrêter et aurait des vertus dans la prise de poids… à confirmer ;
  • Naltrexone : ce produit est utilisé dans le sevrage aux opiacés, mais des études  laisseraient supposer un effet dans le sevrage tabagique avec une prise de poids plus faible. Néanmoins il n’a pas d’indication dans tous les cas pour le tabac, en attendant des études plus poussées.

Il faut se mettre à fumer pour arrêter de grossir


C’est faux, mais c’est malheureusement une idée de plus en plus répandue chez les très jeunes femmes. Certaines vont commencer la cigarette parce qu’elle recherchent un coupe-faim ! Alors que bien évidemment, les risques pour la santé sont énormes en regard du faible bénéfice recherché.


Source: www.doctissimo.fr

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admin25 août 2007
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4min2660

 Dr Adenike en appelle à une plus grande conscience des vaccins sauveurs de vie


Dr Adenike en appelle à une plus grande conscience des vaccins sauveurs de vieDes pédiatres du monde entier se sont retrouvés cette semaine à Athènes, en Grèce, lors de la réunion de l’Association internationale de pédiatrie (AIP). Le Dr Adenike Grange, ministre de la Santé du Nigeria et présidente de l’association, s’est épanchée à cette occasion sur le sort des enfants africains et le rôle que peuvent jouer les gouvernants dans la réduction de la mortalité infantile dans les pays pauvres.  » Cela nous brise le cœur d’apprendre que des millions d’enfants meurent chaque année de maladies qui sont entièrement guérissables et évitables. Des maladies qui surviennent rarement dans les pays riches font énormément de victimes dans le monde en voie de développement, dérobant à ces pays des adultes capables de contribuer à leurs économies, de s’occuper des infirmes et des personnes âgées et d’occuper des postes de leadership vitaux « , a-t-elle indiqué.
Deux des maladies les plus dévastatrices sont la pneumonie et la méningite. La première tue deux millions d’enfants chaque année et la deuxième affecte plus d’un million de personnes dont 20 pour cent au moins meurent et près du quart sont susceptibles de développer des handicaps permanents comme la débilité mentale ou la perte auditive. La véritable tragédie, selon le Dr Adenike, ne réside pas en ces  » statistiques stupéfiantes « , mais en une certaine négligence imputable aux gouvernements. La vaccination est l’un des  » plus puissants outils  » à disposition pour prévenir les maladies infantiles et qui gagnerait à être davantage utilisée, estime-t-elle.  » L’argent, poursuit-elle, n’est pas le principal obstacle à une plus grande disponibilité des vaccins. Ce dont on a besoin maintenant, c’est une plus grande prise de conscience de ces vaccins sauveurs de vies et un appel à l’action des gouvernements pour qu’ils profitent de ces opportunités « . Des vaccins efficaces existent même pour les deux grands tueurs (la pneumonie et la méningite) et des organisations internationales les mettent à la disposition des pays en voie de développement à des prix abordables, souligne la présidente de l’AIP.
En 2000, les pays membres de l’Organisation des Nations unies s’étaient engagés à réduire le nombre de décès d’enfants d’ici à 2015. On est encore loin du compte, estime le Dr Adenike. Cet objectif ne pourra être atteint que si l’on adresse le problème de la pneumonie et de la méningite chez les enfants en mettant les vaccins contre les maladies mortelles à la disposition de tous les enfants qui en ont besoin.


Source: Fraternité Matin

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admin25 août 2007
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La Fesaci rejoint l’UGTCI


Jamais sans doute, assemblée générale de la Mutuelle générale des fonctionnaires et agents de l’Etat de Côte d’Ivoire n’a été aussi attendue que celle du 30 août prochain. Quel en sera le contenu ? Sera-t-elle oui ou non élective ? A moins d’une semaine de ce rendez-vous, la Fédération des syndicats autonomes de Côte d’Ivoire (Fesaci) a tenu à exposer ses  » positions de principe  » sur la situation qui prévaut, hier au cours d’une conférence de presse à l’hôtel Novotel au Plateau. Tout comme l’Union générale des travailleurs de Côte d’Ivoire (UGTCI), il y a deux semaines, la Fesaci prône le respect des textes.  » La crise que traverse actuellement la MUGEFCI trouve sa source dans le projet de reconduction du conseil d’administration et dans la gestion de l’après Begnanan  » (président du Conseil d’administration décédé en octobre 2006, Ndlr), rappellera M. Nyamien Messou, secrétaire général de la Centrale. L’élection de M. Adiko Niamkey au poste de président du Conseil d’administration après le décès de Bégnanan Bogui et la mise en place d’un nouveau bureau ont consacré  » la rupture du consensus qui est le fondement de l’équilibre initial qui fixait le partage des responsabilités au sein de la mutuelle « , a-t-il poursuivi. Puis, il a dénoncé les actes majeurs qui ont suivi :  » le limogeage du directeur général au motif qu’il a détourné des fonds sans que la moindre preuve ait été exposée « , son remplacement par un conseiller technique  » dont le dossier laissait apparaître des qualités morales douteuses ». Il a relevé également la prolongation du mandat du conseil d’administration au-delà de l’échéance prévue du 17 mars et, plus récemment,  » une campagne  » entamée par celui-ci  » pour demander une prorogation de son mandat de 6 mois pour revoir les textes avant de procéder à l’élection de nouveaux organes « . Sur ce dernier point, M. Nyamien Messou ne cache pas son scepticisme :  » un conseil qui a hésité à organiser une assemblée de modification des textes pendant quatre ans ne peut être crédible à organiser la modification des textes pendant six mois « , fait-il observer. Fort de tout cela, conclura-t-il,  » la Fesaci exige l’application stricte des textes conformément au souhait du Conseil d’administration lors du renouvellement du bureau « . L’assemblée générale prochaine, pour la Fesaci, doit être élective. Aux syndicats qui partagent la même vision, il en appelle à la mise en place d’une plateforme de discussions pour avoir une assemblée générale correcte le 30 août prochain.


Source: Fraternité Matin

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admin25 août 2007
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3min3180

Absence de témoignages des victimes présumées d’abus sexuels


Le chef par intérim de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), Abou Moussa, a reconnu qu’aucune victime présumée d’abus sexuels ne s’était présentée devant la commission d’enquête conjointe mise en place par le Maroc et l’ONU. L’équipe d’enquête conjointe « s’est heurtée à certaines difficultés dont l’absence de coopération des personnes concernées. Les victimes présumées ne sont pas venues témoigner », a affirmé Abou Moussa lors d’un point de presse au siège de l’ONUCI à Abidjan. « La collaboration requise en de pareilles circonstances n’a pas été obtenue », a-t-il déploré, précisant que pour une meilleure clarification de cette affaire, « il est important et nécessaire que toutes les parties concernées coopèrent pleinement avec l’équipe des enquêteurs ». « Nous sommes cependant en contact permanent avec le Royaume » du Maroc à ce sujet, a-t-il indiqué. En effet, des sources informées avaient déclaré qu’aucune victime présumée de ces abus sexuels ne s’est présentée devant la commission d’enquête qui a siégé durant plusieurs jours à Bouaké (380 km d’Abidjan). Les mêmes sources ont ajouté que l’ONG locale, à l’origine des allégations d’abus sexuels contre les soldats marocains, a été incapable de présenter la moindre preuve de ses accusations, bloquant même le travail de la commission d’enquête en refusant les tests ADN. Cette équipe d’enquête était composée d’officiers supérieurs des Forces Armées Royales (FAR) et de représentants du bureau des services de contrôle interne (OIOS) de l’ONU. Citant un document interne de l’ONU, l’Agence de presse africaine (APA) a récemment rapporté que treize filles de Bouaké ont avoué avoir été manipulées par cette ONG pour accuser les soldats marocains d’abus sexuels, moyennant des aides en nourriture. Les populations de Bouaké avaient adressé une pétition au commandant de l’ONUCI pour exprimer leur solidarité avec les soldats marocains, et dénoncer ces allégations d’abus sexuels.


Source: Le Matin

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admin24 août 2007
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KANO (AFP) – Ahmed Aminu, jambes atrophiées sur son fauteuil roulant motorisé, cherche les paroles les plus convaincantes en s’adressant à la femme qui donne le sein à son bébé, devant sa maison de torchis.


Au bout de dix minutes, elle accepte enfin de laisser vacciner sa fillette d’un an contre la poliomyélite par l’équipe médicale dont Ahmed, 47 ans, est le porte-parole, à Kaura-Goje, une pauvre banlieue de Kano, dans le nord du Nigeria, le plus peuplé du pays.


« Certains parents ont encore besoin d’être persuadés, car ils n’ont pas confiance dans le vaccin », explique-t-il.


Ahmed fait partie d’une association de victimes de la polio. Elle s’est associée depuis un an à la campagne des autorités pour éradiquer la maladie de l’Etat de Kano, épicentre de sa propagation ces dernières années au Nigeria et dans d’autres pays d’Afrique centrale et de l’Ouest: la vaccination avait été interdite en 2003-2004 sur place, sous la pression des autorités islamiques locales.


Les opposants au vaccin l’accusaient de contenir des produits rendant les femmes stériles, dans le cadre d’un plan occidental de dépeuplement de l’Afrique, conduit par les Etats-Unis.


L’Etat de Kano a finalement repris les campagnes d’immunisation en septembre 2004, après des tests qui ont rassuré sur les effets du vaccin, mais le mal était fait.


Depuis le début 2007, les autorités de Kano ont mené cinq campagnes, de quatre jours chacune. Objectif: vacciner au total 3,5 millions d’enfants de moins de 5 ans.


« Nous avons décidé de nous joindre à la lutte contre la polio parce qu’en tant que victimes nous sommes mieux placés que quiconque pour en connaître les méfaits. Et comme voir c’est croire, les parents réticents se laissent convaincre plus facilement en nous voyant », explique Ahmed, déformé par la maladie depuis l’âge de 3 ans.


Cette stratégie semble porter ses fruits: la plupart des habitants du district de Kaura-Goje, connus pour le refus qu’ils opposaient aux campagnes de vaccination, les acceptent désormais.


Des équipes médicales, composées surtout de jeunes femmes voilées, passent de maison en maison avec les kits de vaccination, appliquant quelques gouttes sur la langue des enfants.


« J’ai commencé à donner des gouttes de vaccin à mon enfant il y a neuf mois, quand deux victimes de la maladie sont venues m’expliquer qu’il risquait de leur ressembler si on ne le vaccinait pas », raconte un riverain, Musa Hamisu, 34 ans, dont la petite de 2 ans vient de recevoir le vaccin.


« Voici seulement deux ans, il aurait été impensable que les gens d’ici réservent un bon accueil aux équipes médicales, en raison des soupçons contre le vaccin. Maintenant, ils leur ouvrent leurs portes dès qu’elles y frappent », poursuit Ahmed.


« Notre présence rappelle aux parents que leurs enfants risquent des difformités comme les nôtres s’ils ne les font pas vacciner », insiste-t-il.


« Nous avons constaté une très nette diminution du nombre de cas de polio lors de l’année écoulée, depuis que les victimes de la maladie se sont associées à nos équipes », confirme le coordinateur des campagnes d’immunisation dans l’Etat de Kano, Yakubu Abdurrahman.


« Pas un seul cas de virus des type I et II, les plus dangereux, et nous espérons nous débarrasser très prochainement du type III, avec une participation toujours plus accrue des victimes de la maladie dans l’édification de la population », conclut-il.


Source: http://fr.news.yahoo.com

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