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admin3 septembre 2007
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18min2910


Acteurs et partenaires du système éducatif ne croient pas à l’effectivité des cours le 17, septembre.



La rentrée des classes, c’est le 17 septembre prochain, soit dans 14 «petits» jours. Sera-t-elle effective comme le souhaite M. Gilbert Bleu-Lainé, ministre de l’Education nationale ? Rien n’est moins sûr, tant les acteurs et partenaires du système éducatif, sur le terrain, sont eux-mêmes sceptiques, élèves et parents d’élèves notamment.


La plupart des élèves interrogés pensent qu’un report serait le bienvenu. Et pour cause : des problèmes logistiques sont toujours en suspens. Et d’égrener principalement, les résultats encore tout frais des examens de fin d’année qui n’ont pas encore été totalement vidés, la commission nationale d’orientation (CNO) n’étant même pas à pied d’œuvre. La longueur exceptionnelle de l’année scolaire 2006-2007 a empiété sur les vacances et pour les candidats qui viennent de subir les examens, ces vacances auront été aussi réduites qu’une peau de chagrin qu’il conviendrait de tirer un tout petit peu encore.


Préoccupation quasiment identique chez certains enseignants. « C’est seulement maintenant que les résultats des examens à grand tirage sont connus. Pour nous, chefs d’établissemens, qui avons été chefs de centre des examens du BEPC, nous n’aurons pas eu de vacances », grogne M. F. S, directeur d’école. Les centres d’examens du BEPC, faut-il le souligner, sont ouverts jusqu’à ce lundi 3 septembre pour les réclamations. Tout compte fait, les membres des jurys n’auront en définitive qu’une dizaine de jours de… vacances ( ?).


A l’opposé de ces argumentations, il y en a qui sont plutôt favorables à la reprise des cours à la date indiquée du 17 septembre. Les multiples grèves de l’année dernière n’ont pas permis aux enseignants de terminer les programmes, estiment grosso modo, les partisans de la reprise immédiate. Cela permettrait, estiment-ils, de donner une dernière touche aux programmes de l’année dernière.


Entre ces deux avis, les parents d’élèves évoquent (comme chaque année, d’ailleurs) l’argument massue des moyens financiers. Comme chaque année, il s’avère que financièrement, nul n’est prêt. «Démarrer l’année scolaire en plein milieu du mois est irréaliste», relève, sceptique, M. Ernest Kouamé, agent de sécurité, qui, manifestement, ne fait pas de cette rentrée un souci majeur. «Les choses sérieuses ne pourront commencer qu’en octobre», pronostique-t-il, fort des expériences répétées chaque année.


La Fesci, la puissante Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire, est de cet avis et plaide elle aussi pour le report pur et simple de la rentrée.



Les manuels scolaires pas encore disponibles



La formation par compétences, ce nouveau concept d’enseignement entamé l’année dernière et qui doit se substituer progressivement à l’enseignement par objectifs, arrive cette année dans les classes de CE (Cours élémentaires). Dans cette mouvance, «Ecole et Développement», les manuels utilisés jusqu’alors, ont été remplacés par «Ecole et Nation».


Alors que la rentrée pointe du nez, ces manuels ne sont pas encore disponibles pour les classes de CE. Joint par téléphone, M. Ballo de la Direction de la pédagogie et de la formation continue (Dpfc) du ministère de l’Education nationale, confirme qu’ils ne seront pas disponibles avant la rentrée. Mais il n’y a pas à s’inquiéter outre mesure, rassure-t-il : «Une solution palliative est en train d’être trouvée. Le ministre se prononcera incessamment sur cette question», nous a-t-il confié.


L’année passée déjà, ce problème s’était posé au niveau des cours préparatoires (CP). Les livres n’ont été disponibles, dans les librairies et les inspections de l’enseignement primaire, qu’au mois de mars dernier, soit près de six mois après la rentrée officielle des classes. Les guides-maîtres, ces précieux manuels qui aident aux préparations des classes, n’ont été livrés aux enseignants qu’en juillet dernier, alors que l’air des vacances était déjà aux portes des écoles.




Les parents demandent le report de la rentrée des classes



Dallo Jérôme, Commerçant


Pour la rentrée du 17 septembre, je ne suis pas de ceux qui pensent qu’elle sera possible. Les résultats des examens viennent à peine d’être connus. Les orientations des élèves des classes de 6ème et de seconde n’ont pas encore été faites. A quel moment la commission se réunira pour les différentes orientations de ceux-ci ? Il faut que le gouvernement fasse un effort pour reporter la rentrée en octobre.



M. Gnagne Agbri Antoine, Fonctionnaire à la retraite


Je suis pour cette date, parce qu’il y a eu trop d’arrêts l’année passée. Mieux vaut commencer tôt pour être certain que les enseignants termineront leur programme. Même si on met la rentrée en octobre, il y aura toujours des personnes pour évoquer le manque d’argent. J’estime qu’un parent d’élève doit préparer la rentrée scolaire dès la fermeture des classes.



M. Dibi Marcel, Entrepreneur


Ce n’est pas possible. Quand est-ce que les orientations seront effectives pour que les parents aillent chercher les tuteurs pour leurs enfants ? Je suis de Dabou. Si mon enfant est affecté à Agboville par exemple, comment vais-je faire ? C’est pourquoi je supplie le ministre de repousser la date de la rentrée au mois d’octobre.



M. Kahou Paul, Adjudant-chef-major des FANCI à la retraite.


On nous demande de retourner dans nos régions, parce que la guerre est finie. Si nous devons partir, c’est bien entendu, avec nos enfants. Nous n’avons même pas encore regagné nos villages et on nous parle déjà de la rentrée. Il faut que les gens consultent les archives. C’est le mois d’octobre qui est le mois de rentrée en Côte d’Ivoire depuis longtemps. Ce n’est pas parce que les élèves rentrent en septembre en France que nous sommes obligés de les suivre.



Mme Ouattara Awa, Secrétaire de direction


Il faut donner un temps de récupération aux enfants et permettre aussi aux parents de s’apprêter. Mon enfant suit actuellement des cours de vacances qui prennent fin le 15 septembre et déjà, le lendemain, elle doit reprendre l’école… Autre chose : septembre est la période de jeûne cette année. C’est une période où on effectue beaucoup de dépenses. Si à cela, nous devons ajouter les frais d’écolage, nous allons beaucoup souffrir.



Mme Yao Jocelyne, Directrice d’école


Mon problème se situe au niveau des frais d’écolage dans le primaire. Le ministre a dit, et chaque année c’est la même chose, que «l’inscription reste gratuite dans le primaire». Alors qu’il sait que c’est le Coges (Comité de gestion des établissements scolaires, Ndlr) qui fixe le montant à payer. Quand il donne une information pareille, certains parents refusent de s’acquitter des frais d’écolage qui permettront de payer les salaires des gardiens, de faire face à certaines dépenses dont les factures de téléphone, la peinture des bâtiments… Je souhaiterais qu’il fasse plus de précisions pour éviter la polémique.



Mlle Koutouan Andréa Emmanuelle, Elève en classe de CE2 à l’Epp Deux-Plateaux Nord


Nous n’avons même pas eu le temps de nous reposer. Nous sommes partis en vacances en juillet et déjà, on nous demande de reprendre le chemin de l’école. Même notre émission Wozo n’est pas encore finie. Nous ne sommes pas prêts.



Tra Bi Tra Guillaume, Chauffeur de taxi


Cela ne nous arrange pas. Actuellement, tout le monde a des problèmes financiers. Même les plus riches pleurent, à plus forte raison nous, les pauvres. Moi, j’ai trois enfants à l’Université, trois autres au lycée et deux qui viennent d’obtenir leur entrée en 6ème. Je ne sais pas encore dans quel établissement ils seront orientés. Si on les affecte à l’intérieur, il faudra aller chercher des tuteurs. Pensez-vous que cela soit possible pour moi ?



Andrédou Eloïse, Ménagère


Il est préférable que l’on attende octobre pour permettre aux parents de mieux s’apprêter. Pour l’instant, nous n’avons pas d’argent ; c’est pourquoi nous demandons au ministre de revoir sa position.


 


Source: Fraternité Matin


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admin1 septembre 2007
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3min2720

Les deux internationaux ivoiriens de Lens ont été éblouissants face aux Young Boys de Berne. C’était jeudi au stade Bollart dans le cadre de la coupe de l’UEFA.


Le Racing Club de Lens a étrillé, jeudi, les Young Boys de Berne (5-1). Grâce à cette victoire, les Lensois décrochent leur billet pour le prochain tour de la coupe UEFA. C’était une belle soirée de premières à Bollart. La plus médiatique et la plus attendue était sans aucun doute celle du remplaçant de Guy Roux, démissionnaire de son poste le week-end dernier. Pour son premier match sur le banc artésien, Jean Pierre Papin devait surtout convaincre.


Première également pour le duo Dindané-Akalé en pointe. Choix tactique et judicieux qui a porté ses fruits et qui pourrait à nouveau être privilégié.


Tout démarre sous de meilleurs auspices. Dès le premier quart d’heure de jeu, les Artésiens posent leurs pattes sur le jeu. Le milieu de terrain Monterrubio gratifie déjà ses attaquants de centres au cordeau millimétrés. C’est finalement Dindané qui trouve une première fois l’ouverture sur corner à la réception d’un centre de Sablé (1-0 ; 13e). Dans la foulée, Akalé aggrave la marque, profitant au passage d’un excellent travail d’Aruna.


Mais les joueurs suisses vont en la personne de Varela, semer le doute dans les esprits lensois. L’attaquant de Berne se faufile dans la surface et devance la sortie de Runje pour réduire le score à la 32è mn.


A la reprise, le duo Dindané-Akalé se signale de nouveau. Grâce à un centre parfait d’Akalé, Aruna réussit un doublé à la 55e. La suite permet à Eric Carrière (67e) et Feinduro(89e) de clore une soirée riche en buts et en spectacles(5-1). Jean Pierre Papin a eu l’œil pour son baptême du feu. « Dans cette équipe, il y’a du talent. Encore faut-il le mettre en place », déclarera t-il, visiblement satisfait de ses choix tactiques.


source: Fraternité Matin

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admin1 septembre 2007
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2min2410

Le front de la oumma islamique a organisé une prière, hier, à Attécoubé.

L’ambassadeur de l’Arabie Saoudite en Côte d’Ivoire, SEM. Daher, a participé hier à une prière en faveur de la paix à la grande mosquée de la commune d’Attécoubé. C’était en présence du premier magistrat de la commune, Danho Paulin, du député Lorougnon Marie Odette, du mufti général de Côte d’Ivoire, Dr Moustapha Sy et du président de l’Assemblée nationale, Mamadou Koulibaly. La cérémonie a été organisée par le Front de la oumma islamique (FOI).
Dr Daher a exhorté la communauté à mettre fin à la guerre et apporter son soutien aux actions en faveur de la paix menées par le Président de la République, SEM Laurent Gbagbo et son Premier ministre, Soro Guillaume. Il a, par la suite, fait des bénédictions pour les personnalités politiques du pays, les musulmans et l’ensemble de la population ivoirienne. L’imam Bakary Chérif, président de la FOI, a remercié l’ambassadeur pour sa sollicitude à l’endroit de la communauté musulmane et de ses dignitaires. Il a saisi l’occasion pour solliciter l’aide du Roi Abdallah d’Arabie Saoudite afin qu’il puisse contribuer, entre autres, à la construction d’un centre culturel islamique pour la commune, à la réhabilitation de la mosquée, à la prise en charge des imams pour le hadj et à l’allocation d’une subvention en vue de les rémunérer.
Source: Fraternité Matin Lire la suite

admin31 août 2007
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5min4610

Prof. Gnionsahé Apollinaire (Chef de service néphrologie-CHU de Yopougon)


Professeur, pouvez-vous nous dire ce qu’est qu’une hémodialyse ?


C’est une technique de traitement qui permet de remplacer le rein naturel lorsqu’il est détruit par une maladie. Cela permet donc d’assurer l’épuration du sang, c’est-à-dire de filtrer le sang pour éliminer les déchets dans les urines.


Qu’est-ce qui provoque la destruction des reins ?


La destruction des reins est due à plusieurs maladies. Les plus courantes sont le diabète, l’hypertension artérielle, le Vih Sida, les infections. Ce sont des maladies qui sont très courantes dans nos pays et qui, lorsqu’elles ne sont pas prises en charge tôt et traitées correctement, peuvent aboutir à la destruction totale des reins.


Y a-t-il un traitement préventif et curatif de l’insuffisance rénale ?


On peut surtout faire de la prévention. Connaissant les maladies qui donnent cette insuffisance rénale, on peut prévenir la survenue de l’insuffisance rénale lorsque ces maladies sont correctement traitées. Je prends un exemple. Une personne qui a une hypertension artérielle doit bien suivre son traitement. C’est la même chose pour quelqu’un qui a un diabète. Donc, si on prend à temps le traitement de ces maladies, on évite justement au sujet de développer une insuffisance rénale. Si par malheur la personne développe quand même une insuffisance rénale, il y a deux possibilités dans le cadre du traitement. Il y a d’abord l’hémodialyse pour maintenir les patients en vie, et puis le traitement définitif, c’est la transplantation rénale.


Quelles sont les manifestations cliniques de cette pathologie ?


Malheureusement, lorsque débute l’insuffisance rénale, elle n’a pas beaucoup de manifestations cliniques. Et c’est pour cela que le dépistage s’avère indispensable et nécessaire. Mais lorsque la maladie est développée, elle peut se traduire soit par une anémie, une boursouflure du visage ou des membres inférieures, par un manque d’appétit ou l’anorexie, par des vomissements. Donc l’idéal serait de faire un bilan au moins une fois dans l’année qui permet de vérifier le bon fonctionnement des reins. Ce bilan coûte 1000 francs dans les laboratoires publics. Dans le privé, le traitement est très cher. C’est pour cela que nous faisons des efforts pour avoir des structures publiques que l’Etat subventionne. Au CHU de Cocody, le coût d’une dialyse revient à 2500 Francs par séance alors que dans le privé, c’est dans l’ordre de 150 000 francs.


Quelles sont les données sur la situation des insuffisants rénaux en Côte d’Ivoire ?


Pour le moment, nous n’avons pas de statistiques nationales. Cependant, en ce qui concerne le service que je dirige au CHU de Yopougon, si l’on considère que par an, nous hospitalisons en moyenne 300 patients, nous avons à peu près 50% qui sont hospitalisés pour cause d’insuffisance rénale. Ce qui donne 150 à 200 patients par an. C’est beaucoup.


Source: L’Inter

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admin31 août 2007
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6min2910

Un nouveau Conseil d’administration, présidé par Joseph Holland N’Da, a été élu, hier soir.


Tendue était l’atmosphère hier à la Bourse du travail à Treichville, autour de l’assemblée générale de la Mutuelle générale des fonctionnaires et agents de l’Etat (MUGEFCI). Annoncée depuis plusieurs semaines comme un rendez-vous capital, cette assemblée générale aura établi des records d’émotion sans doute jamais égalés dans les annales de l’institution. Au cœur des passions, la délicate question du prolongement ou non du mandat de l’actuel conseil d’administration dirigé depuis décembre 2006 par M. Hyacinthe Adiko Nyamkey, après le décès de Bégnana Bogui Jean-Baptiste. Deux tendances ont fait école au cours des six derniers mois sur la question.


L’une, véhiculée par le conseil d’administration lui-même, préconisait et plaidait pour une rallonge de six mois à son mandat échu depuis le 17 avril pour faire le toilettage des textes afin qu’ils soient adaptés à l’environnement syndical actuel. L’autre tendance, portée par la plupart des syndicats membres de l’assemblée générale dont ceux de l’UGTCI (Union générale des travailleurs de Côte d’Ivoire), précurseur et poids lourd de la Mutuelle, tenait au contraire à ce que soient respectés (enfin) les textes qui servent de socle à leur instrument de solidarité. Abondamment ils ont fait campagne, on s’en souvient, pour que les administrateurs ayant fait deux mandats successifs passent la main comme prescrit par les statuts de l’organisation. L’unanimité qui a semblé surgir sur la question il y a quelque 48 heures s’est avérée un leurre à l’heure H, hier.


Prévue pour 9 heures, ce n’est finalement qu’à 13 h 45 min que l’assemblée générale peut espérer commencer avec l’entrée en salle du Conseil d’administration conduit par son président. Entre-temps, de tentatives vaines de conciliation à la découverte d’une liste d’organisations «ajoutées nuitamment» au listing de syndicats et associations à recevoir, le thermomètre, dans tout le périmètre de la Bourse n’aura cessé de grimper avec des positions radicales ouvertement affichées. Dès leur entame, les travaux s’enliseront rapidement devant une kyrielle de préalables portant sur l’admission de ces organisations à l’assemblée générale, en violation de l’article 25 des statuts et 4 du règlement intérieur et sur l’ordre du jour, curieusement muet sur le renouvellement des instances alors qu’il prévoyait la «présentation du rapport de fin de mandat» et l’ «adoption du rapport et quitus définitif». M. Guéméné Alfred, vice-président, tentera vainement d’obtenir une transaction sur les deux préalables. L’assemblée générale de l’institution mutualiste rapidement transformée en forum syndical a donné lieu à des démonstrations parfois coquines et taquines mais toujours pertinentes de connaissances de la chose syndicale, face auxquelles le conseil a reculé, concédant à l’assemblée générale, «souveraine», d’inscrire le renouvellement du conseil d’administration à l’ordre du jour et le retrait des organisations dont la qualité de membre de l’assemblée générale ne peut être déterminée que par celui-ci et non par le Conseil. C’est finalement à 15h 45 minutes que le président dès lors considéré comme sortant du Conseil d’administration pourra faire son allocation de bienvenue, non sans lancer un subtil appel au maintien des choses en l’état en se donnant «le temps de modifier les textes et élire ensuite un Conseil d’administration de manière légale». Las !


Les travaux véritablement entamés alors vont se dérouler jusque tard le soir, dans une ambiance plus détendue, mais très détachée vis-à-vis des différents points à l’ordre du jour; l’intérêt étant le renouvellement du Conseil. Autour de 21 h 30 min, l’élection du Conseil d’administration a enfin lieu. Conformément aux textes, les nouveaux administrateurs se retirent pour désigner leur président. Une demi-heure après, Nyamien Messou, au nom de ses pairs, donne le nom du nouvel élu : Joseph Holland N’Da. Il est alors 22h 27 mn.


Source: Fraternité Matin

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admin31 août 2007
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1min2710

Nos photos ne s’enrichiront pas seulement de celles des autres, les logiciels sont aussi capables de travailler et d’analyser les images de plus en plus intelligemment, comme l’ont démontré les professeurs Ariel Shamir et Shai Avidan de l’Ecole d’informatique Efi Arazi en Israël, début août, au dernier Siggraph, le salon américain de l’imagerie numérique et des applications interactives.


Leur logiciel analyse l’image et est capable de faire disparaître les pixels qui ne sont pas porteurs d’informations pour réduire (ou augmenter selon le procédé inverse, en développant les zones uniformes ou les zones d’ombres) la taille d’une image sans lui retirer l’essentiel de son information. Une manière simple et intuitive de redimensionner l’image.


Source: Internetactu.net

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admin30 août 2007
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3min2870

Le risque de cancer du sein baisse de 30% si on est nauséeuse enceinte.


Estimez-vous chanceuse si vous avez souffert de nausées durant le premier trimestre de votre grossesse. Ce désagrément qui affecte la majorité des futures mamans pourrait constituer un facteur de protection contre… le cancer du sein ! C’est le résultat surprenant d’une étude présentée au Congrès annuel de la Société pour la Recherche en Epidémiologie qui s’est déroulé récemment à Boston (Massachusetts).


Pour parvenir à ce constat, David Jaworowicz et ses collaborateurs de l’université de Buffalo (New York) ont interrogé 1001 femmes atteintes d’un cancer du sein au sujet du déroulement de leurs grossesses passées. Ces données ont été comparées à celles de 1917 témoins âgées de 35 à 79 ans.


Les résultats indiquent que les femmes qui ont souffert de nausées et de vomissements au premier trimestre de leur grossesse ont un risque relatif de cancer du sein diminué de 30%. Et ce n’est pas tout puisqu’il apparaît que plus ces malaises ont été intenses et prolongés, plus le risque de cancer diminue.


« On ne connaît pas encore les mécanismes exactes à l’origine des nausées et des vomissements qui affectent les femmes au cours de leur grossesse. Ils sont probablement liés à des changements des niveaux de production des hormones sécrétées par les ovaires et le placenta, et notamment à des taux sanguins plus élevés d’hormone chorionique gonadotrophique (HCG) estime David Jaworowicz. Par ailleurs, des études menées in vitro ont montré que cette hormone avait de nombreux effets protecteurs dirigés contre les cellules cancéreuses ».
Durant la grossesse « les seins font l’objet de nombreux changements cellulaires et anatomiques, explique le chercheur. Le tissu mammaire est exposé à différents niveaux de nombreuses hormones qui vont affecter sa physiologie » poursuit-il. Ces mécanismes pourraient contribuer à rendre ce tissu moins susceptible de renfermer un jour des cellules cancéreuses.


Source: Le journal de santé

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admin30 août 2007
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La 2e édition du Salon des médias, de la communication et des nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) se tiendra du 21 au 24 novembre à Abidjan, a-t-on appris mercredi.


Le salon est un espace d’exposition, d’échanges et de promotion des médias, de la communication et des NTIC en Côte d’Ivoire. Il vise également à mettre en lumière les potentialités de ces secteurs d’activité.


Cette deuxième édition sera marquée par une exposition des professionnels du secteur des médias et des NTIC et un forum scientifique entre professionnels des médias et puissances publiques sur le thème « Pluralisme audiovisuel: paix et développement ».


Pendant quatre jours, des conférences seront également organisée pour examiner entre autres la politique de la tarification de la communication en Côte d’Ivoire et la libéralisation de la distribution des journaux.


Source:Xinhuanet

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admin30 août 2007
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L’Asec s’envole ce soir pour l’Egypte en vue de la 6e et dernière journée de la phase de poules de la 11e Ligue des Champions de football. Les Mimos croiseront le fer avec le National Al Alhy. Cette rencontre décisive se jouera dimanche (17 heures GMT), au stade international du Caire. Les Ivoiriens (7 points) n’ont pas le choix. Ils doivent s’imposer, s’ils tiennent à continuer l’aventure africaine, devant un adversaire (9 points) qui n’a besoin que d’un nul pour s’ouvrir les portes des demi-finales.


L’Asec qui reste sur une victoire en championnat, a le moral. Elle part au Caire avec la ferme conviction de réaliser l’exploit. Pour cette mission commando, l’entraîneur Patrick Liewig a retenu 18 joueurs considérés comme les plus en forme du moment. C’est -à- dire ceux qui, en plus de leur valeur technique, peuvent transcender au plan physique et moral. Il s’agit, entre autres, d’Iddrisu Abdul Nafiu (qui était au repos), Umoh Emmanuel, N’Gossan Antoine, Alli N’Dri Kouadio, Diarra Ali, Labi Kassiaty Gildas, Gooré Dacosta, Konan Kouamé Magloire, Kocou Valérie et Mohamed Kaboré.


« Nous n’allons pas en Egypte en victimes résignées. L’Asec saura se battre avec ses armes. », soutient Liewig. C’est un trio arbitral marocain dirigé par le célèbre Guezzaz Mohamed qui officiera ce match tant attendu. Asiienafi Ejigu (Ethiopie) et Nicholas Musonve (Kenya) seront respectivement le commissaire et le coordinateur général de la partie. L’Asec quittera la capitale égyptienne le 6 septembre.


Source: fraternité matin

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admin29 août 2007
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Le ministère ivoirien de la Santé révise à l’heure actuelle sa politique de soins de santé payants, en tenant compte des recommandations de plusieurs agences des Nations Unies, d’organisations humanitaires et d’autres experts sur les changements potentiels à apporter au système de santé ivoirien, vieux de 10 ans.


Ces démarches surviennent à l’heure où les organisations humanitaires exercent des pressions sur le gouvernement en faveur d’un système de soins gratuit, au moins pour certains groupes de population à risque.


Le gouvernement « évalue à l’heure actuelle le système de recouvrement des frais de santé, en vigueur depuis 1996, pour déterminer ce qui a été efficace et ce qui ne l’a pas été », a expliqué à IRIN N’da K. Siméon, directeur de communication du ministère de l’Hygiène et de la Santé publiques. Selon lui, toutefois, cette évaluation n’est pas liée au débat sur les mérites des soins de santé gratuits, qui agite la Côte d’Ivoire ; il serait simplement temps pour le gouvernement de dresser le bilan d’une politique appliquée depuis plus de dix ans.


Dans le monde, les experts de la santé débattent depuis longtemps des mérites d’un système de santé gratuit ; pour certains partisans du concept, les frais médicaux empêchent de nombreuses personnes d’avoir accès aux services de santé de base. Quant aux critiques, ils affirment qu’imposer des frais aux patients permet d’encourager la participation des communautés au système de santé et s’avère indispensable à l’entretien du personnel et des infrastructures qui composent le système de santé publique.


Le ministère ivoirien de la Santé a invité des représentants de plusieurs agences des Nations Unies et d’organisations non-gouvernementales, ainsi que d’autres experts, à une rencontre qui se tiendra du 27 au 29 août pour entendre leurs recommandations et étudier la question, a expliqué M. Siméon. Cette conférence doit faire intervenir des responsables médicaux des quatre coins du pays.


L’objet de ce séminaire sera, entre autres, de « dresser le bilan » de la politique de recouvrement des coûts des actes de santé en Côte d’Ivoire et « d’engager une réflexion sur les opportunités de révision de l’échelle tarifaire applicable aux services de santé », selon un document publié par le ministère de la Santé, obtenu par IRIN, et qui présente l’ordre du jour de la rencontre.


« On a constaté un certain dysfonctionnement dans la mise en œuvre de la politique de recouvrement des coûts des actes de santé » – notamment une incohérence des tarifs appliqués et des problèmes d’approvisionnement en matériel médical dans certains centres de santé, peut-on lire dans le document. Toujours selon le document, certaines communautés « estiment que les soins qui leur sont prodigués sont trop coûteux ».


Intervention des organisations humanitaires


L’évaluation réalisée par le ministère de la Santé intervient à u moment où les travailleurs humanitaires tentent de convaincre le gouvernement de mettre en place un système de santé gratuit, au moins pour quelques groupes vulnérables tels que les enfants en deçà d’un certain âge ou les personnes atteintes de malnutrition.


Peu habituée aux crises humanitaires, la Côte d’Ivoire a vu les organisations humanitaires affluer sur son territoire après la rébellion et la courte guerre civile de 2002-03. Aujourd’hui, tandis que le pays se dirige lentement vers la paix, les autorités s’efforcent de dynamiser les infrastructures éducatives et sanitaires, notamment dans le nord et l’ouest, une tâche rendue d’autant plus complexe par l’exode des employés de l’Etat vers le sud –sous contrôle gouvernementale, le nord étant occupé par les forces rebelles.



Photo: Nancy Palus/IRIN
Une mère et son enfant dans un centre nutritionnel, au nord-ouest de la Côte d’Ivoire
Le débat sur la gratuité des soins de santé a été mis au premier plan cette année lorsque Médecins sans frontières (MSF) a mis fin à ses opérations dans les hôpitaux publics de Bouaké et de Man, où l’organisation fournissait des services de santé gratuits depuis environ quatre ans. L’organisation a expliqué dans un rapport interne publié récemment qu’elle espérait que le ministère ivoirien de la Santé et les donateurs externes continueraient de soutenir les centres de santé publics « [dans l’intérêt] d’une population encore très touchée par la crise ».


Dans les hôpitaux de Bouaké et de Man, où MSF a opéré respectivement jusqu’en mai et en juillet, les services de santé sont encore dispensés gratuitement, dans l’attente d’une décision du ministère de la Santé. Le gouvernement ne peut imposer de « rupture brutale » aux communautés qui se sont habituées à obtenir des soins gratuitement, selon M. Siméon, du ministère de la Santé.


La gratuité pour certains groupes de population


L’organisation britannique Save the Children (SC-UK), qui fournit des médicaments gratuits aux enfants de moins de cinq ans et aux femmes enceintes dans l’ouest de la Côte d’Ivoire, fait également partie des organismes qui prévoient d’intervenir dans l’élaboration de la politique publique en matière de coût des actes de santé.


« Nous pensons, de manière générale, que les soins de santé devraient être gratuits au point d’accès », a expliqué à IRIN Heather Kerr, directrice nationale de SC-UK. « Nous voudrions que cela soit le cas pour tout le monde », a-t-elle poursuivi, ajoutant que puisque le gouvernement ivoirien ne semblait pas prêt à opérer ce changement global, SC-UK exercerait sans doute des pressions en faveur d’une gratuité des soins pour certains groupes de population. « Nous devons trouver un groupe ou une région cible – mais il est difficile [à l’heure actuelle, en Côte d’Ivoire] de déterminer qui est vulnérable ».


Les groupes de population vulnérables, que les agences des Nations Unies souhaiteraient voir bénéficier de la gratuité des soins de santé, sont ceux qui souffrent de malnutrition, selon Chouahibou Nchamoun, spécialiste en nutrition du Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) en Côte d’Ivoire. L’UNICEF adhère à la politique publique et ne prend pas position en matière de recouvrement des coûts des actes de santé dans le pays ; l’agence s’est toutefois jointe à l’Organisation mondiale de la santé et au Programme alimentaire mondial pour formuler une recommandation commune en faveur de soins de santé gratuits pour les personnes atteintes de « malnutrition aiguë sévère », selon M. Nchamoun.


La Banque mondiale, qui finance plusieurs programmes de reprise et de développement en Côte d’Ivoire, dit être disposée à soutenir un système de services de santé gratuit. « La Banque mondiale pense que les populations pauvres ne devraient pas avoir à payer pour bénéficier de services de santé de base », selon Phil Hay, porte-parole du département de développement humain de la Banque mondiale, à Washington D.C. « En fin de compte, il revient aux gouvernements des pays en voie de développement de déterminer leurs propres politiques financières en matière de soins de santé ; toutefois, la Banque est prête à aider les gouvernements qui décident effectivement de supprimer les coûts des actes de santé imposés aux usagers, pour leur permettre de trouver d’autres sources de revenu et de compenser ainsi les pertes financières qu’engendre la suppression de ces frais ».


Source: (IRIN)

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