admin, Author at Urgences - Parce que la santé est primordiale! - Page 133 sur 140

admin10 septembre 2007
ovin.jpg
3min2390

La maladie ne touche que les ruminants et n’affecte pas l’homme. Elle n’inspire aucune inquiétude ni pour la population, ni pour le consommateur, selon les services vétérinaires.
La maladie dite de la langue bleue est véhiculée par les culicoïdes, une espèce de moucheron.



Un premier cas de fièvre catarrhale ovine (FCO), dite maladie de la langue bleue, a été diagnostiqué vendredi en Moselle dans un élevage près de Metz, a-t-on appris samedi auprès de la préfecture de Moselle. Les autorités préfectorales ont pris un arrêté qui impose des restrictions supplémentaires à la circulation des animaux sensibles à la maladie (bovins, ovins et caprins) dans un périmètre couvrant les arrondissements de Metz et de Thionville, ainsi que quatre cantons limitrophes.
  
L’arrêté ordonne en outre d’engager la lutte avec des insecticides contre le vecteur de la maladie, un moucheron, dans les exploitations infectées de cette zone. Selon le communiqué de la préfecture, les analyses effectuées par les laboratoires nationaux de référence (Cirad à Montpellier et Afssa à Maisons-Alfort) ont confirmé la présence du virus sur un animal qui présentait des symptômes évocateurs de la maladie.
  
Une espèce de moucheron
 
« La situation de la fièvre catarrhale ovine (FCO) évolue rapidement », selon les services vétérinaires du département qui précisent que depuis fin juillet, plus de 160 cas confirmés ont été comptabilisés en France, notamment dans les départements voisins de la Meurthe-et-Moselle et de la Meuse, et que plus de 2 500 cas ont été enregistrés en 2007 dans l’ensemble des pays européens touchés par la souche BVT8 de la fièvre catarrhale ovine.
  
La maladie ne touche que les ruminants, précise-t-on de même source. Elle n’affecte pas l’homme et n’inspire aucune inquiétude ni pour la population, ni pour le consommateur. La Belgique, le Luxembourg, l’Allemagne et les Pays-Bas sont également touchés par la FCO, véhiculée par les culicoïdes, une espèce de moucheron.


Source: tf1. lci.fr

Lire la suite

admin10 septembre 2007
sante10.jpg
3min2400

Parce qu’en la matière, les plus nantis se ruent vers ces structures sanitaires privées. Toute chose qui laisse croire que l’appel du ministre de la Santé et de l’Hygiène publique et celui du président de l’ordre des médecins à observer le service minimum à l’effet d’éviter des situations irréparables, ne rencontrent toujours pas l’assentiment des cadres supérieurs de la santé. Et pourtant le vendredi 7 septembre dernier, un des points importants de leurs revendications ayant occasionné cette grève illimitée, à été pris en compte.


En effet, une décision de justice suspendant l’administration provisoire du Syndicat National des cadres Supérieurs de la Santé de Côte d’Ivoire (SYNACASS-CI), a rétabli son secrétaire général débarqué, le pharmacien Amichia Magloire, dans ses droits, selon ses propres dires, lorsque nous l’avions joint au téléphone hier. En sus, il a souligné que le Conseil de gouvernement, à travers un communiqué, a rassuré se pencher en priorité sur leurs problèmes.


Les membres du Synacass-ci, par la voix de leur secrétaire général, Amichia Magloire, ont profité de l’occasion pour saluer et féliciter le Gouvernement pour cette décision hautement humanitaire. Mais, l’assemblée générale du Synacass-ci étant souveraine ; aucune décision ne peut donc être prise en dehors d’elle, selon Dr Magloire Amichia.
Estimant que « le débat ne se limite plus au service minimum mais plutôt qu’il est question de la suspension du mot d’ordre de grève ». Ce dernier point est d’ailleurs inscrit à l’ordre du jour de l’assemblée générale du mardi 11 septembre prochain à l’Institut de la Santé Publique (INSP) à Adjamé, à l’issue de laquelle l’on décidera, selon le Dr Amichia de la reprise ou non du travail par les médecins sur toute l’étendue du territoire national. En attendant, faut-il le souligner, des malades luttent sans assistance médicale contre la mort quand d’autres plus « chanceux » doivent prendre leur mal en patience.


Source: L’Inter

Lire la suite

admin10 septembre 2007
france01.jpg
18min2560

Kragbé Gadou Vincent, cheville ouvrière du projet de zone franche de la biotechnologie et des technologies de l’information et de la communication de Grand-Bassam, a été élu personnalité de l’année pour le continent africain par le magazine international d’économie FDI (Investissements directs étrangers) du groupe, Financial Times. Le prix lui a été remis le 31 août dernier par les responsables du magazine au cours d’une cérémonie solennelle à l’hôtel Mauria Sheraton dans la capitale indienne, New Delhi.
Ce prix dénommé «FDI Personality of the year» récompense chaque année des personnalités ayant contribué à attirer d’importants investissements dans leurs pays. Le prix est attribué par régions. Le commissaire général de la zone franche de Grand-Bassam et directeur général de Vitib (Village des technologies de l’information de Grand-Bassam) a été distingué pour l’Afrique, parce que le projet qu’il pilote depuis quelques années déjà est de nature à attirer d’importants investissements dans son pays. Faut-il le rappeler, la zone franche de Grand-Bassam mobilisera pour ses premiers investissements, 100 milliards de francs environ et accueillera une centaine d’entreprises dans les cinq premières années. Ce qui a le plus retenu l’attention des experts de FDI dans le cas ivoirien, c’est surtout le fait que ce pays ait réussi à mettre en route un projet d’envergure internationale capable d’attirer d’importants investissements étrangers, malgré les difficultés qu’il traverse.
Dans la salle de conférences du Maurya Sheraton aménagée pour un dîner, l’heureux récipiendaire ivoirien était avec cinq autres primés ou leurs représentants, notamment le ministre du Commerce et de l’Industrie de la République de l’Inde, Kamal Nath, super gagnant du prix (Global winner, FDI personality of the year). Celui-ci a été ainsi désigné pour sa grande contribution au positionnement de son pays comme destination préférée des investissements directs étrangers. De sorte que, comme lui-même l’a soutenu dans son discours à la soirée, «l’Inde est aujourd’hui sur le radar du monde pour sa crédibilité… avec des investissements étrangers en augmentation».
Les autres récipiendaires sont le Premier ministre de l’Estonie, Andrus Ansip (Europe), le maire de Medellin (Colombie), Sergio Fajardo Valderrama (Amérique Latine), l’homme d’affaires influant et conseiller du prince des Emirats Arabes Unis, Dr Khater Massad (Moyen-Orient) et le ministre des Finances des Etats-Unis, Henry Paulson (Amérique du Nord).
Dans la salle de conférences décorée aux couleurs de FDI, l’ambiance était plutôt conviviales avec des autorités indiennes et des personnalités du monde des affaires arrivées de différents pays à l’invitation du groupe Financial Times. Cette brève cérémonie (90 minutes environ) a été une occasion de retrouvailles pour beaucoup. Dans l’intermède entre la remise des prix et l’hommage rendu au «Global Winner», le récipiendaire indien, le lauréat ivoirien a pu mesurer l’importance et la crédibilité du prix qu’il venait de remporter, par les félicitations dont il a été l’objet de la part de personnalités qui comptent dans les milieux d’affaires et du monde politique. Certains se sont précipités vers lui pour lui exprimer leur «fierté de voir un Africain lauréat de ce grand prix». C’est le cas du conseiller à la Haute commission commerciale de la République de la Namibie, Jakova Katuamba, qui était tout heureux de voir «un Africain au même rang que les Asiatiques qu’on dit beaucoup plus avancés que nous». Pour lui, le projet de zone franche de la Biotechnologie et des technologies de l’information et de la communication est la preuve que l’Afrique peut compter sur elle-même.
M. Farid Jeddi, représentant du groupe indien, Futur Métal, est convaincu que «le projet de M. Kragbé» est un label de confiance pour les investisseurs étrangers. Il est convaincu que le prix FDI va énormément contribuer à donner de la confiance aux investisseurs étrangers qui ont encore des appréhensions. En ce qui concerne la firme qu’il représente, il fait savoir qu’elle est plus que jamais disposée à renforcer sa timide position en Côte d’Ivoire après l’événement du jour (elle a ouvert récemment une entreprise en zone industrielle de Vridi.)
Après avoir reçu son prix, le commissaire général de la zone franche, Kragbé Gadou, s’est envolé pour les Etats-Unis, accompagné de Mlle Sandra Gayibor, responsable Partenaire et Diaspora de Vitib. Il y est allé à la rencontre de potentiels partenaires. Dont des sénateurs et la diaspora ivoirienne. Il sera de retour à Abidjan. Le 18 septembre prochain.


Option :
Dans la cour des grands !


L’intéressé n’a pas cru à l’information contenue dans le courriel indiquant qu’il était lauréat du prix «FDI personality of the year». Mais quand il s’est rendu compte qu’il y avait derrière, le célèbre groupe de presse Financial Times et surtout quand il a découvert les autres vainqueurs, il a compris que l’affaire était sérieuse. Aujourd’hui, le commissaire général de la zone franche dédiée à la biotechnologie et aux technologies de l’information et de la communication se rend à l’évidence : le projet vient d’être adopté au plan international. Et lui, la cheville ouvrière se retrouve dans la cour des grands… aux côtés du ministre des Finances du plus puissant pays du monde (Etats-Unis) et du ministre du Commerce et de l’Industrie de l’Inde, partenaire stratégique du projet. En tout cas, il a dû s’en convaincre la semaine dernière, suite à l’accueil qui lui a été réservé aux Etats-Unis. Où il séjournera jusqu’au 18 septembre prochain.
C’est clair, le prix FDI va contribuer pour beaucoup à la promotion internationale du projet de zone franche qui a déjà suffisamment souffert de la situation générale de la Côte d’ Ivoire. A ce propos, c’est avec beaucoup de peine que M. Kragbé Gadou constate que, malgré les avancées vers la paix au plan politique, les investisseurs étrangers qu’il rencontre, bien que disposés à venir en Côte d’Ivoire, manifestent encore de la prudence. Echaudés par les crises à répétition, «ils évoquent à chaque fois le pays», dit-il. Aux Etats-Unis où il est arrivé la semaine dernière, le commissaire général dit être confronté à la même réalité.
Si et seulement si, Dieu pouvait visiter les politiques pour qu’ils comprennent la ruine économique qu’ils imposent à leur pays par leurs attitudes «criminelles» guidées par leurs seuls intérêts. Le problème, c’est qu’ils en sont conscients… Mais comme le soutenait récemment quelqu’un, l’homme politique en Afrique est capable de tuer son pays pour assouvir ses intérêts personnels. Et cela, de quel que bord politique qu’il soit (parti au pouvoir ou opposition).
Peut-être qu’il va falloir introduire désormais des leaders politiques dans toutes les missions de promotion commerciale de la Côte d’Ivoire à l’étranger. Cela aurait l’avantage peut-être de les sensibiliser. Les plus sceptiques diront certainement que cette stratégie n’y changera rien. Puisque, que le pays tourne ou pas, les hommes politiques n’en ont cure. Ce qui compte pour eux, c’est la victoire politique sur l’adversaire. Cette image sied à la Côte d’Ivoire. Le parti présidentiel et l’opposition, malgré les derniers développements (la Flamme de la paix) continuent de pêcher en eau trouble. Et la communauté internationale, notamment les investisseurs, n’entend pas être dupe. Elle observe… Et elle observera jusqu’à ce que cette situation prenne fin.


Repères


Emplois. La zone franche de Grand-Bassam générera au premier quinquennat 22 000 emplois et 100 000 à la fin du deuxième quinquennat.


Chiffre d’affaires. En cinq ans, la zone franche réalisera un chiffre d’affaires de 600 milliards de francs CFA.


Absence. Bien que le projet de zone franche de Grand-Bassam ait été retenu comme porteur d’investissements directs étrangers dans le futur, la Côte d’Ivoire ne fait pas partie du classement 2007 du magazine FDI des pays africains du futur. La raison est que malgré la bonne volonté des responsables du canard, aucune autorité ivoirienne ne leur a donné les informations dont ils avaient besoin.


Couverture. Parmi les nombreux organes de presse présents au Maurya Sheraton hôtel de New Delhi, il y avait deux médias ivoiriens: Fraternité Matin, représenté par un journaliste et la première chaîne de la télévision nationale, représentée par un journaliste et un cadreur. Ils ont pu effectuer le voyage grâce aux bons soins de MTN, partenaire de Vitib.


Partenaires. Les partenaires potentiels de la zone franche se trouvent en France, en Inde, en Israël, en Afrique du Sud, au Canada, aux Etats-Unis, etc. D’où les nombreux voyages du commissaire général.


Alakagni Hala
Envoyé spécial à New Delhi


LEG Kragbé Gadou Vincent (2e à partir de la gauche) a posé avec les autres récipiendaires. (photos A. Hala


Rumeur de coup d’État : Le ministre de la Défense met en garde les déstabilisateurs


Profitant de son passage à Bocabo, dans la sous-préfecture de Kossou (District de Yamoussoukro), le ministre de la Défense, Amani N’Guessan Michel, a mis en garde toutes les forces occultes qui menacent le régime de Laurent Gbagbo et le gouvernement actuel.
«Nous sommes débout pour contrer toute velléité de coup d’Etat. Que ceux qui se trompent ainsi, arrêtent la manigance. Quel que soit le niveau du danger, nous ferons face pour imposer la paix», a averti le patron du département de la défense pour qui, il est important de le dire pour rassurer la population.
C’était samedi dernier, à l’occasion de la sortie officielle de la mutuelle de développement dudit village. Etaient présents pour la circonstance, les fils et cadres de Bocabo, le gouverneur du district, N’Dri Koffi Appolinaire, le représentant du maire de Yamoussoukro et le commandant du bataillon de la force Licorne basé à Toumbokro (25 km à l’ouest de Yamoussoukro, route de Bouaflé). Le ministre a voulu être très clair envers ce dernier. Car, a-t-il indiqué, c’est le temps des rumeurs de coups d’Etat par-ci et par-là, avec l’appui de la France et de la force Licorne. «Je vous invite, commandant, à croire que nous quittons, petit à petit, le chemin des coups d’Etat dont le premier a eu lieu en Afrique en 1963, pour le chemin des votes. Nous sommes pour des élections propres, justes et transparentes. Aidez-nous à organiser ces élections. Dites aux autres que la Côte d’Ivoire a tourné le dos au parti unique et aux coups d’Etat. Nous n’en voulons plus», s’est-il adressé à l’officier. Qu’il chargera par la suite, de transmettre ce message à ses supérieurs hiérarchiques et à la communauté internationale.
Il s’est aussi appesanti sur les accords de coopération France-Afrique qui doivent, selon lui, être impérativement révisés. «Plus besoin de s’agripper à de vieilles clauses dont le contenu ne cadre plus avec la mentalité d’aujourd’hui. A chaque époque ses réalités. Le temps du parti unique est révolu», a déclaré le ministre de la Défense.
Selon lui, la population ivoirienne, en général et la jeunesse, en particulier, n’ont plus besoin de coups d’Etat et de rébellions. Ils ont plus besoin de travail, de centres de santé, d’eau potable. En somme, d’un bien-être social. C’est pourquoi, il s’est présenté au public comme le ministre de la paix, et non celui de la guerre. Par conséquent, il se propose de ne tolérer aucune action qui plongerait le pays dans la guerre et le désordre. Aussi, a-t-il poursuivi, Il n’entreprendra ni d’actions qui puissent aboutir à une guerre. D’où l’exhortation des déstabilisateurs à s’abstenir de leurs projets funestes, dont l’échec est déjà programmé.


Le faux bond de Gnrangbé à Amani


Les férus du sensationnel sont repartis déçus du village de Bocabo. Et pour cause, la contradiction offensive que réservait le maire de Yamoussoukro, Gnrangbé Kouadio Jean, délégué départemental 1 du PDCI, au ministre de la Défense n’a pas eu lieu. Il a reculé. Et s’est fait représenter par l’un de ses conseillers municipaux, Kouamé Edouard. Qui, dans ses propos, n’a fait que féliciter et encourager les fils et cadres du village, pour leur initiative de s’inscrire résolument pour le développement de leur village. Rappelons que lors d’une rencontre à la salle de mariage de la mairie pour faire la paix avec les siens,
Gnrangbé Kouadio Jean avait promis de contrer le ministre Amani N’Guessan Michel sur le terrain. Ce, dans l’optique d’empêcher le débauchage de ses militants. «Nous irons tous à Bocabo le 08 septembre prochain. Avec au moins deux cars pleins de militants habillés à l’effigie du président Bédié. Mon intention est qu’il ne puisse pas faire de déclarations pour détourner nos militants», avait-il déclaré, devant les élus locaux et membres du parti qui avaient soutenu cette idée. Il s’était même proposé de s’y rendre accompagné du secrétaire général du PDCI, le Pr Alphonse Djédjé Mady, qui effectuait une tournée dans la région.
Mais le samedi 8 septembre, le délégué départemental 1 a fait défection. Et tout le monde se perd en conjectures.


Source: Fraternité Matin

Lire la suite

admin8 septembre 2007
grippe01.jpg
3min2400

Le tai chi améliore la réponse immunitaire au vaccin contre la grippe


Vous avez un certain âge et l’envie d’éviter la grippe cet hiver ? Faites vous vacciner… et mettez vous au tai chi. Des chercheurs de l’université de l’Illinois (Etats-Unis) viennent de mettre en évidence que cet art martial pourrait améliorer significativement la réponse immunitaire des personnes âgées qui viennent de se faire vacciner .


Pour le mettre en évidence, le professeur Yang Yang et ses collaborateurs ont recruté 50 septuagénaires qu’ils ont vaccinés contre la grippe. La moitié d’entre eux a été formée aux techniques du tai chi et qigong (prononcé chi-kong et non King-Kong) à raison de 3 séances d’une heure par semaine durant 5 mois. L’autre moitié a servi de groupe témoin.


Le tai chi et le qigong sont des sortes de gymnastiques consistant à faire de longs mouvements fluides tout en méditant et en respirant profondément.


A l’issu des 5 mois, les chercheurs ont prélevé des échantillons de sang à chacun des volontaires et mesuré le taux d’anticorps synthétisés en réponse au vaccin anti-grippe.   


Résultat : les niveaux d’anticorps étaient nettement plus élevés dans le groupe tai chi / qigong que dans le groupe témoin.
Ces résultats, même s’ils doivent être confirmés par d’autres études, sont une nouvelle preuve de l’influence que peut avoir notre mental sur notre système immunitaire. En 2003, Richard Davidson (Université du Wisconsin) mettait en évidence que la méditation avait un effet bénéfique sur les réactions immunitaires. Elle entraînait, chez des personnes vaccinées contre le virus de la grippe, une augmentation des taux d’anticorps et une augmentation de certaines cellules immunitaires, appelées les « natural killer »



Source: Le journal de santé

Lire la suite

admin8 septembre 2007
autoroute01.jpg
1min5620

APA – Abidjan (Côte d’Ivoire)- Des experts en infrastructures venus de la sous région ouest africaine, ont entamé depuis jeudi dans la capitale économique ivoirienne, une réflexion sur un vaste projet de construction d’une autoroute sous régionale, a constaté APA.


Les participants sont originaires des pays suivants : Burkina Faso, Bénin, Cote d’Ivoire, Mali, Niger, Nigeria,, Togo et Ghana..


Pour le ministre ivoirien des infrastructures économiques, ce projet est fondamental pour l’économie de l’Afrique de l’ouest.


« Cette autoroute qui va faire le tour en passant par le Burkina, le Mali, le Niger, le Nigeria, le Bénin, le Togo, le Ghana et la Côte d’Ivoire est vraiment une autoroute fondamentale. La côtière va relier Abidjan à Lagos» a expliqué Patrick Achi.


Le ministre ivoirien des infrastructures économiques estime par ailleurs que « ce projet va totalement désenclaver le Niger, le Mali et le Burkina.


Source: APA

Lire la suite

admin8 septembre 2007
lapin01.jpg
5min2890

a Grande-Bretagne est devenue, mercredi 5 septembre, le premier pays au monde à autoriser officiellement – tout en l’encadrant – la création in vitro d’embryons « chimères » constitués d’un patrimoine génétique humain intégré dans une enveloppe et une machinerie cellulaires d’origine animale.


Le « feu vert » donné par la Human Fertilisation and Embryology Authority (HFEA) vise à pallier les difficultés rencontrées par les biologistes britanniques engagés dans la recherche sur les cellules souches embryonnaires humaines à des fins thérapeutiques. Ces chercheurs expliquent être confrontés à une pénurie d’ovocytes féminins, cellules indispensables à la création d’embryons via la technique du clonage par transfert nucléaire. Selon eux, une solution s’imposait : substituer aux ovocytes humains des ovocytes d’autres mammifères prélevés sur des vaches ou sur des lapines.


En janvier, compte tenu des enjeux symboliques et éthiques inhérents à une telle demande scientifique, la HFEA avait jugé indispensable, avant de rendre sa décision, d’organiser durant plusieurs mois une consultation publique visant à prendre le pouls de l’opinion britannique.


« La loi sur ce sujet n’est pas très claire, et ce domaine peut apporter un changement substantiel dans l’orientation de la recherche scientifique au Royaume-Uni, précisait alors Angela McNab, directrice générale de la HFEA. Ce serait une erreur de porter un jugement immédiat sur ce problème compliqué et controversé avant d’avoir suffisamment d’éléments. » Pour sa part le gouvernement travailliste de Tony Blair, soucieux de tout mettre en oeuvre pour conforter la position dominante de son pays dans ce secteur perçu comme économiquement prometteur, n’avait pas caché, durant la consultation, qu’il était favorable à de telles recherches (Le Monde du 23 mai). Il avait alors fait état d’un projet de loi permettant de telles créations embryonnaires. Le Parlement britannique n’a pas encore tranché, mais les prérogatives réglementaires de la HFEA pourraient permettre de faire l’économie d’une étape législative.


CONDAMNATIONS CATHOLIQUES


En pratique, les scientifiques souhaitant pouvoir créer de telles chimères embryonnaires devront s’adresser à la HFEA, qui évaluera au cas par cas la pertinence des recherches projetées. Une commission ad hoc évaluera au cours du mois de novembre les dossiers qui ont déjà été déposés, ceux de chercheurs de l’université du King’s College à Londres et de l’université de Newcastle, dans le nord-est de l’Angleterre. Les embryons hybrides ne pourront pas être implantés dans un utérus animal ou, a fortiori, humain. Ils devront être détruits au plus tard 14 jours après leur création, après que les chercheurs seront parvenus à dériver des lignées de cellules souches qui pourront être cultivées durant plusieurs années ou décennies.


« La décision de la HFEA constitue un résultat positif (…) pour le progrès de la science en Grande-Bretagne. Nous espérons que cela débouchera sur de nouvelles technologies profitant à tout le monde, a déclaré, le 5 septembre sur les ondes de la BBC, le docteur Lyle Armstrong (université de Newcastle), un des chercheurs directement concernés. Cela peut sembler à première vue répugnant, mais il faut comprendre que nous n’utilisons que très peu d’information génétique de la vache. Il n’est pas dans notre intention de donner naissance à un quelconque hybride bizarre entre l’homme et la vache. Nous voulons utiliser ces cellules afin de mieux comprendre les cellules souches humaines. »


Environ 1 % de l’ADN de ces embryons chimériques devrait être d’origine animale – il s’agit d’ADN mitochondrial, présent dans les « centrales à énergie » des cellules, et non pas chromosomique, concentré dans le noyau.


Pour autant le feu vert accordé par la HFEA a, sans surprise mais avec une virulence sans précédent, déclenché une série de condamnations émanant des milieux catholiques. La plus violente a été formulée par Mgr Elio Sgreccia, président de l’Académie pontificale pour la vie. « C’est un acte monstrueux dirigé contre la dignité humaine », a-t-il déclaré le 5 septembre sur les ondes de Radio-Vatican.


Source: Le monde.fr

Lire la suite

admin7 septembre 2007
teintures_alimentaires01.jpg
2min3750

Les colorants alimentaires favoriseraient l’hyperactivité.


Les colorants alimentaires sont-ils dangereux pour la santé ? Certaines de ces substances sont montrées du doigt car elles peuvent provoquer des allergies. Mais les colorants sont également soupçonnés depuis plus de 30 ans de provoquer l’hyperactivité chez les enfants. Une nouvelle étude britannique s’est intéressé à cette question et confirme le bien fondé de ces soupçons : les colorants alimentaires peuvent exacerber les comportements hyperactifs.


Donna McCann et ses collègues de l’université de Southampton ont recrutés 153 enfants de 3 ans et 144 enfants de 8 et 9 ans. Ils leur ont donné à boire soit un placebo, soit différents mélanges contenant des colorants et du benzoate de sodium, un additif alimentaire utilisé comme conservateur. En parallèle, le comportement des enfants a été évalué par les parents et par les enseignants.

Résultat : lorsque les enfants ont consommé la mixture de colorants alimentaires ils ont présenté davantage de symptômes d’hyperactivité, aussi bien chez les enfants de 3 ans que chez les plus grands de 8-9 ans. Pour les auteurs ces résultats « apportent des éléments solides pour montrer que les additifs alimentaires exacerbent les comportements hyperactifs ». Une bonne raison supplémentaire pour éviter les bonbons rose fluo ou bleu turquoise tant prisés par les tout petits…


Source: Le journal de santé

Lire la suite

admin7 septembre 2007
sante10.jpg
7min2680

Comme convenu à l’assemblée générale extraordinaire du 4 septembre 2007, les médecins, vétérinaires et pharmaciens regroupés au sein du Syndicat national des cadres supérieur de la santé (Synacass-ci) ont mis à exécution leur menace de mener une grève illimitée sans le service minimum. Après deux jours de cet arrêt de travail, le mouvement de grève persiste dans les trois centres hospitaliers universitaires (Chu), les hôpitaux et les centres de santé publics. Au Chu de Treichiville, de Cocody comme à l’Insp et à l’hôpital général de Koumassi, les blousses blanches dont l’insigne fait référence à un médecin était presque invisibles. Seulement quelques uns rencontrés au Chu de Treichville donnaient discrètement un coup de main aux premiers responsables du Chu et aux chefs de service descendus dans l’arène pour éviter certaines situations dramatiques. Cela s’est vérifié à la direction générale du Chu de Treichville et aux Urgences de Cardiologie où le directeur du centre et le premier responsable de la cardiologie étaient en consultation au moment où nous passions. Très actif, le directeur de la cardiologie a rassuré que le service minimum était observé dans son établissement. Pour lui, l’on ne peut pas badiner avec ce service vital dans l’organigramme d’un établissement sanitaire. Les responsables du Chu sont aidés dans leur tâche par certains médecins qui ont même délivré des ordonnances à des malades venus se faire consulter. “ Mais tout se passe dans la discrétion afin d’éviter de se faire tabasser par les inconditionnels ”, a dit un médecin qui regardait dans tous les sens tout en parlant. Il n’avait pas tort. Car, à quelques mètres de là, un médecin se tordait de douleurs pour avoir réçu des coups de poings de la part d’individus se réclamant du Synacass-ci.


La ruée vers les cliniques


Au Chu de Cocody, l’environnement était tout autre. Aucun médecin n’était visible. Seulement des infirmiers en blouse blanche allaient et venaient. Ceux des médecins qui caressaient le désir de travailler avaient une peur bleue d’être pris à partie par les grévistes. Constat, le service des urgences était dépourvu de médecin ainsi que dans plusieurs services…Au service gynécologique, des grévistes ont empêché, selon une source sûre, une intervention chirurgicale. “ Le malade était déjà au bloc opératoire lorsqu’un groupe de grévistes a fait irruption dans la salle pour nous demander de sortir. Ce que nous avons fait. Mais je pense que c’est inhumain d’agir ainsi pour quoi que ce soit ”, a indiqué le praticien, tout indigné de l’acte posé par ses confrères. “ Nous voulons travailler et soigner nos frères, mais ce qui s’est passé hier (Ndlr 5 septembre) nous donne encore des frissons. Certains de nos collègues ont été copieusement tabassés et le directeur du Chu a lui même failli échappé à un lynchage ”, a déclaré le Pr B.A. Les malades quant à eux sont livrés à eux mêmes sans soins. Ils sont couchés dans les lits attendant vainement leurs médecins traitants. Ceux qui sont venus en consultation ou répondant à un rendez-vous médical sont refoulés systématiquement. Les plus souffrants sont transférés immédiatement par leurs parents dans des cliniques. A la clinique de l’Indénié au Plateau, plusieurs nouveaux malades se sont fait inscrire dans les cahiers de réception tenus devant les différents services. Un jeune très mal au point a été admis dans cette clinique sur l’ordre de son grand frère. “ Nous venons de Yopougon. Là-Bas on nous dit qu’il n’y pas de travail et que les médecins sont fâchés. Au Chu de Cocody où nous sommes allés, là-bas aussi, un vigile nous a dit que les gens ne travaillent pas. J’ai appelé mon grand frère et il a dit de l’envoyer ici ”, a laissé entendre Sinani. Dans l’allée de la clinique, les incessants va et vient des brancardiers laissent transparaître que les cliniques sont très sollicitées depuis deux jours. La réaction du ministre


Selon les vigiles, depuis deux jours, le nombre des malades fréquentant la clinique s’est accru. Le constat a été également fait à la clinique le Manguier. Mais cette situation qui éprouve les malades et les parents n’est pas appréciée par le ministre qui n’a pas manqué de le dire dans l’après midi du jeudi 6 septembre à son cabinet sis au 16ème étage de la Tour C. En effet, au cours d’une conférence de presse qu’il a animée, le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique Allah Kouadio Rémi a reconnu que la grève des médecins est largement suivie. Toutefois, le ministre a indiqué que l’arrêt de travail décrété par le Synacass-ci n’a pas respecté les procédures prescrites par la loi en matière de grève. Pour la simple raison que les médecins n’ont pas déposé de préavis avant d’entamer la grève qui, en plus d’être illimitée, ne prend pas en compte le service minimum. Raison pour laquelle il a invité les médecins, pharmaciens et vétérinaires, au nom du serment qu’ils ont prêté, à reprendre le travail afin d’éviter des situations dramatiques aux Ivoiriens qui, depuis 2002, souffrent dans leur chair.


Source: Soir Info

Lire la suite

admin7 septembre 2007
internet.jpg
7min2830

L’internet sans fil municipal était supposé démocratiser l’accès à internet et transformer la relation des citoyens à la cité. En 2004, les maires de Philadelphie et San Francisco avaient levé le voile sur d’ambitieux plans de réseaux municipaux sans fil. A la suite de ces annonces, à travers l’Amérique, des centaines de villes se sont lancées dans cette course. Depuis, de nombreux projets municipaux ont été freinés du fait des coûts importants de mise en oeuvre, de la faiblesse de la couverture de ces réseaux et surtout de la faiblesse de la demande. La ville de Chicago vient même d’annoncer qu’elle abandonnait le projet qu’elle a longtemps mûrie.


Le coeur du problème, explique The Economist, est que les réseaux sans fil Wi-Fi extérieurs n’apportent pas toujours une connexion suffisante à l’intérieur des immeubles: le signal reste souvent faible. Sans compter que beaucoup de projets ont sous-estimé le nombre de bornes nécessaires pour assurer une bonne couverture – qu’il a parfois fallu augmenter de 20 à 100 %. Pire, les réseaux terminés n’ont attiré que peu d’utilisateurs: A Taipei (Taïwan), l’endroit au monde où le réseau Wi-Fi municipal est le plus développé, on ne comptait que 30 000 utilisateurs en avril 2007, alors que le projet en attendait 250 000 pour la fin 2006. Le réseau de Tempe dans l’Arizona, qui est sensé être le plus important des Etats-Unis et qui espérait 32 000 souscripteurs, n’en recueillait que 600 en avril 2006 – un chiffre qui aurait peu évolué depuis. Earthlink, l’un des opérateurs majeurs dans ce secteur, après avoir perdu des utilisateurs, supprime des emplois et est en pleine restructuration… Est-ce à croire que les réseaux municipaux Wi-Fi sont en pleine crise ?


Bien sûr, les raisons sont nombreuses explique Bryan Alexander pour SmartMobs, mais partout on constate une faible adoption par les utilisateurs combinée à une envolée des coûts pour le déploiement de ces nuages de connectivité urbaine. “Il n’y a pas de Business Model”, martèlent les nombreux opposants à ces projets. Les supporters des MuniFi (ces réseaux municipaux Wi-Fi) pointent souvent l’exemple réussi du réseau Wi-Fi de Mountain View offert par Google (mais qui ne compte quelques 15 000 utilisateurs uniques par mois). Si ce n’est que ce réseau gratuit est implanté à un endroit particulier de la Silicon Valley où les gens ne quittent pas leur maison sans leur portable et ont un besoin « maladif » de rester connecté, précise Om Malik.


“Les consommateurs sont un rapport assez faibles pour les réseaux Wi-Fi Municipaux”, explique l’analyste Craig Settles auteur d’un récent rapport sur les impacts économiques des réseaux municipaux sans fil: “ce sont des clients coûteux à obtenir et encore plus coûteux à conserver”. “Je ne pense pas pour autant que ce soit la fin”, précise encore ce dernier. “Il y a une valeur à disposer d’un réseau municipal – notamment comme banc d’essai pour les applications, services et infrastructures mobiles – mais nous devons penser le processus plus soigneusement.” Et de suggérer au réseau de San Francisco une meilleure intégration (en combinant la fibre et le sans fil) et l’abandon de l’idée de développer un réseau gratuit pour tous, au profit d’un projet plus commercial.


Toutes les nouvelles ne sont pas mauvaises, mais pour l’instant, force est de constater que les réseaux citoyens (comme le réseau Mesh initié par Meraki Networks sur San Francisco), malgré leur incomplétude, se portent mieux, ou tout du moins bénéficient encore d’une dynamique positive. Les petites villes sont souvent plus accessibles que les grosses, sans compter celles où la topographie et la culture internet s’y prêtent, comme c’est le cas à Portland qui est souvent cité en exemple.


“Trop de municipalités continuent à se concentrer sur de grands et ambitieux projets de réseaux sans fil municipaux qui n’ont pas une vision clair de leur rentabilité”, explique Joe Panettieri pour MuniWireless. Face à cela, les projets municipaux les plus réussis sont ceux où un département de la ville (police, travaux public…) a déployé une application forte sur ce réseau (réseau de télésurveillance, système de compteurs de gaz, d’eau ou d’électricité automatiques, réseau de communications d’urgences…) qui permet d’avoir un retour sur investissement assez clair, comme à Corpus Christi (Texas), Buffalo (Minnesota), Phoenix (Arizona), Providence (Rhode Island) et bien d’autres villes qui ont assuré la prospérité de leur réseau haut débit en y développant des applications propres. Quand une municipalité réussi le déploiement d’une application, il est bien plus facile de construire une offre d’accès limitée ou compréhensible pour le public.”


Les projets en cours ou à l’étude continuent à s’égrainer, comme le souligne un point complet réalisé par DailyWireless. 455 villes et comtés américains ont déployé ou projettent de déployer un réseau sans fil Wi-Fi. Ils n’étaient que 122 il y a 2 ans, rappelle MuniWireless dans leur dernier recensement. Mais le taux de déploiement devrait considérablement ralentir prédisent les analystes d’In-Stat.


Source: Techno-science.net

Lire la suite

admin6 septembre 2007
sommeil_bebe.png
3min2790

La nicotine diminue la qualité du sommeil des bébés


Les médecins conseillent aux futures mamans de bannir la cigarette pendant la grossesse. Et au cours de l’allaitement ? Idem. Motif : la nicotine passe dans le lait maternel et a des conséquences sur la santé de bébé. Une nouvelle étude américaine vient de mettre en évidence que lorsque les mères fument une cigarette avant de donner la tétée, la qualité de sommeil de leurs nourrissons est affectée.


Pour connaître les conséquences du tabagisme sur le temps de sommeil des bébés, le Dr Julie Mennella du Monell Chemical Senses Center de Philadelphie a recruté 15 mamans fumeuses et leurs bébés. Elle a comparé le temps de sommeil des enfants dans deux situations différentes : d’une part quand la maman avait fumé une cigarette avant la tétée, d’autre part quand elle s’était abstenue de fumer avant de donner le sein.


Verdict : une tétée sans nicotine est suivie d’une sieste de 84 minutes en moyenne. En revanche quand la maman a fumé une cigarette avant d’allaiter, la sieste suivante ne dure que 53 minutes en moyenne. « Et plus le lait maternel contient de nicotine plus les perturbations du sommeil vont être importantes », précise le Dr Mennella.    


Faut-il pour autant passer au biberon lorsque maman est accro à la nicotine ? Non. Parce que l’allaitement protègerait les bébés de certaines complications liées au tabagisme passif, notamment au niveau respiratoire. « Les bénéfices de l’allaitement sont supérieurs aux risques liés au passage de la nicotine dans le lait maternel, soutient l’auteur de l’étude. Donc même si vous fumez, nous vous encourageons à continuer d’allaiter ».
Le Dr Mennella conseille cependant de laisser passer 2 heures entre la cigarette et la tétée. Le pic de nicotine dans le lait maternel intervient 30 minutes après avoir fumé une cigarette. En respectant un délai de 2 heures vous diminuez l’exposition de bébé à la nicotine… et augmentez les chances de voir la sieste se prolonger.


Source: Le journal de Santé

Lire la suite

Page 133 de 140
1 129 130 131 132 133 134 135 136 137 140