Général - Catégorie d'Articles - Urgences - Parce que la santé est primordiale!

admin2 novembre 2007
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5min1690

Aux lendemains des indépendances, le système politique unitaire instauré par feu le Président Félix Houphouët Boigny avait favorisé l’émergence d’un syndicalisme contrôlé, balisé par les principes du parti – Etat. Les critiques de forme que pourraient susciter l’ère démocratique actuelle ne résisteraient certainement pas à la pertinence du fonds que l’on pouvait qualifier à cette époque de « bonne gouvernance syndicale ». L’unité intersyndicale avait posé les bases d’un syndicalisme fort et responsable, puis, ceux d’un secteur des transports plus fiable.
Aujourd’hui, le syndicalisme en transport, après cinq décennies de mutations, a connu des proportions et tournures importantes et déplorables, avec la dégradation quasi continuelle du système, enlisé dans la gestion de conflits interminables, des conflits servant des intérêts individuels au détriment de ceux de la corporation. La prolifération des corporations syndicales, estimées aujourd’hui à environ 200, a contribué lourdement à la dégradation du secteur. Les violences gratuites dans le milieu syndical, les affrontements répétés entre groupes syndicaux au nom de la revendication du leadership, les occupations anarchiques des rues et des gares, ont fini par donner du transport l’image d’une corporation désorganisée, devenue finalement l’otage de certaines individualités, qui ne s’en servent que pour des promotions personnelles. Les leaders syndicaux qui sont censés être les défenseurs des transporteurs finissent par devenir leurs bourreaux, et les transporteurs eux, devenant des victimes résignées. Il arrive parfois que certains responsables de groupements syndicaux ne soient même pas transporteurs, car ne possédant aucun véhicule de transport. Très souvent, leurs groupements n’ont aucune adresse sociale, aucune existence légale, donc aucune personnalité juridique. Ils s’imposent dans le milieu par des méthodes anti-conventionnelles, au forceps de leurs muscles, se comportant en véritables prédateurs, ne servant pour leur couverture que la cause des hommes politiques, et parfois les arrondissements de police situés sur le territoire de leur exercice syndical.
Ce qui naturellement a pour conséquence la prolifération anarchique des têtes de gares mobiles et des lignes de transport, ainsi que les multiples et fréquentes agressions sur les transporteurs, les chauffeurs, et parfois même les passagers.
Pare-brises brisées par-ci, pneus dégonflés par-là, personnes physiques brutalisées ça et là en toute impunité, la corruption protégeant les acteurs de la barbarie.
Aussi bien dans le fonds que dans la forme, le système de transport ivoirien souffre de nombreuses insuffisances et carences, parfois instituées à dessein, mais qui ne font guère honneur au milieu, dont l’image, de plus en plus ternie au fil des années s ‘assimile au désordre et à la loi des muscles, au détriment des transporteurs eux-mêmes…des transporteurs jusque-là dépourvus de couverture sociale, de garanties existentielles, obligés qu’ils sont de vivre au prorata de leur force instinctive et selon les desideratas des obligeants, dont le règne dans cette jungle est sans partage. L’ambition de développement de notre ère ne pourrait nullement s’accommoder de cette vision rétrograde et anarchique du monde des transports telle qu’elle se présente actuellement. Il convient à cet effet de repenser le système de transport ivoirien, lui octroyer une structuration et un système de gestion adéquats pour son épanouissement, en axant prioritairement l’action du mouvement syndical sur la formation et la moralisation du secteur. Il ne s’agit nullement d’une mise à zéro du système, mais d’une amélioration qualitative au profit des transporteurs et non des prédateurs, car l’évolution de nos civilisations impose que le transporteur ivoirien soit fièrement représentatif de sa corporation à travers une qualité de vie efficiente, soutenue par un syndicalisme fort et responsable, et une couverture sociale solide pour lui et pour sa famille.
Ce n’est qu’à ce prix que le transport ivoirien connaîtra ses réelles lettres de noblesse et offrira à la Côte d’Ivoire un visage plus digne et plus radieux.


Source: Le Rebond

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admin31 octobre 2007
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6min1980

La cartographie du sol de la forêt de Haye, à côté de Nancy, devrait bientôt être terminée. Elle révèle tout un réseau d’anciens chemins et de parcelles agricoles datant de l’époque gallo-romaine et médiévale.


L’ARCHÉOLOGIE forestière va entrer dans une nouvelle dimension grâce à un radar laser baptisé Lidar (Light Detection and Ranging). Embarqué sur un petit avion au-dessus d’une forêt, ce système émetteur et récepteur de faisceaux laser permet de « radiographier » la forêt en lui retirant toutes ses feuilles et son bois et de voir le sol entièrement nu. On découvre alors tous les reliefs du sol qui dorment depuis des siècles sous le couvert forestier : des limites d’anciennes parcelles agricoles, des vestiges de voies romaines, d’anciens murs, des buttes, des terrasses, des fossés datant de l’époque gallo-romaine ou médiévale.


La première cartographie Lidar des sols d’une forêt française devrait bientôt voir le jour. Il s’agit de la forêt de Haye, un vaste massif de 11 000 hectares situé en plein coeur de la Lorraine, à côté de Nancy. Les deux porteurs du projet, Étienne Dambrine et Jean-Luc Dupouey, du centre Inra de Nancy, ont déjà traité une partie des données. Ce pédologue et ce botaniste, qui ont déjà beaucoup apporté à l’archéologie forestière au cours des dernières années, jubilent. Il y a de quoi. Le modèle numérique de terrain qu’ils découvrent peu à peu a une précision de 10 centimètres. Le moindre renflement est visible, la moindre levée de pierres qui bordait jadis un chemin ou limitait un champ apparaît nettement.


Pour les archéologues, c’est une mine inestimable. Ils peuvent avoir une vue d’ensemble du réseau de structures anciennes qui ont précédé la plupart des forêts en Europe. Un réseau qu’ils ont les pires difficultés à appréhender quand ils se trouvent sur le terrain, au milieu des arbres


Cinq faisceaux par mètre carré


La forêt de Haye a été survolée au printemps dernier à basse altitude (600 mètres environ). Il aura fallu deux jours pour la parcourir en totalité, à raison de trente bandes passantes aller et retour, de 100 mètres de large. Le système envoie cinq faisceaux laser par mètre carré, ce qui représente 1,5 milliard de points à traiter pour l’ensemble de la forêt.


« Je ne m’attends pas à des découvertes archéologiques ma-jeures », avertit Jean-Luc Dupouey. En effet, avec Étienne Dambrine et une équipe d’archéologues, ils ont déjà longuement exploré la forêt de Haye. Au début des années 2000, ils y ont mis en évidence un parcellaire agricole de l’époque gallo-romaine très dense. À cette occasion, ils avaient montré que le sol forestier préserve parfaitement les marques des très anciennes occupations agricoles mais aussi que ce lointain passé modèle encore aujourd’hui le paysage forestier. C’est ainsi par exemple que sur l’emplacement d’anciens jardins, les arbres sont plus grands et qu’à l’inverse, sur d’anciennes pâtures ils sont plus malingres. La végétation des sous-bois varie elle aussi en fonction de cet ancien parcellaire, 1 800 ans après. Ce travail, qui a été publié dans la prestigieuse revue américaine Ecology en juin 2007, avait provoqué à l’époque un certain scepticisme. En effet, depuis le XIXe siècle, les professeurs de l’école forestière de Nancy avaient toujours considéré la forêt de Haye comme une des rares forêts immémoriales de notre pays.


Mais le Lidar n’intéresse pas que les archéologues. En effet, le retour des signaux laser à bord de l’avion apporte des données sur le sol mais aussi sur le couvert forestier, ce qu’on appelle la canopée. Ces dernières intéressent au premier chef les sylviculteurs et les écologistes qui cherchent à connaître la fertilité des forêts et aussi, bien sûr, l’impact du changement climatique et des rejets de CO2 sur la pousse des forêts.


Le Lidar est encore très cher mais ses coûts d’utilisation devraient rapidement baisser. On attend avec impatience les découvertes qu’il pourrait réaliser dans des forêts peu explorées, comme l’Amazonie par exemple.


Source: Le Figaro

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admin31 octobre 2007
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1min1710

Le destin de Didier Drogba est tout simplement extraordinaire…D’Abidjan à Paris, de Marseille à Londres, plongez dans l’intimité d’un homme devenu en l’espace de trois ans l’un des meilleurs attaquants au monde. La vie de Didier Drogba dépasse largement le cadre du sport. Son implication dans la résolution de la guerre en Côte d’Ivoire, sa nomination au titre d’ambassadeur de l’ONU font de lui un être à part dans le milieu du football. Pour la première fois, une caméra a suivi pendant cinq ans l’évolution d’un joueur mais aussi et surtout celle d’un homme, cinq années de tournage ponctuées de joies, de rires mais aussi de déceptions et de larmes… Vous connaissez « Drogba le footballeur », voici Didier le gamin d’Abidjan parti en Europe à l’âge de 5 ans à la conquête de ses rêves les plus fous… Le DVD “Didier Drogba, l’incroyable destin” sera en vente avec l’Equipe Magazine au prix de 6.95 euros. Il sera disponible en kiosque le samedi 03 novembre et jusqu’au mercredi 07 novembre.


Source: fraternité Matin

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admin30 octobre 2007
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3min2760

Réunie en assemblée générale samedi à Yopougon, l’Union nationale des syndicats de l’enseignement privé laïc (USELCI) a décidé de mener désormais  » une lutte radicale  » pour faire aboutir ses revendications. Cette lutte sera constituée de sit-in, de grèves illimitées et de la mise en place d’une brigade qui traquera tous les imposteurs (enseignants et écoles boutiques). Ces revendications portent sur le phénomène des écoles boutiques et clandestines, les recrutements parallèles et l’envahissement des écoles privées par les enseignants du public, l’application de la convention nouvelle de l’enseignement privé, le réajustement salarial et le paiement des frais de scolarité dus par l’Etat aux établissements privés. Sur le phénomène des écoles boutiques et clandestines, établissements ne respectant aucune des conditions de création, l’Uselci entend arriver à leur fermeture et destruction Le recrutement parallèle sera toujours dénoncé, promet l’Union. Face à l’invasion du privé par les enseignants du public, l’Uselci se propose de les soumettre à la présentation d’une autorisation en bonne et due forme du ministère de l’Education nationale, faute de quoi, ils seront tout simplement récusés. Le président de l’Union, M. Yao Kouadio, leur impute le mauvais traitement salarial dont sont l’objet leurs homologues du privé de la part des patrons d’établissement. La crise de confiance entre ces enseignants et leurs patrons a refait surface à travers une résolution adoptée relativement au paiement des arriérés dus par l’Etat aux écoles privées. L’Uselci souhaite que le Trésor ne paye que sur présentation d’une attestation de non arriérés des salaires de leurs enseignants. Les jours prochains s’annoncent chauds. L’assemblée générale a, en effet, décidé d’assiéger très prochainement le SAPEP (Service autonome de promotion de l’enseignement privé) accusé de  » ne pas faire son travail « , ainsi que le ministère de l’Education nationale et le siège de la FENEPLACI (Fédération des fondateurs d’établissements privés). A cette dernière, ils reprochent d’avoir détourné environ 400 millions, soit 30% de leurs avoirs sur les 14 milliards de l’Union européenne destinés à apurer les arriérés de salaires de leurs enseignants.


Source: Fraternité Matin

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admin30 octobre 2007
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2min1560

Dans une déclaration qu’ils ont produite conjointement, les délégués régionaux et départementaux du café-cacao des régions du Moyen-Comoé, du Zanzan, du Bas-Sassandra, de la Marahoué et des Lagunes, s’offusquent du scandale financier dans la filière qui défraie actuellement la chronique à la suite de la saisine du procureur de la République par le Chef de l’Etat. Pour eux, ce scandale est bel et bien l’affaire de l’achat de l’usine de Fulton (Etats-Unis) dans lequel “les dirigeants du FRC se seraient rendus coupables de malversations”. D’où leur conviction que c’est cette affaire qui a motivé principalement l’action en justice du Président de la République. Ils déplorent que par la faute de quelques-uns, l’opprobre soit jetée sur l’ensemble de la filière. Et plus grave, cette situation inconfortable arrive en ce début de campagne cacao avec les désagréments que cela peut causer au déroulement normal des activités de commercialisation. Les producteurs, dont la déclaration a été transmise par l’un de leurs porte-parole, Bini Kra, réclament la suspension de ceux qui ont piloté l’opération d’achat de l’usine de Fulton ou qui en ont la gestion. A l’ensemble des producteurs de la filière, les délégués régionaux et départementaux demandent de rester unis derrière les dirigeants de structure qui font preuve de lucidité dans la gestion des affaires comme ceux du FDPCC.


Source: Fraternité matin

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admin29 octobre 2007
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1min1830

a jeunesse de Vavoua est attendue ce jeudi dans sa localité. Pour l’investiture du bureau exécutif de l’Association des jeunes du département de Vavoua (AJDV). Bahi Emmanuel, président de cette organisation créée le 10 mai 2003 à Abidjan, ne veut plus rester loin de sa base. C’est pourquoi, il invite les populations de Vavoua à se mobiliser pour cette cérémonie. Etant entendu que son association se veut apolitique et fait de l’union, la solidarité et l’entente son credo. Par ailleurs, les membres de l’Ajdv entendent exhorter leurs parents à s’impliquer dans le processus de développement du département, participer au développement socio-économique de Vavoua et mener des campagnes d’alphabétisation. Cette cérémonie est placée sous le patronage de Séraphin Yué Bi Séhi, président du Conseil général de Vavoua et le parrainage de Léon Nénébi, directeur de l’hôtel Président de Yamoussoukro.


Source: Fraternité Matin

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admin29 octobre 2007
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2min1610

Le président du conseil de gestion (PCG) du FDPCC, Henri Amouzou, n’a pas rendu démission au poste de président de l’ANAPROCI. Selon nos sources, il reste un homme à ménager voire à manager. En effet, celles-ci font état de ce que le PCG du FDPCC saurait beaucoup sur la filière et que ses déclarations pourraient faire boom et grand tort à la refondation et surtout à la Présidence de la République de Côte d’Ivoire. C’est d’ailleurs pourquoi, avons-nous appris, que lorsque le palais a été informé de la démission de Amouzou, il aurait fait faire une réunion de crise à l’Anaproci. D’autant qu’il faut éviter que le PCG du Fonds parte. Pour pouvoir s’autoriser après des déclarations fortement compromettantes pour le pouvoir. D’autant que son statut actuel l’oblige à garder silence sur certaines informations. D’ailleurs comme nous le disait cet homme de la filière  » si Amouzou parle, ce n’est pas bon pour le pouvoir ». De quoi le régime a-t-il peur ? Que des preuves soient révélées quant à la « gestion scandaleuse » de la filière ? Tôt ou tard, des choses se sauront, alors patience !


Source: Le Nouveau Réveil

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admin27 octobre 2007
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3min2160

Après une formation de trois ans aux métiers de la couture, de la cordonnerie et de la peinture, à la Fondation Akwaba, 113 enfants de plus de 15 ans sont entrés dans la vie active. Ils ont reçu le 8 octobre dernier leurs kits d’installation avec l’appui de l’Unicef.
Pour les métiers de la couture, lesdits kits étaient composés de machines à coudre, mètres à ruban, paires de ciseaux, fers à repasser, règles et d’accessoires de couture. Tandis que les enfants ayant appris la cordonnerie ont reçu une grande machine à finition, un rouleau de fils, marteau et une pièce à couper ; ceux qui ont choisi le métier de la peinture ont également eu du matériel afférent à leur formation. Par ailleurs, 224 enfants qui continuent encore leur cursus se sont vus remettre des kits pour la rentrée scolaires 2007-2008.Cela a fait dire à M. Youssou Oomar, le représentant résident de l’Unicef en Côte d’Ivoire que la place des enfants n’est pas dans les casernes et encore moins dans la rue. Mais dans les salles de classes. Il a surtout mis l’accent sur la scolarisation de la jeune fille, qui est pour lui, fondamentale. Car à ses yeux, la jeune fille a les mêmes droits que le petit garçon. C’est pourquoi, il a exhorté les parents d’élèves à scolariser les petites filles afin de leur donner les mêmes chances de réussite que les enfants de sexe masculin. Pour sauver le processus de paix qui est en cours, M. Youssou Oomar a demandé aux uns et aux autres de se donner la main, y compris les enfants, afin que la sortie de crise connaisse un heureux aboutissement. Parce qu’en cas d’échec, prévient-il, il n’aura plus d’avenir. Or, fait –il remarquer, l’avenir appartient aux enfants sur lesquels repose la nation ivoirienne. Auparavant, M. Atta Koffi Adjoumani, responsable de la Fondation Akwaba a dit que sa structure s’est engagée dans un programme de prévention (contre le recrutement), de démobilisation et de réinsertion des enfants associés aux forces et aux groupes armés à Bouaké. Avant de préciser qu’elle a pour rôle de répondre aux besoins des enfants victimes du recrutement au sein des groupes armés et de les rétablir dans leurs droits.


Source: fraternité Matin

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admin27 octobre 2007
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2min1830

La grille de programmes de la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne (RTI) va s’enrichir dès ce samedi d’une nouvelle émission télévisée intitulée «Penser le développement en Afrique». Conçue, réalisée et produite par le Bureau d’études techniques et de développement (BNETD), cette émission est un «Prêt à diffuser» (PAD), déclinée sous la forme d’épisodes de 13 mn chacun, diffusée tous les samedis après le journal télévisé de 13h. Et ce, pendant 12 semaines. Après quoi, l’émission va changer de concept pour devenir un téléfilm. Avant donc cette grande première sur les antennes de la télévision ivoirienne ce samedi, le service communication du BNETD a cru bon d’inviter la presse pour présenter tous les contours de ce nouveau produit. Ainsi, situant les journalistes sur les objectifs visés par sa structure à travers cette production, Mme Marie- Cathérine Koissy, conseiller technique chargé de la communication, a indiqué qu’elle vise entre autres à faire connaître le BNETD et son expertise, sensibiliser les populations africaines aux questions de développement et accompagner la politique d’internationalisation des activités de cette grande structure ivoirienne dans les pays africains.


Source: Fraternité Matin

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admin26 octobre 2007
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1min2180

La Croix-Rouge internationale va certainement procéder à la réduction de ses activités en Côte d’Ivoire. Le chef de la délégation régionale du Comité international, Claude-Alain Zapella, est arrivé à cette décision en raison de la baisse des besoins humanitaires, du fait de la sortie de crise. Il en a fait cas au Premier ministre hier, au cours d’une audience. «Nous poursuivons nos actions, mais en prévoyant une diminution graduelle en cours d’année 2008, si tout continue à bien se passer comme je le souhaite». Se voulant plus précis, il a affirmé : «Les besoins existent certes, mais ils ne concernent pas directement des personnes civiles. Il ne s’agit plus aujourd’hui de déplacés à qui il faut donner de la nourriture, une bâche ou un abri. Les besoins s’inscrivent aujourd’hui sur le long terme ; et cela dépasse les humanitaires», a-t-il affirmé.


Source: Fraternité matin

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