Général - Catégorie d'Articles - Urgences - Parce que la santé est primordiale!

Le golf sera à l’honneur à Yamoussoukro (la capitale politique de la Côte d’Ivoire) à la faveur de la 39ème conférence de l’Union de la presse francophone (UPF), en décembre prochain. Une compétition dénommée tournoi PRO-AM (un professionnel et trois amateurs par équipe) mettra aux prises de nombreux golfeurs le 1er décembre. Par ailleurs, l’attraction sera la présence des journalistes sur le parcours du Président golf de Yamoussoukro pour un exercice d’initiation le 02 décembre. « Par cette cérémonie, nous entendons donner un sens populaire à cette fête. C’est pour montrer que le golf n’est pas un cercle fermé. Il est accessible à tout le monde. Cette initiation permettra aux journalistes de connaître la pratique du golf », indique Bertin Gueriko, président du comité sportif. « Nous demandons une participation massive de tous les golfeurs pour donner un cachet spécial à cette compétition. Toutes les dispositions ont été prises pour une bonne organisation de ce tournoi, parrainé par Jean-Baptiste Akrou, D.G du Groupe Fraternité Matin», rassure Gueriko.

Source: Fraternité Matin

La rencontre Asec – Soa a été une symphonie inachevée. Le match a été interrompu à la 80e mn, pour cause de mauvaise visibilité, alors que les Mimos menaient (2-0). Le commissaire au match, Derou Michel, a donné les explications suivantes à la fin de la partie : “L’arbitre central, Doué Noumandiez Désiré, a été obligé d’interrompre la partie pour cause de mauvaise visibilité. Le stade Champroux n’étant pas éclairé, les joueurs des deux équipes n’arrivaient plus à percevoir le ballon. La décision finale sera prise par les instances habilitées à le faire ». En fait, débutée sous une pluie battante, la rencontre sera une première fois interrompue à la 78e mn. La circulation du ballon étant freinée par les nombreuses flaques d’eau. Après 15 mn de pause, les deux formations, malgré la réticence des joueurs de la SOA, reprennent la partie. Pour seulement 2 mn. Puisque la nuit tombait déjà sur le Champroux.
Entre-temps, les Mimos ont pris une avance sur leurs adversaires grâce à Gohi Bi (54e mn) et Déblé Serges (75e mn).

Source: Fraternité Matin

La Citibank Côte d’Ivoire (une filiale de la structure bancaire Citigroup) vient de faire un geste remarquable à l’endroit des populations de Cocody village. Elle a vacciné à ses frais, samedi, six cents enfants de ce petit village contre la méningite et la fièvre typhoïde. Cette action sollicitée par les villageois, s’inscrit selon M. Jamal Hussein, directeur général de Citibank Côte d’Ivoire, dans le cadre de la journée communautaire initiée depuis deux ans par le groupe pour apporter sa contribution à l’amélioration de la qualité de vie dans les localités où vivent et travaillent ses employés et ses clients. Outre la séance de vaccination, Citibank a offert 20 pots de peinture pour les deux écoles du village, 300 chaises et deux bâches.

Source: Fraternité Matin

 Les secours ont atteint tous les districts du sud du Bangladesh ravagés jeudi dernier par le cyclone Sidr, qui a fait des milliers morts, mais les opérations sont lentes pour les millions de rescapés dont beaucoup risquent de mourir de faim.

L’aide arrivait depuis mardi au compte-gouttes pour les quatre millions de sinistrés du pire cyclone depuis seize ans au Bangladesh auquel la communauté internationale a promis des centaines de millions de dollars.

« Nous avons été partout avec du matériel de secours et nous poursuivons partout nos opérations de secours », a assuré à l’AFP le commandant Emdadul Islam de la salle de contrôle des forces armées, qui recense les victimes de Sidr.

Le nombre de morts, officiellement de 3.447 – plutôt entre 5.000 et 10.000, selon le Croissant-Rouge -, va encore augmenter, a prévenu l’officier.

Reprenant les bilans des autorités, l’ONU a précisé que 2.062 personnes de plus étaient portées disparues, présumées décédées, et que 6.611 autres étaient blessées.

Sidr a aussi provoqué des destructions « inimaginables » a déclaré le chef du gouvernement intérimaire Fakhruddin Ahmed, dans ce pays déshérité d’Asie du Sud, régulièrement frappé par des catastrophes naturelles et aujourd’hui en « crise nationale ».

Plus de 300.000 maisons en bambou ou en paille ont été balayées et 626.000 endommagées par des vents à 240 km/h et des vagues de six mètres de haut.

Pour tenter de juguler une catastrophe humanitaire et amorcer la reconstruction, la communauté internationale a promis près de 400 millions de dollars, dont 100 millions par l’Arabie saoudite et 250 millions par la banque mondiale.

Les Etats-Unis ont dépêché deux navires transportant près de 3.500 militaires et plus de 30 hélicoptères pour aider le Bangladesh, pays musulman laïc de 144 millions d’habitants.

Le gouvernement de transition, au pouvoir depuis janvier sous l’état d’urgence, a mobilisé ses forces armées qui ont envoyé dix navires, 12 hélicoptères et 3.000 troupes au sol.

« Notre toute première préoccupation, c’est de maintenir en vie ces centaines de milliers de gens dans les prochaines semaines », a déclaré le commandant de la marine Bashir Ahmed, chargé des opérations de secours dans le district méridional de Barguna, le plus meurtri par le cyclone.

« Ces gens ont impérativement besoin de vivres, d’eau potable et de vêtements. Si nous échouons, ce sera une catastrophe », a-t-il prévenu.

Dans le Sud côtier dévasté, les routes ont été dégagées des milliers d’arbres arrachés qui les bloquaient, permettant aux secouristes et militaires de distribuer des vivres, de l’eau et des médicaments à des populations jusque là coupées du monde.

Mais « nous avons demandé à chaque fonctionnaire, travailleur humanitaire, journaliste de nous prévenir si jamais certaines zones n’avaient pas encore reçu d’aide », a indiqué le commandant Islam.

Car ces derniers jours, beaucoup se plaignent de n’avoir aperçu aucun sauveteur, disant n’avoir rien à boire, encore moins à manger.

Mais « personne ne devrait mourir de faim puisque le gouvernement a assez de stocks de vivres », a assuré le chef de l’armée, le général Moeen U Ahmed.

La moitié des rescapés sont des enfants, dont 400.000 ont moins de cinq ans et sont particulièrement exposés aux infections, a averti le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef).

Certes « les gens ici sont résistants », ayant déjà subi le cyclone de 1970 (un demi-million de morts) et le raz-de-marée de 1991 (138.000 morts), a souligné Heather Blackwell, de l’organisation britannique Oxfam, mais « il leur faudra des mois avant de retrouver une vie normale ».

L’activité de la pêche a particulièrement souffert et Dacca redoute de graves conséquences économiques dans ce pays rural dont 40% de la population vit avec moins d’un dollar par jour, ce qui en fait l’un des plus pauvres au monde.

Source: yahoo.news

mpact des changements climatiques sur la santé humaine et adaptation dans le secteur de l’élimination des déchets en Côte d’Ivoire : cas du captage du méthane à la décharge publique d’Akouédo». Tel est le thème de la conférence publique animée, samedi dernier, à la Bourse du travail à Treichville par Guéï Emile, directeur général du Groupe Ehoulée. La conférence organisée par le Syndicat des agents de gestion de l’environnement du Groupe Ehoulée (Sage) s’inscrit dans le cadre de la Quinzaine de l’environnement organisée par le ministère de l’Environnement, des Eaux et Forêts. Au dire du conférencier, les déchets déversés à la décharge d’Akouédo contiennent 71% de méthane. C’est fort de ce constat qu’il a affirmé que celle-ci contribue au réchauffement climatique. Pour lui, il importe de la réhabiliter afin de diminuer les émissions de gaz à effet de serre. Le Sage a procédé, par la suite, au baptême de la décharge. Qui porte désormais le nom de «Complexe environnemental et industriel Laurent Gbagbo d’Akouédo.

Source: Fraternité Matin

Lors des travaux de clôture de l’atelier sur la validation du projet de loi cadre portant «code de l’hygiène publique», qui a eu lieu du 11 au 14 novembre à l’IIAO de Grand-Bassam, il a été question d’une police d’hygiène. Elle sera constituée de personnes ou de groupements de personnes qui, selon Dr Kamelan Omer Pokou, Directeur de la réglementation de l’hygiène publique, sont spécialistes dans des domaines bien précis de l’hygiène, de l’environnement ou de la santé publique, qui vont constater les infractions et les dénoncer aux responsables de cette police. Quelques-unes des infractions citées sont : le fait d’uriner ou de déféquer sur la place publique, de déverser les ordures dans les endroits non indiqués ou de ne pas maintenir un lieu de restauration propre. «Il existe des dispositions dans le code de l’hygiène qui prescrivent la salubrité et l’hygiène dans les restaurants recevant le public». Des peines sont prévues pour les contrevenants. Elles ont été identifiées sur la base du code de procédure pénale qui prévoit des sanctions : les montants à payer et la durée de certains emprisonnements. Une personne surprise en train de déféquer ou d’uriner peut payer entre 1000 et 10.000Fcfa d’amende. Par contre, déverser des déchets potentiellement dangereux entraîne des peines qui vont jusqu’à 5 milliards de Fcfa d’amende. A ce propos, Dr Bitty Marie Josèphe a indiqué qu’il est nécessaire d’avoir un cadre réglementaire à toute action visant à un changement de comportement de la population. Ce code qui a été validé mercredi sera le fondement des actions à mener.

source: Fraternité matin

Décidément, le marché ivoirien aura intéressé les banques pendant ces années de crise. Il est de plus en plus question de l’arrivée d’un autre établissement bancaire en Côte d’Ivoire. Il s’agit, selon les informations qui circulent dans les milieux financiers, de la «United bank for Africa (UBA)» dont le siège est à Lagos. Elle aurait déjà obtenu l’agrément et serait aux dernières formalités pour ouvrir ses guichets à Abidjan dans quelques semaines. La banque arrive auréolée du prix «Emerging global bank award», distinction remportée le 18 octobre dernier par le groupe UBA-Plc. Ce prix attribué par le groupe de presse panafricain IC basé à Londres, récompense chaque année la meilleure banque internationale qui aura eu une influence significative sur le développement du continent africain. «Emerging global bank award» vient s’ajouter à d’autres distinctions au nombre desquelles celle de première banque de l’Afri-que de l’ouest, selon le classement 2007 de Jeune Afrique, et la désignation du directeur général, Tony Elumelu comme dirigeant de l’année. Faut-il le noter, la banque est présente au Nigeria, au Ghana, aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne.

Source: Fraternité Matin

Avant-dernière bataille des Eléphants Espoir ce dimanche au stade Félix Houphouët-Boigny dans leur marche vers les phases finales des Jeux Olympiques 2008. Ils seront opposés aux Chipolopolo de la Zambie. Une rencontre décisive pour les poulains de Gérard Gili à qui une victoire ouvrirait les portes de Pékin 2008 avant leur dernier match à Dakar contre le Sénégal. Pour ce faire, le sélectionneur des Eléphants Espoir a opté pour la carte de la prudence en reconduisant d’abord le même groupe conduit par Yao Kouassi Gervais alias Gervinho.  » Bien que nous jouions devant notre public, il faut être prudent. Il ne faut pas être euphorique pour ce match capital « . Mieux, Gérard Gili a appelé en renfort Kalou Salomon (Kalunho), le coéquipier de Didier Drogba à Chelsea pour donner plus d’étoffe offensive à son attaque. Un duo Gervinho-Kalunho pourrait être l’arme fatale du coach ivoirien face à ces Zambiens qui ne sont pas venus à Abidjan en victime résignée. L’adversaire des Eléphants garde encore intactes ses chances de qualification en venant à Abidjan. Classés 2è avec 7points, les olympiens Zambiens profiteront d’un éventuel faux pas de Gervinho et ses coéquipiers pour mieux se positionner en attendant les ultimes rencontres de la poule. Dans cette situation, les cadets de Didier Drogba ont besoin du soutien du public.  » Les joueurs ont besoin du soutien de tous  » lance l’entraîneur Gérard Gili à 24 heures de ce match décisif. L’on a encore en mémoire le match Côte- d’Ivoire- Cameroun du 04 septembre 2005 où l’espoir d’une victoire des Eléphants sur les Lions camerounais à Abidjan s’était transformé en cauchemar. Souhaitons tout simplement que les Eléphants Espoir ne connaissent pas le même sort.

Source: le nouveau réveil

Profitant de la séance d’échanges avec les diplomates accrédités en Côte d’Ivoire, mercredi au Palais présidentiel, le Premier ministre Guillaume Soro, a interpellé le ministre de l’Economie et des Finances, Diby Koffi Charles, sur l’état de la manne pétrolière face aux allégations faisant cas d’une production journalière de plus de 80 000 barils/jour. Diby Koffi Charles, tout en déclarant que la «production n’est qu’à 48 000 barils/jour», n’a pas omis de confier que sous la houlette du Comité national de transparence, 3 audits ont été commandités, notamment un à la Société ivoirienne de raffinage (SIR) et deux autres dans le secteur pétrolier» ; l’exploitation s’entend. Mieux, il déclare que deux correspondances ont été adressées dans ce sens à la Banque mondiale, afin que «la lumière soit faite sur ce secteur, car nous sommes dans le processus de la transparence». Au-delà, l’argentier de l’Etat, prenant à témoin le Directeur Afrique du Fonds monétaire international (FMI), souligne que c’est cette volonté affichée de transparence qui a valu à la Côte d’Ivoire de bénéficier d’une aide post-conflit. En outre, il explique que «la manne pétrolière ne contribue que pour 125 milliards FCFA sur 1922 milliards FCFA, au budget 2007». Aussi, confie-t-il, dans les contrats de partage avec les opérateurs qui oscille entre 10 et 15%, la part de l’Etat est convertie en fiscalité, en plus des investissements sociaux et communautaires requis aux exploitants pétroliers. Invitant à dissocier les flux physiques des flux financiers. A cet égard, il espère un relèvement de la production à 50 000 barils/jour avec le désensablement du champ Baobab.

Source:fraternité matin

A l’initiative du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique se tiendra lundi, mardi et mercredi prochains au Palais de la culture à Treichville, une semaine de promotion de la recherche ivoirienne (SEPRI). Plate-forme de diffusion, de promotion et de réflexion sur la recherche ivoirienne dans toute sa diversité, elle a pour objectif de valoriser les résultats de cette recherche en vue de soutenir le développement de Côte d’Ivoire post-crise. Cette semaine réunira tous les acteurs du secteur (centres et instituts de recherche, partenaires au développement, inventeurs, élèves et étudiants, secteur privé, etc). La conférence introductive, lundi, a pour thème : «Mécanismes de promotion et de valorisation des résultats de la recherche».
E. K
Coup d’œil
Assemblée. «Quel agent de collectivité territoriale pour la reconstruction nationale». Tel est le thème de la deuxième assemblée générale de l’Union des agents des districts et départements de Côte d’Ivoire (UADDCI), organisée le samedi dernier au Conseil économique et social au Plateau.

Source: Fraternité Matin