Général - Catégorie d'Articles - Urgences - Parce que la santé est primordiale!

Le Premier ministre a reçu, hier, Petroci et ses partenaires américains. La pause de la première pierre de la 2e raffinerie de Côte d’Ivoire se fera dans le courant du mois de novembre. Le directeur général de Petroci, Kassoum Fatiga, en compagnie de représentants des partenaires américains, l’a annoncé hier au Premier ministre Soro Guillaume. La date exacte de l’événement sera fixée selon le programme du Chef de l’Etat et du Premier ministre. La raffinerie dont les études situent l’investissement à environ 700 milliards de francs CFA (1,4 milliard de dollars), sera réalisée sur la bande située de l’autre côté du canal de Vridi.
Ainsi donc San Pedro n’accueillera plus la raffinerie comme souhaité par le Chef de l’Etat. Le directeur général de Petroci a fait savoir aux journalistes à sa sortie d’audience que pour des raisons techniques, le site d’Abidjan était plus approprié.
Pour l’instant, le projet est porté par Petroci et deux partenaires américains. Cette confiance des opérateurs économiques américains est pour M. Kassoum Fatiga, un signe important que la Côte d’Ivoire sort de la guerre. Il en est d’autant plus conforté dans cette vision qu’il sait que les Etats-Unis n’hésitent pas à interdire à leurs investisseurs d’aller dans les pays qu’ils jugent peu sûrs.
Avant Petroci et ses partenaires, le Premier ministre a reçu dans l’après-midi d’hier, la Chambre de commerce belge en Côte d’Ivoire, conduite par son président, Maximilien Lemaire. A sa sortie d’audience, celui-ci a expliqué que les membres de son organisation étaient venus solliciter l’appui du Premier ministre dans leur volonté de continuer à participer à la croissance en Côte d’Ivoire. Pour étayer cette ligne de conduite, M. Lemaire a fait savoir que l’institution consulaire qui est composée de 70 membres, n’a jamais arrêté ses activités en Côte d’Ivoire, malgré la crise.

Source: Fraternité Matin

Des nouveaux capteurs pourraient permettre de localiser les fissures dans les structures aéronautiques. Des chercheurs de l’institut pour la stabilité industrielle et la fiabilité du système (LBF), ont développé de nouveaux capteurs piézo-électriques pour équiper la surface du fuselage des avions. L’interprétation des signaux électriques permettrait de prédire la localisation d’une prochaine fissure.

Les capteurs transforment la pression mécanique en tension électrique et inversement. Cette alternance se traduit par un freinage des oscillations là où se trouvent les microfissures. Grâce à cette technique, il sera possible de connaître l’endroit exact de la fissure lorsque celle-ci se trouve dans la zone de détection de deux capteurs. Cette technique permet un contrôle permanent du matériau sollicité : contrôle qui permettra la connaissance des zones à risque et la réparation des zones endommagées.

Par la suite, cette technologie devrait aussi couvrir les domaines de l’automobile pour les éléments de carrosserie, pneumatiques ou systèmes de freinage.

Source: techno-science.net

Mobiliser la société civile dans toutes ses composantes avec en tête les gouvernants afin d’éradiquer les violences faites aux enfants. Tel est l’objectif de la journée du 19 octobre célébrée chaque année dans le monde entier, par l’Ong suédoise «Save the Children». Le centre social de Port-Bouët 1 a été choisi cette année pour abriter cette célébration par la section Côte d’Ivoire de ladite Ong. A travers des sketches, des dessins, les enfants ont dénoncé les exactions que leur font subir les adultes. Mlle Laure-Diane Assoh, 15 ans, membre du bureau communal des enfants de Koumassi, a souhaité que ce genre de manifestations soient organisées régulièrement afin d’éveiller les consciences sur la protection des droits de l’enfant. «Travaux difficiles, violences sexuelles, trafic des enfants… tout cela doit cesser», a-t-elle plaidé. Heather Kerr, directrice de Save the Children, a invité le gouvernement à la mise en place d’un système national efficace de protection des droits de l’enfant.
Cette manifestation a vu la participation de nombreux enfants appartenant aux différentes associations de défense des droits de l’enfant en Côte d’ Ivoire.

Source: Fraternité Matin

Le Dr Hathry Jean, responsable de la société Ergonci, a remis hier à Mme Simone Ehivet Gbagbo, à sa résidence à Cocody, des consommables et du petit matériel médical d’une valeur de 32 millions de FCFA pour les populations démunies et défavorisées de la commune d’Abobo. Ce don est composé entre autres, d’aiguilles hypodermiques, de clamps pour cordon ombilical stériles, de bistouris, de seringues. Après avoir remis à son tour de manière symbolique ce matériel aux Dr Soukoury Narcisse , et Koutouan Jean- Claude de l’hôpital général d’Abobo, Mme Gbagbo a remercié le donateur. Parce que les médecins ont toujours besoin de consommables. Aux dons de la société Ergonci, Mme Gbagbo a ajouté deux lits pour grabataires, deux fauteuils roulants, deux tables pour examens gynécologiques et des mégascopes.

Source: Fraternité Matin Lire la suite

Le chef de l’Etat ivoirien Laurent Gbagbo s’est enfin décidé à publier les chiffres relatifs à la production du café-cacao et du pétrole, suite à la pression de la communauté internationale par le biais de ses institutions financières.

C’est désormais connu de tous, la Côte d’Ivoire des refondateurs produit 50 milles barils de pétrole par jour. L’information est sortie de la bouche du chef de l’Etat ivoirien Laurent Gbagbo, lors de l’interview qu’il a accordée à la télévision nationale. Mais la question qui demeure est de savoir les raisons qui ont milité en faveur de cet aveu aujourd’hui. En effet, ce n’est pas depuis l’année 2007 que la Côte d’Ivoire produit du pétrole. Idem pour le café-cacao qui a fait la fierté de l’économie ivoirienne depuis la tendre et belle histoire de ce pays. Pour nombre d’observateurs, cette volonté du chef de l’Etat est la conséquence des pressions faites par les institutions financières de la communauté internationale. En effet, dans plusieurs déclarations et communiqués, ces institutions financières ont décrié la gestion opaque des refondateurs dans les différents secteurs de l’économie ivoirienne. La banque mondiale suite à l’audit réalisé par l’Ong global Witness sur la filière café-cacao, a demandé à l’Etat ivoirien d’être plus transparent dans la gestion de ce secteur. Mais les autorités ivoiriennes ayant refusé de s’exécuter, les institutions de Breton Woods ont décidé de fermer les vannes et les ‘’robinets’’. En clair, les blancs ne veulent plus faire crédit au régime de Laurent Gbagbo, qui a besoin de beaucoup d’argent pour gérer le pays et organiser les élections. Le dos au mur, le woody de Mama essaie de faire pâte blanche et se décide enfin de publier les chiffres. Encore faudrait-il qu’ils soient conformes à la réalité. Car avec ces refondateurs qui ont plus d’un tour dans la besace, il faut s’attendre à tout.

Source: Le Rebond

Un jeune physicien de l’université technologique de Vienne, Dieter Süss, a montré comment on pouvait tripler le volume d’information mémorisé sur un disque dur en réduisant par cinq l’espace nécessaire à l’inscription des données. Le constructeur américain de disques durs Komag exploitera la licence de cette nouvelle technologie pour essayer de fabriquer des disques avec une densité d’information de 1 terabit sur un pouce (2,54 cm) au carré.

On constate que la capacité des disques durs double tous les vingt mois ; cependant cette loi empirique rencontre des réalités matérielles qui pourraient la mettre en défaut, telle que la limite superparamagnétique: un disque dur est composé de plateaux empilés recouverts d’un film magnétique sur lequel est codée l’information binaire, le 1 correspondant à une orientation du champ magnétique et le 0 à l’orientation opposée. Or, lorsque l’espace réservé au codage d’un bit d’information, fait de grains magnétiques (1), est trop réduit, les fluctuations thermiques de l’aimantation dégradent la stabilité de l’information. Autrement dit, la miniaturisation ou la densification est d’une problématique plus complexe qu’une simple réduction d’échelle.

Pour contourner cette contrainte superparamagnétique, Dieter Süss a adapté certains matériaux connus pour former des grains magnétiques petits mais cette fois-ci trop stables, ce qui empêche l’enregistrement. Le défi a été relevé en composant un film magnétique fait de plusieurs couches de moins en moins stables à mesure qu’elles sont ajoutées. La première couche, en platine ferrique, et les suivantes, par exemple en cobalt ou en chrome, ne se déstabilisent pas mutuellement et ne s’influencent pas thermiquement. Au final, l’expérience montre que la stabilité globale d’un tel film avoisine celle de la première couche tout en permettant l’écriture sans avoir besoin de chauffer au laser la zone d’écriture (ce qui est très coûteux) !

Source: techno-sciences.net

Ils voudraient prendre les Ivoiriens pour des demeurés qu’ils ne s’y prendraient pas autrement. Hier, Laurent Gbagbo et ses amis, les gérants de la filière café-cacao, se sont rencontrés durant deux (2) heures, à huis clos au palais présidentiel. Et à la fin de leur conclave, ils n’ont rien trouvé d’autre chose à dire à la presse que de balancer des bouts de phrases laconiques comme on balance des grains de maïs à des poulets pour les distraire.
Comment en effet, dans le contexte actuel, le chef de l’Etat peut-il accorder une audience de deux (2) heures à tous les responsables de la filière sans parler, sans même évoquer les scandales financiers dans lesquels sont cités ces dirigeants ? Les magasins généraux, ce sujet est-il si important pour que le chef de l’Etat décide de convoquer en même temps devant lui MM Tapé Do (PCA de la BCC), Tanoh Kassi (DG de la BCC), Angeline Kili (PCA du FRC), Kouakou Firmin (DG de FRC), Didier (ARCC), Jean Claude Bayou (FGCC), Henri Amouzou (FDPCC), Placide Zoungrana (ARCC) pour débattre de problèmes techniques exclusivement. Pour qui connaît notre chef d’Etat, sait que Laurent Gbagbo n’a pas l’habitude de ce genre de discussion. C’est à la limite ennuyeux pour lui. Il préfère donner des orientations en terme de politique générale. Les magasins généraux concernent la commercialisation interne du cacao, un sujet qui aurait pu être épluché par les conseillers techniques du chef de l’Etat avec les responsables de la filière. Et rédiger un rapport à l’attention du Président de la République. Fait important à signaler, hier à la sortie de l’audience, c’est Gbagbo lui-même qui a balancé le premier son aux journalistes, « On a parlé des magasins généraux et pas d’autres choses ». Curieux, cet empressement. Et le porte-parole des dirigeants de la filière ne s’écartera pas de cette ligne en dépit de l’insistance des journalistes. Ils n’ont pas parlé des 100 milliards détournés au FRC, pas même de l’enquête ouverte par le procureur de la République Tchimou sur saisine du chef de l’Etat.
De toute évidence, avant de mettre un terme à leur rencontre, Gbagbo et ses hôtes se sont bien entendus sur ce qu’ils allaient dire à la presse. Ils ont décidé de nous mener en bateau, mais nous ne sommes pas partants, messieurs !

source: Le Nouveau Réveil

Président de la République reçoit cet après-midi à 17 heures, les présidents des Conseils d’administration et les directeurs généraux des structures de la filière café-cacao au palais présidentiel, au plateau.

Source: Fraternité Matin

Le CHU de Treichville entrera très bientôt dans l’ère des nouvelles technologies en ce qui concerne la formation continue des cadres des ministères de la Santé ». Ces propos résolument optimistes sont de M. Essombo Joseph, directeur de Elizabeth Glazer pediatric AIDS fondation (EGPAF). A la faveur du lancement d’une ligne verte pour professionnels de la santé, lundi dernier au Service des maladies infectieuses et tropicales du CHU de Treichville, il s’est montré volontiers enthousiaste quant aux retombées de cet outil et à la dimension qu’il confèrera à l’établissement lui-même. « Si nous en démontrons l’utilité, nous pouvons envisager la transformation de cette ligne pour rendre possible les video-conférences d’enseignement à distance et de partage d’expérience entre praticiens », fera-t-il noter.
Mise en oeuvre avec l’appui technique de l’Université de Californie San Francisco et le soutien financier de la fondation EGPAF, cette ligne (800 11 000), de l’avis des praticiens, est un instrument de formation continue pour les professionnels de la santé qui peuvent y référer pour des informations ou des conseils pour une meilleure prise en charge de leurs patients vivant avec le VIH/sida. « Ils ne seront plus excusables, les confrères qui n’assureront pas une prise en charge efficace des malades », diagnostique déjà le directeur général du CHU de Treichville, Pr Ezani Kodjo. Piloté par des médecins spécialistes exerçant dans l’établissement, ce dispositif d’appel téléphonique gratuit a pour vocation de relier les experts aux praticiens sur toute l’étendue du territoire national et les aider à gérer les cas difficiles et, partant, réduire le nombre d’évacuations vers les centres de référence.
Le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Dr Allah Kouadio Rémi, président de la cérémonie, qui voit en ce Centre d’information un « exemple concret des idées novatrices nécessaires pour aller de l’avant », s’est particulièrement félicité de ce que cet instrument va « redynamiser les liens de confraternité entre praticiens et améliorer l’efficacité des uns et des autres ».

Source: ratrnité matin

Groupe B : Nigéria, Côte d’Ivoire, Mali, Bénin
Les Seize (16) pays qualifiés pour les phases finales de la CAN 2008 prévue du 20 janvier au 10 février au Ghana connaissent depuis hier leur sort. Les Eléphants de Côte d’Ivoire évolueront dans la poule B en compagnie du Nigeria, du Mali et du Bénin. Les Eléphants, pour leurs matches de poule, seront à Sékondi, la 3e ville ghanéenne qui abritera ce rendez-vous du football africain, une ville située seulement à 143 km de la Côte d’Ivoire. Ce groupe B a la particularité de regrouper quatre pays de l’Afrique de l’Ouest qui se connaissent bien. Didier Drogba et ses coéquipiers affronteront les Super Eagles du Nigéria pour leur premier match de poule. Une équipe qu’ils connaissent bien pour l’avoir éliminée en ¼ de finale lors de la CAN 2006 en Egypte. Pour beaucoup d’observateurs sportifs, si les deux équipes (la Côte d’Ivoire et le Nigeria) partent favorites de leur groupe, il faudrait surtout se méfier des Aigles du Mali, de Frédéric Kanouté et du Bénin de Sessegnon dont la présence à ce stade la compétition est la confirmation de leur classe naissante. Groupe A : Ghana, Guinée, Maroc, Namibie. Hormis la Namibie, considérée comme le novice du groupe, le Ghana, la Guinée et le Maroc, sont des valeurs sensiblement égales. Avec un léger avantage pour les Black Stars du Ghana, pays organisateur de cette 44e édition. Avec le soutien du peuple ghanéen, Michel Essien et les siens ne devront donc à priori pas avoir du mal à s’offrir une place pour le second tour. Cependant, attention à la pression. Groupe C : l’Egypte, le Soudan, la Zambie, le Cameroun
Une poule composée d’un trio de titans. L’Egypte, détentrice du trophée, le Cameroun, triple champion et la Zambie. Ajoutés à une surprenante formation du Soudan qui ne viendra sûrement pas en victime résignée. Autrement dit, les places seront chères.
Groupe D : Tunisie, Angola, Afrique du Sud, Sénégal
Le groupe de la « Mort » pour beaucoup. Car c’est une affaire de mondialistes. Gare donc au faux pas. Tous les matches pourront être disputés comme de véritables finales avant la lettre.

Souce e Nouveu Réveil