Guide santé Archives - Page 47 sur 51 - Urgences - Parce que la santé est primordiale!

admin20 septembre 2007
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Depuis lundi dernier, l’unité mobile ophtalmologique (Umo) du Lions club Abidjan Akwaba est dans la commune de Yopougon. A l’occasion du lancement officiel de cette étape, à la mairie de ladite cité, le trésorier de ce club-service, Kodjo Gnamkey Olivier s’est réjoui du grand intérêt que la population accorde aux consultations ophtalmologiques gratuites. Selon lui, cette caravane a permis de savoir que nombre de populations vivant dans ce pays n’ont jamais rencontré un ophtalmologue professionnel.



Pour les cinq jours que le car, Umo passera dans la plus grande commune de Côte d’Ivoire, le trésorier exhorte les populations à venir nombreuses se faire dépister. Quant au président du Lions club Abidjan Akwaba, Doumbia Balla, il a réaffirmé la volonté de son club à atteindre son objectif en réussissant cette campagne.
Soulignons que le Lions club Akwaba a bénéficié d’un financement de 25 millions de F Cfa de la fondation Orange Côte d’Ivoire télécom (Ocit) pour une campagne de dépistage gratuit des maux d’yeux dans la ville d’Abidjan. Débutée le 30 juillet à Koumassi, cette campagne est actuellement à Yopougon après les communes de Port-Bouët, Marcory, Treichville et Plateau. Le car-Umo sera du 24 au 28 septembre à Attécoubé.


Source: Fraternité Matin

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admin19 septembre 2007
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Donner aux journalistes le pouvoir de la connaissance, aider les communicateurs de santé et les journalistes à se connaître et aider ces derniers à développer un réseau de relations.
Ce sont les trois buts assignés à l’atelier régional de formation qu’abrite, depuis hier, Nairobi, la capitale kenyane.
Une trentaine de journalistes en provenance d’une dizaine de pays d’Afrique de l’Ouest et du Centre ont été conviés à cet atelier organisé par l’OMS. Le thème central des travaux porte sur «l’implication des hommes de médias dans la gestion et la prévention des flambées épidémiologiques sur le continent ».
Des spécialistes venus du siège de l’Organisation mondiale de la santé animent les débats. Ceux-ci ont porté, hier, sur les meilleures pratiques de l’OMS en la matière, la menace grandissante des maladies infectieuses. Débats assortis d’études de cas qui ont remis en cause des idées parfois déjà faites.
Ces travaux seront couplés à partir d’aujourd’hui avec le démarrage d’une autre session de formation à l’intention des représentants des ministères de la Santé. Des questions laissées en suspens relativement à la synergie que doivent développer les deux entités seront abordées à cette occasion.


Source: Fraternité Matin

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admin18 septembre 2007
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6min3590

La mortalité d’origine cardio-vasculaire est en forte baisse depuis vingt-cinq ans dans notre pays, alors que celle liée au cancer évolue moins vite.


L’ANALYSE des causes de décès est fondamentale afin de hiérarchiser les objectifs politiques en santé publique. La publication aujourd’hui dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire des « Causes médicales de décès en France en 2004 et leur évolution depuis 1980 » sous l’égide des experts de l’Inserm (CépicDc) apporte une moisson d’informations pour les médecins et les décideurs. Ainsi, la mortalité d’origine cardio-vasculaire a baissé de 50 % en vingt-cinq ans, tandis que celle liée au cancer n’a que peu diminué. Ce qui explique pourquoi le cancer, jusqu’alors deuxième cause de décès, s’est hissé maintenant à la première place.


 En 2004, 509 804 décès ont été recensés en France métropolitaine, toutes causes confondues. Il y a 750 décès pour 100 000 habitants, mais 1 012 pour les hommes et 565/100 000 pour les femmes, soit une surmortalité multipliée par 1,8 du sexe fort par rapport au faible. De manière globale, le cancer (30 % des décès) arrive en tête, avec, dans l’ordre, celui du poumon, puis du côlon et les leucémies, suivi de près par les maladies cardio-vasculaires (29 %), infarctus et accident vasculaire cérébral, viennent ensuite loin derrière les accidents (5 %), le suicide (2 %), le diabète (2 %) et la maladie d’Alzheimer (2 %). Notons qu’il y a eu 10 % de décès en moins en 2004 qu’en 2000. Nous vivons donc plus vieux : l’espérance de vie est actuellement de 84 ans pour les femmes et 77 pour les hommes.


 Politiques de prévention


 Puisqu’il faut bien mourir un jour, l’homme n’étant pas immortel, les épidémiologistes se sont plus particulièrement penchés sur la mortalité prématurée, avant 65 ans, la moins admissible et la plus souvent évitable. Pour l’année 2004, 4 420 enfants de moins de quinze ans sont décédés. Si un décès sur deux s’explique par les anomalies congénitales et les affections périnatales qui surviennent avant l’âge d’un an, il faut noter la part non négligeable des accidents (462 décès évitables) et celles des tumeurs (331 décès). Pour les 3 824 décès entre 15-24 ans, on compte 1 382 accidents, 621 suicides et 337 cancers. Chez les 25-44 ans, le suicide constitue la première cause de décès chez l’homme (voir encadré) alors que les tumeurs prédominent chez la femme.


 Entre 45 et 65 ans, le cancer est la cause de mort la plus fréquente dans les deux sexes, mais pour l’homme il s’agit le plus souvent d’une atteinte du poumon, le tabac étant en cause dans plus de 80 % des cas et pour la femme d’une atteinte du sein. À partir de 65 ans, les premières causes de décès sont cardio-vasculaires, talonnées de près par les cancers.


 Si l’on considère l’évolution entre 2000 et 2004, on peut noter que pour l’homme, les six premières causes de mortalité sont identiques, mais que la plupart des taux ont diminué. Les accidents de transports ont subi la plus forte baisse (moins 31 %). Les taux de suicide et de diabète restent stables, tandis que le nombre de décès liés à la maladie d’Alzheimer augmente de 37 %. Pour les femmes, on relève une très forte augmentation des décès par cancer du poumon (plus 21 %) et par maladie d’Alzheimer (plus 34 %). « En vingt-cinq ans, les taux de décès toutes causes confondues ont diminué de 35 % en France, avec une baisse un peu plus marquée chez les femmes, expliquent les auteurs. Les morts violentes (accidents, homicides…) diminuent régulièrement dans le temps, avec des taux divisés par deux depuis 1980. »


 À l’issue de ce travail, les auteurs mettent en exergue deux phénomènes majeurs qui nécessiteront sans doute une orientation des politiques de prévention. D’une part, la très forte surmortalité masculine, liée à des comportements à risques (responsables à la fois des cancers alcoolo-tabagiques, des accidents de transports, des suicides…) et la progression des cancers du poumon chez la femme. L’augmentation très marquée de ce cancer reflète la progression du tabagisme féminin au cours des trente dernières années.


Source: Le Figaro
 



 

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admin17 septembre 2007
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3min2840

Diminuer les quantités de sel pourrait se faire sans frustration.


Vous êtes un accro de la salière et vous redoutez de trouver vos repas insipides en réduisant la quantité de sel dans votre assiette ? Pourtant c’est possible, et si l’on en croit les résultats d’une étude américaine, le passage à un régime moins riche en sel se fait même sans difficulté.


Le Dr Eva Obarzanek, chercheur à l’Institut de recherche national sur le cœur, le sang et les poumons (Bethesda, Maryland), dirige l’étude DASH (Dietary Appoaches to Stop Hypertension) lancée il y a quelques années pour savoir si un régime alimentaire est aussi efficace que des médicaments pour faire baisser la tension.


Les chercheurs avaient recruté 412 adultes à risque d’hypertension qu’ils avaient répartis en 2 groupes, l’un consommant un régime alimentaire normal, l’autre assigné au régime « DASH », particulièrement riche en fruits et légumes. Les participants de ces deux groupes ont été séparés en trois catégories : un groupe a consommé chaque jour 3,5 g de sel, un autre 2,3 g et le dernier 1,2 g. Le résultat avait alors été à la hauteur des espérances des chercheurs : plus les apports en sel étaient bas, plus la tension diminuait.


Les auteurs se sont alors posé la question suivante : les cobayes ont-ils eu du mal à diminuer leur consommation de sel ? Pour le savoir ils ont demandé à chacun des participants d’évaluer la contrainte que cela représentait. Verdict : moins de sel, c’est facile. « Les gens arrivent avec l’a priori qu’un régime pauvre en sel sera insipide, explique Eva Obarzanek, pourtant les patients des groupes à faible apport en sel ont jugé leur diète tout à fait acceptable. »
« Le goût pour les repas salés découle d’une habitude, ajoute l’auteur. On peut très bien se déshabituer et « désapprendre » à aimer le sel ». A apport en sel égal, les auteurs précisent que ce sont les volontaires soumis au régime DASH riche en fruits et légumes qui ont eu le plus de facilité à diminuer leurs apports en sel. Si vous souhaiter limiter le recours à la salière pour prendre soin de votre tension, profitez-en pour augmenter votre ration de fruits et légumes !


Source: Le Journal de santé

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admin15 septembre 2007
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Le réchauffement climatique implique de repenser la conception des bâtiments et des villes pour répondre à la multiplication des canicules, et de développer la recherche et la veille sur les maladies infectieuses qui risquent de gagner la France. Telle est la conclusion du rapport annuel de l’Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique (ONERC), consacré aux « changements climatiques et risques sanitaires en France ». Paul Vergès, président de l’ONERC et du conseil régional de la Réunion, l’a remis, jeudi 13 septembre, à Jean-Louis Borloo, ministre de l’écologie, du développement et de l’aménagement durables.



 
La canicule de 2003 – et ses 15 000 morts en France – montre que les problèmes sanitaires liés au réchauffement climatique peuvent provoquer de gros dégâts humains s’il n’y a pas une bonne gestion préventive des risques, estime le rapport. « Toute une réflexion est encore à faire sur l’adaptation aux fortes chaleurs, notamment dans la conception des bâtiments et des villes », indique-t-il.


L’ONERC rappelle qu’il est à craindre que de tels épisodes ne deviennent de plus en plus nombreux, car la montée des températures et la modification de la pluviométrie favorisent l’apparition ou l’expansion dans les pays tempérés de certains insectes ou autres invertébrés transportant des maladies présentes jusqu’à maintenant sous d’autres latitudes.



CONNAÎTRE LES INTERACTIONS



Le virus du Nil occidental représente ainsi un risque d’émergence très élevé en Europe, d’autant qu’il a déjà été repéré sur le littoral méditerranéen. La dengue a envahi le nord de l’Italie et est déjà implantée dans la région de Menton (Alpes-Maritimes). Le vecteur du chikungunya, présent dans la plaine du Pô, en Italie, a aussi été repéré dans le Var. Le paludisme, en pleine expansion planétaire, ne devrait pas, selon le rapport, représenter un risque pour la France, car son incidence est étroitement surveillée.


A cela s’ajoutent les risques représentés par les migrations d’oiseaux, qui véhiculent de nombreuses pathologies, dont la grippe aviaire. La fièvre catarrhale ovine, la fièvre de la vallée du Rift, la peste équine, la leishmaniose viscérale et la leptospirose pourraient également s’étendre avec la montée des températures.


Les plantes peuvent aussi être nuisibles à la santé, puisque plus de dix millions de Français sont affectés par des allergies au pollen, un phénomène qui devrait s’amplifier avec des hivers doux favorisant une pollinisation précoce.


Pour faire face à ces menaces et mieux connaître les interactions entre l’homme et son écosystème, l’ONERC recommande de développer la recherche en entomologie, écologie, épidémiologie, biodiversité, socio-économie et sciences de la communication. L’organisme public estime également nécessaire d’assurer une bonne surveillance épidémiologique et de développer des réseaux de collecte de données.


Créée en 2001, l’ONERC est rattaché au ministère de l’écologie. Sa mission est de collecter des informations sur le réchauffement climatique et de formuler des recommandations.


source: Le Monde.fr

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admin14 septembre 2007
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L’air pollué diminue la synthèse d’une protéine anti-caillot


On savait que pollution atmosphérique et santé cardio-vasculaire ne faisaient pas bon ménage. Des chercheurs écossais de l’université d’Edinburgh viennent peut-être de comprendre pourquoi.


Nicholas Mills et ses collaborateurs ont soumis 20 hommes victimes 6 mois auparavant d’un infarctus à une activité physique consistant à pédaler sur un vélo de laboratoire en faisant deux séries de 15 minutes d’exercice suivies chaque fois de 15 minutes de break. Le premier jour, les scientifiques ont équipé les volontaires d’un masque délivrant de l’air pur, filtré. Le deuxième jour, d’un masque délivrant de l’air contenant des fumées de moteur diesel.


Durant toute l’expérimentation, les scientifiques ont procédé à une surveillance rapprochée du fonctionnement cardiaque des volontaires. 6 heures après la fin de chaque séance, des échantillons de sang ont été prélevés.


Résultats : quand les hommes respirent un air pollué, leur cœur est nettement plus stressé mais surtout produit nettement moins d’« activateur tissulaire du plasminogène », une substance qui empêche la formation de caillots sanguins. Or on sait que les infarctus du myocarde sont causés par la formation d’un caillot dans une artère rétrécie par une plaque d’athérome.


Cette étude ne signifie pas qu’il vaudrait mieux arrêter de faire du footing dans les villes. En effet, les chercheurs ne savent pas si les mêmes résultats seraient obtenus sur des personnes sans problème cardiaque. Sachant que l’exercice physique est unanimement reconnu comme étant bénéfique pour la santé, continuez à en faire mais en vous éloignant autant que possible des axes routiers.


Source: Le Journal de santé

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admin13 septembre 2007
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Prendre des suppléments de vitamine D diminue la mortalité de 7%


De nombreuses études suggèrent qu’un manque de vitamine D augmenterait le risque de mourir d’un cancer, d’une maladie cardiovasculaire ou des suites du diabète. Dans ce cas le fait de prendre des suppléments de vitamine D permet-il de diminuer la mortalité liée à ces maladies ? Si l’on en croit les résultats d’une nouvelle étude publiée dans le journal Archive of Internal Medicine, la réponse serait oui. Le Dr Philippe Autier de l’Agence internationale de recherche sur le cancer à Lyon et le Dr Sara Gandinin de l’Institut Européen d’oncologie à Milan ont passé en revue 18 études réalisées auparavant. Verdict : les suppléments de vitamine D diminuent la mortalité.


La vitamine D est une vitamine liposoluble qui est apportée à l’organisme par l’alimentation, mais également par l’action des rayons ultraviolets sur la peau. Quand l’exposition au soleil est insuffisante, le recours aux suppléments est nécessaire pour satisfaire nos besoins en vitamine D.
Les 18 études retenues par les chercheurs ont été menées avec suppléments de vitamine D dosés de 300 UI à 2000 UI, avec une moyenne de 528 UI. Au total les chercheurs ont étudié les cas de près de 5000 patients qui ont pris ces suppléments pendant près de 6 ans. Ils se sont alors aperçus que les volontaires qui prenaient de la vitamine D avaient 7 % de risque de mortalité en moins, toutes causes confondues.


Comment la vitamine D diminue-t-elle la mortalité ? « Ce mécanisme n’est pas encore très clair », reconnaissent les auteurs. La vitamine D pourrait agir en inhibant certains mécanismes à l’origine de la prolifération des cellules cancéreuses, en améliorant nos fonctions vasculaires ou encore en boostant notre système immunitaire. Pour le Dr Edward Giovannucci, de la faculté de médecine de l’université Harvard, « cette méta-analyse est une nouvelle preuve du rôle bénéfique joué par la vitamine D pour la santé ».
Un rôle encore confirmé par une récente étude menée par des chercheurs américains de l’Université de Pittsburgh. Ceux-ci viennent de montrer que la vitamine D diminuerait le risque de pré-éclampsie pendant la grossesse. Les chercheurs ont enrôlé près de 1200 femmes à qui ils ont prélevé des échantillons de sang à 22 semaines de grossesse et juste avant l’accouchement pour mesurer leur taux de vitamine D. Ils ont ensuite voulu savoir si les cas de pré-éclampsie étaient liés à ce taux de vitamine D. Réponse positive : « un taux de vitamine D bas en début de grossesse est associé avec un risque de pré-éclampsie multiplié par 5 », explique l’auteur de l’étude.


En France, les déficits en vitamine D concerneraient en hiver 75 % des citadins. De nombreux experts internationaux recommandent un supplément de vitamine D d’au moins 200 UI par jour entre novembre et février, quand l’ensoleillement ne permet plus de synthétiser suffisamment de vitamine D.


Source: Le journal de santé

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admin12 septembre 2007
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4min2330

La dépendance physique au chocolat n’existerait pas


Le chocolat, c’est votre drogue. Impossible de résister à l’appel de la tablette. « Mais je n’y suis pour rien, clament les choco-addict, c’est bien connu le chocolat contient des substances chimiques qui agissent comme une drogue et nous rendent complètement dépendants ». Désolé, mais il va vous falloir trouver une autre excuse pour compulser sans culpabiliser : un chercheur britannique affirme que le chocolat ne peut en aucun cas être considéré comme une substance addictive.


Et pourtant, on aurait aimé y croire. Les chercheurs nous ont même donné l’espoir que nos envies compulsives et irrépressibles de chocolat ne relevaient pas de la gourmandise mais avaient une explication purement scientifique. De nombreuses études ont en effet mis en évidence que le chocolat contient des molécules susceptibles de développer une dépendance. Parmi elle le tryptophane, la phényléthylamine, la tyramine, et même des cannabinoïdes identiques à certaines substances trouvées dans le cannabis.    


Hélas le Professeur Peter Rogers, psychologue britannique de l’université de Bristol, vient de mettre à terre tous nos espoirs : non, la dépendance physique au chocolat n’existe pas. Des preuves ? En premier lieu, toutes ces molécules se retrouvent en bien plus grande quantité dans d’autres aliments comme par exemple les avocats ou le fromage. Vous en connaissez beaucoup vous des guacamole-addict ou des camembert-dépendants ? Deuxième preuve : tous ces composés supposés faire du chocolat une drogue dure se retrouvent essentiellement dans le chocolat noir. Et pourtant la plupart des consommateurs compulsifs avouent fondre littéralement devant le chocolat au lait ou les pralinés, plus sucrés et plus gras.
Mais alors pourquoi se sent-on dépendant au chocolat ? Peut-être justement à cause de tout ce sucre et tout ce gras qui rend le chocolat si fondant et si plaisant, mais aussi – et vous le savez n’est-ce pas – qui vous apporte votre ration de calories ! Pour le professeur Rogers, se serait justement là la clé de la dépendance au chocolat : les amateurs savent pertinemment que cet aliment plaisir n’est pas toujours nutritionnellement recommandable. Alors ils tentent désespérément de résister à l’envie, au désir, au besoin, à la pulsion qui les pousse irrépressiblement vers la tablette la plus proche. « Essayer de résister à ce désir de chocolat ne fait que le renforcer, explique le psychologue. De fait ce désir vous semble incontrôlable, vous craquez et vous avez donc le sentiment que le chocolat agit comme une drogue. »


Pour le chercheur, c’est la notion de « plaisir interdit » liée à cet aliment qui nous donne l’impression d’être dépendant au chocolat. « Certains comportement alimentaires peuvent réellement être considérés comme des addictions, reconnaît Peter Rogers, mais le chocolat ne peut pas rentrer dans cette catégorie ». Vous êtes sûr ? Dommage, ça nous arrangeait bien…


Source: Le journal de santé

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admin10 septembre 2007
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La maladie ne touche que les ruminants et n’affecte pas l’homme. Elle n’inspire aucune inquiétude ni pour la population, ni pour le consommateur, selon les services vétérinaires.
La maladie dite de la langue bleue est véhiculée par les culicoïdes, une espèce de moucheron.



Un premier cas de fièvre catarrhale ovine (FCO), dite maladie de la langue bleue, a été diagnostiqué vendredi en Moselle dans un élevage près de Metz, a-t-on appris samedi auprès de la préfecture de Moselle. Les autorités préfectorales ont pris un arrêté qui impose des restrictions supplémentaires à la circulation des animaux sensibles à la maladie (bovins, ovins et caprins) dans un périmètre couvrant les arrondissements de Metz et de Thionville, ainsi que quatre cantons limitrophes.
  
L’arrêté ordonne en outre d’engager la lutte avec des insecticides contre le vecteur de la maladie, un moucheron, dans les exploitations infectées de cette zone. Selon le communiqué de la préfecture, les analyses effectuées par les laboratoires nationaux de référence (Cirad à Montpellier et Afssa à Maisons-Alfort) ont confirmé la présence du virus sur un animal qui présentait des symptômes évocateurs de la maladie.
  
Une espèce de moucheron
 
« La situation de la fièvre catarrhale ovine (FCO) évolue rapidement », selon les services vétérinaires du département qui précisent que depuis fin juillet, plus de 160 cas confirmés ont été comptabilisés en France, notamment dans les départements voisins de la Meurthe-et-Moselle et de la Meuse, et que plus de 2 500 cas ont été enregistrés en 2007 dans l’ensemble des pays européens touchés par la souche BVT8 de la fièvre catarrhale ovine.
  
La maladie ne touche que les ruminants, précise-t-on de même source. Elle n’affecte pas l’homme et n’inspire aucune inquiétude ni pour la population, ni pour le consommateur. La Belgique, le Luxembourg, l’Allemagne et les Pays-Bas sont également touchés par la FCO, véhiculée par les culicoïdes, une espèce de moucheron.


Source: tf1. lci.fr

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admin8 septembre 2007
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Le tai chi améliore la réponse immunitaire au vaccin contre la grippe


Vous avez un certain âge et l’envie d’éviter la grippe cet hiver ? Faites vous vacciner… et mettez vous au tai chi. Des chercheurs de l’université de l’Illinois (Etats-Unis) viennent de mettre en évidence que cet art martial pourrait améliorer significativement la réponse immunitaire des personnes âgées qui viennent de se faire vacciner .


Pour le mettre en évidence, le professeur Yang Yang et ses collaborateurs ont recruté 50 septuagénaires qu’ils ont vaccinés contre la grippe. La moitié d’entre eux a été formée aux techniques du tai chi et qigong (prononcé chi-kong et non King-Kong) à raison de 3 séances d’une heure par semaine durant 5 mois. L’autre moitié a servi de groupe témoin.


Le tai chi et le qigong sont des sortes de gymnastiques consistant à faire de longs mouvements fluides tout en méditant et en respirant profondément.


A l’issu des 5 mois, les chercheurs ont prélevé des échantillons de sang à chacun des volontaires et mesuré le taux d’anticorps synthétisés en réponse au vaccin anti-grippe.   


Résultat : les niveaux d’anticorps étaient nettement plus élevés dans le groupe tai chi / qigong que dans le groupe témoin.
Ces résultats, même s’ils doivent être confirmés par d’autres études, sont une nouvelle preuve de l’influence que peut avoir notre mental sur notre système immunitaire. En 2003, Richard Davidson (Université du Wisconsin) mettait en évidence que la méditation avait un effet bénéfique sur les réactions immunitaires. Elle entraînait, chez des personnes vaccinées contre le virus de la grippe, une augmentation des taux d’anticorps et une augmentation de certaines cellules immunitaires, appelées les « natural killer »



Source: Le journal de santé

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