Actualités Archives - Page 182 sur 183 - Urgences - Parce que la santé est primordiale!

admin1 août 2007
cannabis_02.jpg
2min3700

Le cannabis moins inoffensif qu’on le pensait


Le shit, un produit cool ? Pas vraiment à en croire plusieurs travaux publiées récemment dans de grandes revues scientifiques… La semaine dernière, LJS.com vous rendait compte d’une étude suisse suggérant un lien de cause à effet entre le fait de fumer du cannabis et l’apparition de schizophrénie. Deux nouvelles études viennent d’être publiées sur cette maladie mentale et sur le cannabis. La première confirme les résultats de l’étude dont nous vous parlions : elle démontre que le cannabis augmente les risques des plus fragiles de basculer vers la schizophrénie. La deuxième montre que de fumer un joint est particulièrement néfaste pour la santé pulmonaire. Ceci aurait autant d’effet que de fumer 2,5 à 5 cigarettes.


L’étude sur le lien entre cannabis et schizophrénie a été publiée le 27 juillet dans la revue médicale The Lancet (1). Les auteurs, Térésa Moore de l’université de Bristol et Stanley Zammit de l’université de Cardiff (Grande-Bretagne), on passé en revue 35 études réalisées dans différents pays : Allemagne, Pays-Bas, Grande-Bretagne, Etats-Unis, Suède, Nouvelle Zélande.
 Référence : Le Journal santé

Lire la suite

admin31 juillet 2007
enfant.jpg
2min6260

GENEVE (Reuters) – Quatre millions d’enfants de moins de cinq ans meurent chaque année en raison de dangers liés à l’environnement tels que la pollution de l’air et de l’eau ou l’exposition à des substances chimiques, selon un rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) publié vendredi.
(Publicité)



Intoxications, infections respiratoires aiguës, maladies intestinales et paludisme transmis par des moustiques évoluant dans des eaux sales sont responsables de l’essentiel de ce bilan, dit le rapport technique de l’OMS.


« C’est un fait dont nous avons toujours eu connaissance intuitivement, mais sans jamais y mettre de chiffre », a déclaré Jenny Pronczuk, spécialiste de l’OMS, lors d’un point de presse.


D’après le rapport, environ 30% des affections et des décès d’enfants dus aux maladies peuvent être attribués à des risques liés à l’environnement.


Les produits chimiques ont toutefois des effets très variables à mesure que l’enfant grandit, et les effets de l’exposition à des toxines dans le ventre de la mère peuvent n’émerger qu’à l’adolescence, note le rapport établi par 24 chercheurs.


« Si l’on prend l’exposition au plomb, l’effet sera différent si l’enfant a été exposé in utero parce que le plomb de la mère passe dans le sang de l’enfant », a dit Pronczuk.


L’Afrique est la partie du monde la plus touchée par les maladies liées à l’environnement, suivie de certaines régions d’Asie du Sud-Est, a-t-elle ajouté.

Lire la suite

admin29 juillet 2007
dentifrice-brosse.jpg
3min4410

L’agence du médicament a lancé jeudi une mise en garde contre les dentifrices contenant du diéthylène glycol (DEG) ou contaminés par des bactéries qui peuvent être distribués gratuitement par des chaînes hôtelières, des compagnies aériennes ou vendus hors des circuits de distribution habituels.


Différentes autorités sanitaires européennes (Espagne, Grande Bretagne) et américaines (Canada, Etats-Unis) ont signalé l’identification sur leur territoire de dentifrices contenant du DEG ou des entérobactéries, a indiqué l’Agence française de sécurité sanitaire et des produits de santé (Afssaps) dans un communiqué.


« Ces dentifrices importés de pays tiers tels que la Chine ou l’Afrique du Sud sont considérés comme impropres à la consommation voire susceptibles de présenter un risque pour la santé », souligne l’Afssaps qui « appelle à la vigilance bien qu’aucun cas n’ait été détecté à ce jour sur le territoire français ».


Le diéthylène glycol (DEG), substance utilisée comme solvant ou comme antigel, a servi d’épaissant en remplacement de la glycérine dans les dentifrices identifiés, précise l’Afssaps.


Présentant un « risque minime » lors d’une utilisation normale du dentifrice que l’on n’avale pas, le DEG est toxique lorsqu’il est ingéré, ajoute l’Afssaps mettant en garde contre le risque d’une ingestion accidentelle par des jeunes enfants ou des personnes âgées.


L’utilisation de dentifrices contaminés par des bactéries peut également s’avérer nocive pour les enfants et les personnes immunodéficientes.


L’Afssaps invite à porter « une attention particulière aux dentifrices mentionnant une provenance de pays hors de l’Union européenne, et ayant un étiquetage contenant des fautes d’orthographe ou non rédigé en français » (pour les produits vendus en France), compte tenu notamment du risque de contrefaçons.


Parmi les produits à éviter figurent des dentifrices contrefaits de marque Colgate mentionnant une fabrication en Afrique du Sud avec des fautes de frappes en anglais ou de marque Sensodyne avec une origine chinoise.


Référence :  Aviso – Actualités

Lire la suite

admin27 juillet 2007
t-SIDA.jpg
1min3750

Sans y faire attention la Côte d’Ivoire est serieusement ménacé par le
SIDA, à travers des gestes insensés ou encore inattentionné, l’on
s’expose d’une manière ou d’une autre au SIDA. Les études du UNAIDS, Report on the Global HIV/AIDS Epidemic, p. 64 (June 1998) ont revélé que le nombre d’adultes séropositifs était estimé à 670.000, soit 10,06% de
la population adulte en 1997, ceux du UNAIDS, Report on the Global HIV/AIDS Epidemic, p. 64 (June 1998) ont revelé que parmi les adultes séropositifs, le nombre de femmes séropositives était estimé à
330.000.
Depuis le début de l’épidémie, on a recensé 450.000 cas de SIDA déclaré
parmi les adultes et les enfants et en 1997, la Côte d’Ivoire comptait
32.000 enfants séropositifs et 320.000 orphelins dus au SIDA. Après ces
statistiques qui ne sont que des approches des chiffres réelles,
Veuillez SVP Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs prendrent
consciences de la situation et donner des chances de  bonheur à nos
futurs générations. Lire la suite

admin27 juillet 2007
vagin.gif
11min16840

Le fonctionnement de la lubrification et de l\’hydratation vaginale


Si l’intérieur du vagin est naturellement humide, cette humidité varie en fonction des hormones, du désir sexuel et d’autres paramètres. Voici ce que toutes les femmes devraient connaître pour vivre en harmonie avec leur intimité.


1 – Quel est l’équivalent masculin de la lubrification vaginale ?
A – La formation de liquide pré-éjaculatoire.
B – L’érection.
C – L’éjaculation


Bonne réponse :  B
L’excitation sexuelle se manifeste physiquement par une érection chez l’homme et une lubrification chez la femme, qui correspond au même phénomène, un gonflement de tissus dans la zone génitale.


2 – Qu’est-ce qui est à l’origine de la lubrification vaginale ?
A – Le désir sexuel.
B – Les préliminaires.
C – L’excitation sexuelle.


Bonne réponse :  C
C’est l’excitation d’une femme qui se manifeste par une lubrification. Le désir peut être là et ne pas se transformer encore en excitation physique. Il peut rester dans le mental ou l’émotionnel. Les préliminaires, eux, sont utiles, mais seulement s’ils sont efficaces pour augmenter ou déclencher une excitation, ce qui n’est pas toujours le cas.


3 – Quelle est l’action du tabac sur la lubrification vaginale ?
A – Il n’en a aucun de particulier.
B – Une personne qui fume a une lubrification moins bonne, quel que soit son âge.
C – La lubrification change un peu de composition.


Bonne réponse :  B
Fumer diminue la lubrification et peut être à l’origine de sécheresse vaginale. Il en est de même pour l’érection d’un homme qui fume. Elle est de moins bonne qualité que celle d’un non-fumeur. Cela est dû au monoxyde de carbone dont la quantité augmente dans le sang des fumeurs. Ce gaz provoque un spasme des artères, y compris des artères de la région sexuelle. C’est peut-être la raison pour laquelle on voit les gens fumer après l’amour, jamais avant…


4 – Quelle est la différence entre hydratation et lubrification vaginale ?
A – L’hydratation vaginale est l’humidité naturelle du vagin, la lubrification, elle, survient quand une femme a une relation sexuelle.
B – Ce sont deux termes qui signifient la même chose.
C – L’hydratation correspond à l’humidité profonde des parois du vagin, alors que la lubrification concerne seulement la surface, donc l’intérieur du vagin.


Bonne réponse :  A
Il existe une hydratation vaginale qui correspond à l’humidité quotidienne du vagin. Cet endroit est toujours humide et ne doit jamais entraîner de sensation de sécheresse. Dans un moment d’excitation sexuelle se produit une humidification supplémentaire, la lubrification.


5 – Comment agit la pilule sur la lubrification vaginale ?
A – Elle n’y change rien, le corps fonctionne comme avant.
B – Elle entraîne toujours un début de sécheresse vaginale.
C – Cela dépend des femmes. Pour certaines, la lubrification sexuelle ne change pas, et pour d’autres, elle devient nettement moins bonne.


Bonne réponse :  C
L’humidité vaginale dépend des hormones estrogènes présentes dans la pilule. Aussi, les pilules faiblement dosées en estrogènes peuvent entraîner une sécheresse ressentie au quotidien, qui gêne aussi parfois les relations sexuelles. Dans ce cas, il faut en parler à son médecin pour trouver une contraception qui convient.


6 – Qui se plaint à la ménopause de difficultés de lubrification vaginale pendant les rapports sexuels ?
A – Toutes les femmes.
B – Plus de 50 % des femmes.
C – 30 % environ des femmes.


Bonne réponse :  C
Toutes les femmes ne souffrent pas de relations sexuelles difficiles à la ménopause. En effet, à la ménopause, si les hormones estrogènes diminuent, l’humidité vaginale de base diminue effectivement, d’où une sensation de sécheresse vaginale au quotidien parfois extrêmement gênante. Mais la lubrification sexuelle, celle qui se produit lors des rapports sexuels, ne dépend pas de ces hormones. De ce fait, même les femmes ayant une sécheresse au quotidien peuvent avoir une lubrification sexuelle tout à fait correcte, à condition que leur partenaire soit attentif aux caresses préliminaires. Le corps devient en effet moins réactif avec les années, et les hommes comme les femmes ont alors besoin de plus de câlins pour obtenir une bonne lubrification ou une bonne érection.


7 – Quand vous prenez un médicament qui, semble-t-il, provoque une sécheresse vaginale, que faut-il regarder sur la notice pour vérifier si c’est possible ?
A – Il faut voir si est notifié  » sécheresse vaginale « .
B – Il faut regarder si l’on signale une  » sécheresse vaginale  » ou une  » bouche sèche ».
C – Il est bon de noter si l’on observe une  » sécheresse vaginale « , une  » bouche sèche « , ou une  » impuissance « .


Bonne réponse : C
Les troubles de la sexualité féminine sont rarement notifiés parmi les effets secondaires des médicaments. S’ils le sont, ce sera sous le terme de  » sécheresse vaginale « . Mais les médicaments entraînant une sécheresse buccale peuvent souvent, par le même mécanisme, faire diminuer la lubrification vaginale. De même pour les troubles de l’érection : la lubrification sexuelle peut être troublée exactement par les mêmes molécules chimiques. Il est donc intéressant de savoir décoder des informations.


8 – Quelle est la relation entre l’acné et la lubrification vaginale ?
A -Il n’y a aucun rapport.
B – Dans l’acné, la peau produit trop de sébum, comme la muqueuse du vagin produit trop de lubrification.
C – Les médicaments contre l’acné sont souvent toxiques pour la lubrification et l’hydratation vaginale.


Bonne réponse :  C
Divers médicaments contre l’acné sont souvent très néfastes pour le fonctionnement de la muqueuse vaginale. Le Roaccutane®, par exemple, provoque généralement une terrible sécheresse de toutes les muqueuses, oculaires, buccales, mais aussi vaginales. 
Diane 35® ou Androcure® sont aussi des traitements anti-acné qui diminuent souvent fortement le désir sexuel et agissent indirectement de façon nocive sur la lubrification. C’est pourquoi ces deux derniers traitements ne doivent pas être poursuivis longtemps, car ils sont généralement pris par de toutes jeunes filles (acné juvénile) et peuvent entraver leur entrée dans la vie sexuelle.


9 – D’où vient la lubrification vaginale ?
A – Des glandes de Bartholin.
B – De sortes de pores dans la paroi du vagin.
C – De plusieurs sortes de glandes, glandes de Bartholin, glandes de Skène et de multiples petites glandes situées dans l’épaisseur de la muqueuse vaginale.


Bonne réponse :  B
La lubrification vaginale n’est pas formée au niveau de glandes. Elle est plutôt une sorte de transpiration vaginale qui sort par des pores. On appelle d’ailleurs cette lubrification une transsudation.


10 – Comment améliorer un défaut d’hydratation vaginale ?
A – Changer ses habitudes d’hygiène qui peuvent être néfastes.
B – Demander au partenaire d’être plus tendre et d’augmenter la durée des préliminaires.
C – Utiliser un gel lubrifiant et hydratant, observer de bonnes habitudes d’hygiène intime et encourager le partenaire à faire durer les préliminaires pour augmenter l’excitation sexuelle. 


Bonne réponse :  C

Lire la suite

admin26 juillet 2007
soins.jpg
3min6790

Lutte contre la mortalité infantile : L’UNICEF renforce les capacités des experts en communication.


Quelle stratégie de communication commune pour freiner la mortalité infantile ? C’est à cette question que devront répondre les experts en communication issus des institutions gouvernementales, des agences du système des nations unies, des partenaires au développement, des ONG nationales et internationales réunis en atelier depuis hier au Plateau. Ces experts, tous impliqués dans la planification des activités de communication en appui au programme élargie de vaccination (PEV)/ polio, vont, à l’initiative du Fonds des Nations Unies pour l’Enfants (UNICEF), adopter une stratégie de communication commune en appui à la mise en œuvre des pratiques familiales et communautaires. Ce, dans le cadre de la Stratégie Accélérée pour la Survie et le Développement de l’Enfant (SASDE) recommandée par l’Organisation Mondiale de Santé (OMS).


Chargé d’exécuter ce programme en Côte d’Ivoire l’UNICEF a indiqué M. Steven Lawerie, au nom du représentant résident Youssouf Oomar, a décidé d’organiser ce atelier de renforcement des capacités de ces experts, afin de promouvoir une collaboration plus étroite entre le personnel de la santé au niveau local et les communautés. « En Côte d’Ivoire le taux de mortalité infantile de 118 sur 1000 naissances et le taux de décès avant 5 ans de 194 pour 1000 naissances. Ces taux sont très élevés et il est plus qu’urgent de faire quelque chose », a-t-il averti. Ces décès, a déploré M. Lawerie, sont dus à des causes que l’on peut éviter. « On peut sauver des enfants du paludisme un utilisant la moustiquaire imprégnée qui coûte entre 1500 et 3000Fcfa. (…)


Au niveau de l’UNICEF, nous disons que la communication pour la survie et le développement de l’enfant au sens large, devra viser à influencer positivement les pratiques familiales essentielles au sein de larges groupes grâce aux principes et méthode de communication de masse, de la communication interpersonnelle de la mobilisation communautaire et sociale », a relevé M. Lawerie. Des propositions accueillies favorablement par le directeur général de la santé le professeur N’dri Yoman. Cet atelier prend fin le 27 juillet prochain.

Lire la suite

admin25 juillet 2007
ados.jpg
2min4730

Adopter un régime comportant des aliments à index glycémique bas serait un bon moyen d’atténuer les lésions dont souffrent les personnes atteintes d’acné. C’est ce que révèle une étude publiée ce mois-ci dans l’American Journal of Clinical Nutrition.

L’acné est une maladie de la peau due à une inflammation des follicules sébacés, les petites glandes annexées à la base des poils qui secrètent en temps normal le sébum qui lubrifie la peau. Lorsque la production de sébum devient abondante, généralement sous l’effet des androgènes, celui-ci s’accumule sous la peau, engorge le canal du follicule et obstrue les pores. Conséquence : le sébum accumulé forme des kystes ou « micro-comédon ». Ces comédons vont grossir. Ils donneront des points noirs, si le sébum entassé dans le follicule reste ouvert vers l’extérieur, le haut du comédon s’oxydant en contact de l’air et devenant noir. Ou des points blancs, si le sébum se bloque et reste enfermé à l’intérieur de la glande en particulier s’il est infecté par es bactéries qui provoquent une réaction inflammatoire. Si les bactéries vivant en profondeur dans le canal se mettent à proliférer, une réaction inflammatoire transformera les comédons en boutons inflammatoires appelés aussi pustules.

Lire la suite

admin25 juillet 2007
sexuel.JPG
2min5520

Pour votre confort sexuel, votre vagin doit rester acide
Le vagin est acide, nettement plus que le reste de notre corps. Son pH tourne autour de 4,5. Cette acidité sert à le protéger contre les microbes. En effet, étant une cavité ouverte vers l’extérieur, cet espace chaud et humide pourrait facilement se transformer en  » nid à microbes « . S’il n’en est rien, c’est qu’il se protège très efficacement.

D’où vient cette acidité protectrice du vagin ?


Dans le vagin, vivent des lactobacilles, bactéries qui transforment un sucre contenu dans les cellules vaginales en acide lactique. C’est une des sources d’acidité.
En plus, le mucus des cellules vaginales contient de l’acide chlorhydrique qui participe aussi à ce climat vaginal acide.


À quoi sert cette acidité vaginale ?


Elle maintient à distance des germes qui ne supportent pas l’acidité. Ils trouvent dans le vagin un climat qui ne leur convient pas et ne peuvent donc s’y développer.
De plus, l’acide chlorhydrique qui provient des cellules vaginales s’associe à un antiseptique, le peroxyde d’hydrogène fabriqué par les lactobacilles afin de former un produit hautement toxique pour les microbes transmis sexuellement. Il agresse par exemple les germes à l’origine des blennorragies, le virus du sida, etc.
 

Référence: e-sante.fr Lire la suite

admin24 juillet 2007
rhume.jpg
1min5450

Si vous avez l’habitude de prendre des comprimés de vitamine C quotidiennement pour éviter le rhume, espérons que vous en appréciez le goût car son efficacité serait quasiment nulle. C’est ce que suggère une synthèse d’étude (méta-analyse) réalisée par des chercheurs finlandais de l’université d’Helsinki.


Harri Hemla et ses collaborateurs ont analysé les résultats de 30 études menées sur les liens entre consommation de suppléments de vitamine C et rhume. Leurs données concernaient 11 350 personnes qui prenaient en moyenne 200 mg de vitamine C par jour.


Résultats : chez les individus lambda, la vitamine C ne diminue pas le risque d’attraper un rhume. La prise thérapeutique de cette vitamine lorsque l’on est déjà enrhumé n’a pas non plus d’effet ni sur la durée de l’affection, ni sur son intensité. Par contre, un essai clinique parmi les 30 montre son efficacité à très haute dose (8 grammes par jour) en traitement thérapeutique.

Lire la suite

Page 182 de 183
1 178 179 180 181 182 183