Actualités Archives - Page 181 sur 183 - Urgences - Parce que la santé est primordiale!

admin16 août 2007
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LOS ANGELES – Un cabinet d’avocats qui a travaillé pour Michael Jackson a engagé mardi des poursuites judiciaires devant un tribunal de Los Angeles contre le chanteur, affirmant qu’il leur doit plus de 113.000 dollars (83.143 euros).
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Le cabinet Lavely & Singer, de Los Angeles, assure que Michael Jackson a accepté l’an dernier, dans le cadre d’une procédure d’arbitrage, de lui payer 180.000 dollars (132.440 euros) en trois versements.


Le chanteur n’a pas effectué le dernier versement de 113.750 dollars (83.695 euros) avant le 31 juillet 2007, date limite prévue dans le cadre de cet accord, selon les documents judiciaires.


Au mois de juillet, un juge a ordonné à Michael Jackson, 48 ans, de payer plus de 256.000 dollars (188.360 euros) d’honoraires à un autre cabinet d’avocats au titre de missions effectuées pendant son procès pour abus sexuels sur mineur en 2005. Le chanteur avait finalement été acquitté.

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admin16 août 2007
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Une étude récente vient confirmer le danger d’installer un bébé de moins de 6 mois dans un siége plus ou moins inclinable à l’avant ou à l’arrière d’un véhicule. En effet, à cet âge, le poids de la tête et sa forme avec une proéminence occipitale (la partie arrière du crâne) font que la tête a tendance à basculer vers l’avant comprimant la trachée et exposant à une asphyxie plus ou moins importante et plus ou moins grave. Il est donc vivement conseillé d’utiliser à cet âge un siége nacelle, installé à l’arrière du véhicule en travers de la banquette et correctement fixé. Le filet antiprojection doit être impérativement fermé. Dans cette position allongée le confort de bébé n’en sera que meilleur et il ne sera pas réveillé en cas de transport hors de la voiture pour un repas, une nuit à l’hôtel ou autre. Après 6 mois et jusqu’à 9 kg, il faut installer bébé dans un siége dos à la route, ceci afin d’éviter des lésions vertébrales ou cérébrales en cas de coup de frein brutal. En effet à 50 km/heure, le poids de la tête est multiplié par 30 ! Le siége sera au moins semi incliné pour lui permettre de dormir sans danger. Si ce siége est installé à l’avant, il faut impérativement désactiver l’airbag passager. Quand bébé va grandir on utilisera un siége baquet ou à réceptacle et ce jusqu’à 15kg. Au-delà et jusqu’à une certaine taille (10 ans environ) utiliser un rehausseur permettant d’utiliser la ceinture de sécurité adulte qui devra passer sur l’épaule et non pas sur la base du cou (les voies respiratoires supérieures seraient alors très exposées en cas d’accident). A noter que tous ces dispositifs doivent répondre à des normes de sécurité et respecter des règles de montage précises. Le bricolage est à proscrire. Enfin et surtout, l’enfant doit être attaché même pour des trajets très courts !! Lire la suite

admin14 août 2007
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L’effort musculaire conduit à plus ou moins long terme à un état particulier, la fatigue. On ne connaît pas encore exactement toutes les origines de la fatigue musculaire, mais elle est sans doute due à l’association de plusieurs facteurs.

En effet, l’effort musculaire entraîne :
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admin14 août 2007
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Homosexuel de 25 ans souffrant du sida, soupçonné d’avoir volontairement contaminé une dizaine de jeunes partenaires dans le sud de la France lors de rapports non protégés a été inculpé mais laissé en liberté, a-t-on appris vendredi de source judiciaire.
Il est poursuivi pour « administration de substances nuisibles ayant entraîné une infirmité permanente », a-t-on appris auprès du parquet de Draguignan. Un contrôle judiciaire strict lui impose en particulier des analyses Lire la suite

admin13 août 2007
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ATTENTION!ATTENTION!ATTENTION!
 
Nous voulons aviser les populations de l’Afrique de l’Ouest d’un danger d’empoisonnement à utiliser le produit suivant : Il s’agit d’une contrefaçon de pâte à dent COLGATE qui vient de Chine.  Ce produit a déjà fait 40 victimes aux USA et vient d’être retiré des tablettes au Canada.
Pour identifier ce produit contrefait il suffit d’en vérifier l’origine, il est marqué MADE IN SOUTH AFRICA.
 
Prière de bien vouloir diffuser ce message au plus grand nombre.
Merci d’avance. Lire la suite

admin9 août 2007
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C’était déjà connu en matière de cancer du sein, manger cinq fruits et légumes par jour ne prévient pas les rechutes. Une nouvelle étude américaine va encore plus loin, concluant que même un régime « très riche » en fruits et légumes ne présenterait pas d’effet protecteur dans ce domaine.



Au terme d’une étude randomisée, le Pr John P. Pierce et ses collègues de l’Université de Californie à San Diego, se sont intéressés à plus de 3 000 femmes qui avaient survécu à un cancer du sein. Pendant quatre ans, une partie d’entre elles a suivi un régime très riche en fruits et légumes. C’est-à-dire qu’il apportait « beaucoup plus » que les cinq fruits et légumes recommandés quotidiennement.


Comparées au reste de la cohorte, les femmes de ce groupe ne se sont pas révélées surprotégées contre un retour de la maladie. « Nous n’avons relevé aucun bénéfice significatif », concluent les auteurs.


Dans un éditorial accompagnant l’article, Susan M. Gapstur et Seema Khan de la Freinberg School of Medicine de Chicago relativisent tout de même cette conclusion. « Davantage de paramètres devraient être pris en compte avant de trancher. Comme par exemple l’existence d’erreurs dans la mesure de la prise alimentaire ou l’hygiène de vie des patientes »… Cela étant, les bienfaits des fruits et légumes sur notre système cardio-vasculaire ne sont pas remis en question. Bourrés de vitamines, de sels minéraux et d’oligo-éléments, les fruits et légumes présentent en effet d’importantes propriétés anti-oxydantes.

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admin7 août 2007
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Les bronchites aiguës et pneumopathies sont deux groupes de maladies distinctes dont la différenciation est importante car aboutissant à des thérapeutiques très différentes. La raison en est simple, les premières sont le plus souvent d’origine virale (grippe, virus syncytial respiratoire qui sont des virus, plus rarement une bactérie (bordailleur pertussis ou coqueluche), les secondes sont le plus souvent d’origine bactérienne, le plus dangereux étant le pneumocoque, mais on rencontre aussi des mycoplasmes des légionnella., des staphylocoques dorés

La bronchite par définition touche les bronches, la pneumopathie touche le parenchyme pulmonaire, c’est-à-dire les alvéoles pulmonaires et les structures organiques qui les entourent.

Points communs.
Cliniquement la différenciation par le médecin est le plus souvent aisée, mais il existe des symptomatologies parfois équivoques. Ces deux affections sont régulièrement accompagnées de fièvre. La toux est presque constante: il existe de rares cas de pneumopathies sans fièvre ou sans toux, affectant essentiellement les nourrissons et les personnes âgées. L’expectoration est très présente, plus ou moins abondante selon les personnes et la phase de la maladie.

Différenciation des deux affections.


La bronchite aiguë.
Les bronchites aiguës se caractérisent par deux signes principaux:
– une fièvre plus ou moins importante,
– une toux, sèche ou expectorante. Cette toux peut être douloureuse du fait de l‘inflammation des bronches. Elle traduit le décapage de la muqueuse des voies respiratoires. Elle va se prolonger au-delà de la disparition de la température et de la présence du virus. Elle peut donc durer très normalement de 10 jours à 3 semaines sans que cela ne justifie d‘inquiétude particulière de la part du médecin.
Il n’existe pas dans la bronchite aiguë de douleur déclenchée par l’inspiration ,ou de « point de côté ».
Les bronchites aiguës ne sont dangereuses que pour les nourrissons, les personnes âgées, les personnes affaiblies

La plupart de ces bronchites apparaissent dans des contextes épidémiques et sont le fait de virus grippaux ou syncytiaux respiratoires. La symptomatologie étant parfois trompeuse ou ambiguë, un cliché pulmonaire peut être utilisé pour éliminer une forme atypique de pneumopathie.
Sauf surinfection avérée ou terrain particulièrement fragile, les antibiotiques n’ont pas de place dans le traitement de la bronchite aiguë. Ils ne servent le cas échéant qu’à protéger d’une éventuelle surinfection par des bactéries pathogènes (génératrices de maladies dangereuses). La kinésithérapie respiratoire occupe une place essentielle, en particulier chez les nourrissons, les personnes affaiblies, les bronchitiques chroniques (fumeurs et insuffisants respiratoires). Les autres traitements pouvant aider à réduire la toux sont les antitussifs les bêta mimétiques comme le salbutamol et les corticoïdes inhalés. Une partie seulement de ces traitement étant évaluée, chaque médecin prescripteur adapte les traitement en fonction de son expérience et de ses convictions.
A noter que parfois des bronchites aiguës répétitives peuvent être engendrées ou favorisées par des sinusites chroniques ou des reflux oesophagiens. Qui justifieront d’un bilan et d’un traitement spécifiques.

On rappellera brièvement les terrains à complication pour les bronchites virales:
-nourrissons
-personnes âgées
-fumeurs et insuffisants respiratoires
-diabétiques
-allergiques
-personnes atteintes de maladies graves (SIDA, cancers, insuffisances cardiaques ou valvuloplasties cardiaques, insuffisance rénales…

Une forme particulière de bronchite aiguë: la coqueluche.
La coqueluche est une affection due à une bactérie appelée bordetella pertussis. Elle se caractérise par une toux sévère, aux accès dyspnéants (faisant perdre son souffle), ces symptômes pouvant durer 3 mois et plus. Le germe n’est présent que dans les premiers 15 jours, la maladie est alors relativement contagieuse. Compte tenu de la gravité de cette affection pour les nouveaux nés, la vaccination se fait dès 2 mois chez les nouveaux nés, et se répète jusqu’à l’adolescence.
Les adultes perdent avec les années leur immunité vaccinale. On a donc vu ,avec les voyages à l’étranger dans des pays où la vaccination ne se fait pas, réapparaître en France cette maladie Actuellement elle touche donc essentiellement les adultes mais aussi quelques enfants car la vaccination n’est pas efficace à 100%.
Les symptômes sont moins typiques qu’une coqueluche de l’enfant non vacciné, mais ils durent 3 mois. A ce jour, à défaut du contraire toute bronchite aiguë de plus de 3 semaines est une coqueluche. Le diagnostic se confirme par sérologie (prise de sang).
Certains antibiotiques permettent de tuer le germe, mais la toux « de cicatrisation » durera 3 mois. En pratique, le traitement antibiotique, donné en cas de suspicion, sert surtout à limiter la contagion pour le voisinage.
Un vaccin adulte a été commercialisé il y a 2 ans pour remédier à cette carence.

La pneumopathie aiguë

Les pneumopathies aiguës sont le plus souvent d’origine bactérienne. Elles se caractérisent par une toux douloureuse associée à une douleur thoracique à type de point de côté. Cette douleur est aggravée par la respiration. Il s’y associe une altération de l’état général et une fièvre. L’affection est le plus souvent de survenue brutale.
Ce tableau est rarement aussi typique. Un ou plusieurs symptômes sont régulièrement absents. Parfois la découverte se fait fortuitement dans le cadre d’un bilan d’altération de l’état général (personnes âgées).
Pour certains germes, dits atypiques (mycoplasmes), les symptômes s’installent progressivement.
Le diagnostic se confirme par radiographie du thorax. On découvre un image opaque localisée au moins à un lobe pulmonaire. Cette image va persister 1 à 2 mois après la guérison.

Le principal germe en cause dans ces pneumopathies est le pneumocoque. Il est surtout le plus dangereux car pouvant être mortel si le traitement est mis tardivement en route. Le pronostic est lié à l‘état général. Chez l‘adulte jeune, cette affection pose rarement de problème particulier, elle peut par contre être redoutable pour un patient hospitalisé en service de réanimation.
Le traitement de référence est l‘antibiothérapie et en particulier l‘amoxicilline. .De plus en plus, des pneumocoques ont une sensibilité réduite à cet antibiotique, ce traitement n’en reste pas moins suffisant pour accompagner les défenses naturelles de l’organisme et permettre la guérison. Là encore tout est question de terrain.

Les autres germes responsables fréquemment de pneumopathies aiguës sont les légionelloses et affections à mycoplasme. Ils sont immédiatement moins dangereux que le pneumocoque, d’où l’habitude de traiter en priorité le pneumocoque, puis de réajuster le traitement 48 heures après en cas de doute. Les antibiotiques classiquement utilisées ne sont pas les mêmes, actuellement certains traitements sont efficaces sur les deux catégories de germes.

A titre préventif, il existe des vaccins contre certains pneumocoques. Ils réduisent les risques d’infections à pneumocoques chez les personnes à haut risques.

Dernière remarque, un foyer pulmonaire peut révéler une affection sous jacent, un cancer du poumon par exemple. La surveillance et des explorations s’imposeront donc en particulier chez les fumeurs, les personnes soumises à pollution et les familles « à cancers multiples ».
                                                                          Medecine et santé Lire la suite

admin3 août 2007
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Les dents sont le reflet de notre santé. Mais, au fil des années, leurs couleurs se ternissent : plus jaunes, plus grises, moins saines… La technique du blanchiment est de plus en plus prisée. Mais, tant qu’il est encore temps, pourquoi ne pas plutôt miser sur la prévention en cherchant à conserver la blancheur naturelle de ses dents.
Le sourire perd de son éclat et ces colorations, peu esthétiques, provoquent, parfois, de véritables complexes.. .Attention, il faut réagir ! Comment ? En adoptant, une fois pour toutes, une bonne hygiène dentaire et en apprenant les bons réflexes. Suivez le guide !
Halte au tartre ! Faites confiance à votre chirurgien-dentiste… Lire la suite

admin3 août 2007
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Mais de nombreuses interrogations persistaient sur la localisation de ce réservoir, qui permettait une réalimentation rapide d’un individu en virus actifs après l’arrêt d’un traitement, et constituait ainsi une barrière incontournable à la guérison. De plus, les capacités immunitaires de l’organisme semblaient impuissantes face à ce réservoir du VIH. 

Une équipe de chercheurs dirigée par Jérôme Estaquier, de l’Unité Inserm 841 à l’Institut Mondor de Recherche Biomédicale (IMRB) de Créteil et de l’Unité CNRS de Physiopathologie des Infections Lentivirales à l’Institut Pasteur à Paris, vient d’apporter un élément de réponse décisif à la question. 


En étudiant des modèles animaux, ils ont pu déterminer que ces réservoirs se situaient au niveau des ganglions lymphatiques de la région intestinale (ganglions mésentériques), le virus pouvant y rester dans le cas d’organismes infectés depuis plus de 10 ans alors qu’il est devenu indétectable ailleurs. 


Mais ce n’est pas tout, car la même équipe a aussi démontré que la durée de survie des lymphocytes T CD8 cytotoxiques au sein de ces ganglions était considérablement réduite. Or ces « lymphocytes tueurs » sont habituellement capables de détruire les cellules infectées et d’ainsi combattre la prolifération du virus. Poussant leurs investigations plus loin, les scientifiques ont aussi détecté la présence de TGF-bêta, une cytokine immunosuppressive qui pourrait être à l’origine de cette anomalie. 


Le taux réduit de lymphocytes T CD8 en raison de leur courte durée de vie permet donc au VIH de se disséminer des ganglions mésentériques vers les autres organes, provoquant ainsi la progression vers le stade sida. 


Vers une nouvelle voie de recherches 


Les travaux de ces chercheurs fourniront peut-être la clé de nouvelles stratégies de lutte contre le VIH, qui passeraient par l’inhibition des fonctions immunodépressives du TGF-bêta ou au rétablissement de la durée de vie normale des cellules T CD8 afin de permettre à l’organisme de réguler lui-même la prolifération du virus ou même de l’éradiquer. D’autres types de thérapies sont aussi envisagés, ciblant en particulier les ganglions mésentériques. 


Il est bien entendu encore trop tôt pour crier victoire car le processus d’infection par le VIH se réclame d’une très grande complexité dont tous les aspects sont loin d’être connus, mais le pas qui vient d’être franchi pourrait se révéler capital. Néanmoins, de nombreuses expérimentations in vivo ainsi que sur échantillons humains seront encore nécessaires avant de déboucher à un nouveau traitement. 


Cette étude a été publiée dans la revue Cell Death and Differentiation. 



Sources principales : 


CNRS URA 1930; Unité de Physiopathologie des Infections Lentivirales, Institut Pasteur, Paris, France. 


Unité Inserm 841, Institut Mondor de recherche Biomédicale (IMRB), Créteil, Paris, France.

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admin2 août 2007
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Selon la séropositivité des deux partenaires, trois cas de figures se présentent. Mais dans tous les cas, les couples ne doivent pas cesser de protéger leurs rapports sexuels dans le but de concevoir un enfant. 

1) L’homme est séropositif, la femme séronégative
Tant que la femme n’est pas contaminée par le VIH, elle ne risque pas de le transmettre à son bébé. Il est donc primordial de continuer à avoir des rapports protégés, pour la femme comme pour l’enfant, et durant toute la grossesse. 
Pour que la femme ne soit pas contaminée, le sperme du futur papa est lavé selon une technique spéciale. On peut ensuite procéder à une insémination sans risque de contamination. A noter que toutes les techniques d’assistance médicale à la procréation sont prises en charge par l’Assurance maladie jusqu’au 43e anniversaire de la femme. 


2) La femme est séropositive, l’homme est séronégatif
Pour éviter tout risque de contamination du futur papa, on recourt à une insémination artificielle avec le sperme du futur papa. 
Ensuite, le risque de transmission du VIH de la mère au bébé est réel et il survient surtout lors de l’accouchement ou de l’allaitement. Lorsque la future mère ne suit pas de traitement antiviral, environ 25% des enfants naissent contaminés par le VIH. En revanche, ce pourcentage tombe à 1% si la femme suit un traitement antirétroviral. 
Elle doit donc suivre un traitement antirétroviral pendant toute la grossesse et ensuite ne pas allaiter. 
Le plus souvent, après la naissance, l’enfant reçoit lui-même un traitement antirétroviral pendant quelques semaines. 


3) Les deux partenaires sont séropositifs
Ce dernier cas de figure regroupe les précautions cités dans les deux cas précédents afin d’éviter tout risque de contamination entre les deux partenaires : lavage du sperme avant insémination, traitement antirétroviral de la femme pendant la grossesse, rapports protégés pendant la grossesse et pas d’allaitement. 


Risque de toxicité du traitement antirétroviral vis-à-vis du bébé


A noter que si le traitement antirétroviral protège le bébé du risque de contamination, il peut cependant présenter un risque de toxicité. C’est pourquoi certains traitements antirétroviraux sont déconseillés pendant la grossesse. 
Le traitement doit être discuté avec son médecin afin de convenir à l’avance du traitement le plus adapté et si nécessaire le modifier au cours de la grossesse, pour limiter tout risque de toxicité.

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