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admin4 octobre 2007
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2min2890

La Mutuelle générale des fonctionnaires et agents de l’Etat a un nouveau directeur général. Il se nomme Adon Mossan. Il a été désigné par le conseil d’administration réuni vendredi dernier pour succéder à M. Traoré Dohia Mamadou, administrateur délégué dans les fonctions de directeur général depuis le mois de mars dernier. La passation des charges entre les deux hommes aura lieu ce matin. Ce changement de tête à la direction générale est le troisième que connaît la Mutuelle depuis le début de cette année 2007 qui s’avère fort mouvementée pour elle. Suite au réaménagement intervenu au sein du Conseil d’administration après le décès en octobre 2006 de son président Bégnana Bogui Jean-Baptiste, le directeur général Yao Touré Albert avait été débarqué en février dernier pour des raisons qui restent toujours obscures. Son successeur, Tapé Goze, n’assurera qu’un très bref intérim de trois semaines avant d’être remplacé en mars par M. Traoré Dohia Mamadou. Le 30 août dernier, une assemblée générale a mis fin au mandat du Conseil d’administration dirigé par M. Hyacinthe Adiko Niamkey. Le nouveau conseil mis en place est dirigé par M. Joseph Holland N’Da, un ancien de l’institution. M. Adon Mossan qui revêt les habits de directeur général ce matin n’est pas inconnu, lui non plus. Administrateur civil de son état, il était jusqu’à un passé récent conseiller technique de l’ancien directeur général Yao Touré Albert.


Source: Fraternité Matin

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admin4 octobre 2007
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3min2160

Des chercheurs de huit pays africains ont réclamé jeudi une relance des systèmes de recherche agricoles détruits lors des récents conflits armés qui les ont déchirés, pour mettre fin à l’insécurité alimentaire qui menace au moins 70 millions de personnes selon eux.


Ces chercheurs, venus de Côte d’Ivoire, de la République démocratique du Congo, du Congo, de la République centrafricaine, du Tchad, de la
Guinée-Bissau, du Libéria et de la Sierra Leone, ont lancé cet appel à
l’occasion d’une réunion de trois jours entamée mercredi à Abidjan.


« Cette rencontre vise élaborer un plan de réhabilitation et de relance de
notre dispositif de recherche scientifique, sur lequel est basé le
développement de l’agriculture dans nos pays », a expliqué à l’AFP Christophe Kouamé, responsable de la coopération internationale au Centre national ivoirien de recherche agronomique (CNRA), qui a pris l’initiative de ce séminaire.


Les chercheurs espèrent que ce plan de relance, une fois ébauché, recevra « l’appui des gouvernements » concernés « et des partenaires du développement ».


« Les systèmes nationaux de recherche agronomique ont été très sévèrement affectés par la guerre. Cette perte considérable a des répercussions énormes et durables sur la production », a expliqué Marie-Noëlle Koyara, de l’Organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO) en Côte d’Ivoire.


« Plus de 70% des 110 millions d’habitants de ces pays travaillent dans
l’agriculture, qui y participe à plus 30% du produit intérieur brut (PIB),
voire 70% pour le Libéria », a souligné M. Kouamé.


Selon lui, 30% des populations du nord et l’ouest de la Côte d’Ivoire, pays
autrefois considéré comme modèle en Afrique de l’Ouest, « n’arrivent plus à avoir le minimum pour manger chaque jour ». « Et il est à craindre que cela va s’accroître si rien n’est fait d’ici deux ou trois ans », s’est-il alarmé.


Source: AFP

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admin2 octobre 2007
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5min2390

La vaccination contre la grippe saisonnière ne diminuent pas vraiment la mortalité chez les personnes âgées.


 Comme chaque année, le retour de l’épidémie de grippe saisonnière s’accompagne de violentes critiques sur l’efficacité du vaccin. Cette fois, c’est Lone Simonsen (Instituts nationaux de santé, Bethesda) qui, dans The Lancet du 25 septembre 2007, enfonce à nouveau le clou. Depuis les années 1960, les autorités sanitaires américaines et l’Organisation mondiale de la santé ont ciblé, pour la vaccination grippale, les personnes âgées. Aux États-Unis, alors qu’en 1980 seuls 15 % des plus de 65 ans étaient vaccinés, ils étaient plus de 65 % dix ans plus tard. Et pourtant, la preuve scientifique de l’efficacité du vaccin pour réduire la mortalité grippale dans cette tranche de population reste à faire. Il est même à craindre qu’on ne l’aura jamais !


 Des essais comparatifs entre un placebo et le vaccin ont montré leur efficacité chez les plus jeunes en bonne santé, mais pas chez les seniors de 70 ans et plus, qui ont des facteurs de risque. Or ce sont eux qui meurent le plus : les hommes et femmes de 80 ans ont 11 fois plus de risques de mourir d’une conséquence de la grippe que les 65-69 ans. Une étude épidémiologique américaine publiée en 2005 dans les Archives of Internal Medicine avait établi que 76 % des morts de la grippe survenaient chez les plus de 70 ans, et 55 % de ces morts se concentraient sur les plus de 80 ans.


 Une mortalité difficile à évaluer


 Malgré l’augmentation de la couverture vaccinale des personnes âgées, la mortalité observée (par rapport aux morts attendus pendant l’hiver) a même augmenté entre 1980 et 1990 ! Il faut dire que le poids exact des morts de la grippe est difficile à apprécier. On peut prendre pour de la grippe ce qui est en fait dû à d’autres virus respiratoires que les virus influenza. La grippe n’est souvent qu’un facteur morbide qui va déclencher des pneumonies bactériennes de surinfection, ou décompenser une maladie cardiaque sous-jacente qui emporte le ou la malade. Et ces morts-là ne sont pas comptées comme dues à la grippe. Un « truc » statistique consiste donc à mesurer l’excès de mortalité toutes causes confondues, par rapport à un nombre de morts attendus pendant la période grippale. Avec cet indicateur, la grippe, depuis la grande pandémie de 1968, ne tue « que » 5 % des 600 000 Américains mourant chaque année entre décembre et mars. Or, selon les tenants de la vaccination, les études de cohortes de vaccinés de plus de 65 ans montreraient que le vaccin réduit de 50 % le risque de toute mort hivernale. Conclusion de Lone Simonsen : « Que le vaccin antigrippe soit capable d’éviter 10 fois le nombre de morts attribuées à la maladie est complètement invraisemblable. »


 Par ailleurs, une étude néerlandaise de 1992 avait constaté une diminution de l’efficacité du vaccin avec l’âge : de 57 % chez les 65-69 ans, elle passait à 23 % chez les plus de 70 ans, du fait du vieillissement de l’immunité. En 2005, le Dr Tom Jefferson (Cochrane Vaccine Field, Rome) avait étudié 64 études internationales représentant 96 « saisons » de grippe et 2,5 millions d’observations. Sanction sans appel : quels que soient les populations, les critères cliniques, et toutes études confondues, l’efficacité globale du vaccin sur les maladies grippales n’est que de 23 %. Et chez les personnes de plus de 65 ans, les vaccins sont inefficaces contre les syndromes grippaux, les pneumopathies, et ne diminuent pas la mortalité respiratoire. Mais maintenant que la vaccination est recommandée partout pour les personnes âgées, quiconque proposerait un essai comparatif en double aveugle entre le placebo et le vaccin aurait bien du mal à le faire passer auprès d’un comité d’éthique…


Source: Le Figaro

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admin2 octobre 2007
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4min2260

Depuis de nombreuses années, la Côte d’Ivoire aspire à être la Rotterdam d’Afrique. A New York où il se trouvait pour participer à l’assemblée générale de l’ONU, le Chef de l’Etat a intégré cet aspect dans les contacts qu’il a eus. Ainsi, il a consacré une bonne partie de la journée du 24 septembre dernier pour essayer de poser les bases de la réalisation de cet objectif.
Avec Yar’Adua, son homologue nigérian, Laurent Gbagbo a évoqué le renforcement des relations pétrolières entre les deux pays. Depuis novembre 2003, sous le mandat du général Olusegun Obasanjo, le Nigeria met à la disposition de la Côte d’Ivoire une allocation de 30 mille barils par jour. Le Chef de l’Etat ivoirien a demandé la reconduction de cette allocation qui a permis à la Société ivoirienne de raffinage (SIR) de réaliser des performances historiques. Mieux, il a souhaité une augmentation de ce volume.
Les deux Chefs d’Etat ont aussi traité la question du West african gaz pipe compagny (WAPCO). Ce gazoduc ouest-africain va transporter le gaz flairé produit au Nigeria en direction de trois pays ouest-africains: le Bénin, le Togo et le Ghana. La Côte d’Ivoire ne fait pas partie des premiers bénéficiaires de ce grand projet. Celui-ci ouvrant des perspectives pour la production d’électricité et plus tard le développement de la pétrochimie dans notre pays, Laurent Gbagbo a négocié avec son homologue nigérian afin que cette donne soit reconsidérée à l’effet d’intégrer la Côte d’Ivoire dans le WAPCO.
Sur sa lancée, Laurent Gbagbo a rencontré trois émissaires de la compagnie Energy Allied international conduits par Mike Nassar, président du conseil d’administration de cette société. Les discussions ont porté sur la construction, à Abidjan, d’une raffinerie de pétrole pouvant traiter 60 mille barils par jour et principalement des bruts en provenance de Côte d’Ivoire, d’Angola, de la Guinée Equatoriale et du Nigeria. L’objectif de cette deuxième raffinerie est non seulement de valoriser les bruts africains, mais de conquérir l’exigeant marché américain avec des produits de très grande qualité. Dès ce mois d’octobre, une mission de prospection se rendra à Abidjan pour la définition du site et des détails techniques.
Une autre mission est également attendue prochainement à Abidjan. C’est celle des responsables de Grynberg petroleum compagny. Jack J. Grynberg, président de la société, a annoncé au Chef de l’Etat son intention d’établir en Côte d’Ivoire une plantation de canne à sucre sur une superficie de plus de 60 mille ha pour la production d’éthanol destiné à la fabrication de biocarburant. A cet effet, Laurent Gbagbo a invité les responsables de cette compagnie à effectuer une visite en Côte d’Ivoire pour approfondir le projet avec les deux ministères concernés: Agriculture, Mines et Energie.


Source: Fraternité Matin

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admin2 octobre 2007
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2min2100

Deux kilogrammes de cocaïne pure ont été saisis le mercredi à l’aéroport Félix Houphouet- Boigny de Port-Bouët, par la brigade des stupéfiants de la Direction des enquêtes douanières a annoncé jeudi, son Directeur, le Colonel Toro Ipeaud.
Le colis prohibé a été découvert sur Adebayo Ebunoya, une femme originaire du Nigeria qui s’apprêtait à prendre le vol 0784 de la Compagnie Emirates à destination de Londres via Dubaï. Conditionnée dans de petits paquets en plastique de 2 cm d’épaisseur et 38 cm de longueur, la drogue était dissimulée dans une espèce de culotte fabriquée pour la circonstance et qu’elle portait sous son pagne. La valeur sur le marché de cette prise est de 27 millions de francs CFA. « Il y a bientôt un mois, j’ai donné des instructions à mes éléments en poste à l’aéroport pour intensifier leur contrôle au niveau de la brigade des stupéfiants. Et ils ont su réagir à travers ce beau coup de filet qui contribue à crédibiliser davantage notre aéroport », a commenté le Colonel Toro Ipeaud. « A l’issue de l’enquête préliminaire qui a débuté dès mercredi, la prévenue sera remise entre les mains des institutions judiciaires « , a-t-il poursuivi. C’est la troisième fois, en l’espace de trois années que la brigade des stupéfiants de la Direction des enquêtes douanières fait des saisies importantes de drogues dures à l’aéroport Félix Houphouet-Boigny. En 2005, 27 boulettes de cocaïne avaient été saisies et 4 kg de la même substance en 2006.


Source: Fraternité Matin

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admin28 septembre 2007
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7min2290

Les autorités sanitaires ont tardé à rendre public le problème.


LE NORD du Nigeria a été frappé par l’une des plus grosses épidémies de poliomyélite, due à la vaccination, que l’on ait connue. Si elle se poursuit, elle pourrait être un sérieux revers dans la campagne actuelle d’éradication de la polio dans le monde, dans une région où, il y a plusieurs années, les rumeurs sur l’innocuité du vaccin avaient paralysé les efforts de vaccination.


 Les experts du programme Global Polio Eradication Initiative soulignent que le vaccin oral trivalent largement utilisé est sûr. En revanche, le faible taux d’immunisation dans le nord du Nigeria a créé les conditions pour que le virus atténué du vaccin regagne de la virulence et soit à l’origine d’une épidémie.


 Détectée en 2006, l’épidémie due au poliovirus de type 2 dérivé du vaccin (PVDV) a été immédiatement signalée à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et aux autorités sanitaires du Nigeria. Mais elle n’est rendue publique que maintenant dans deux périodiques, le Morbidity and Mortality Weekly Report américain et le Weekly Epidemiological Record de l’OMS, ce qui sème en partie la consternation parmi les spécialistes. Les circuits officiels ont déclaré que la nouvelle, mal interprétée, risquait de perturber les efforts de vaccination antipolio au Nigeria. « On pouvait légitimement craindre que les rumeurs sur la vaccination ne se ravivent avec des explications incomplètes sur les causes de l’épidémie », dit Olen Kew qui a dirigé les recherches sur la résurgence de la maladie à partir des centres de prévention et de contrôle des maladies (CDC) d’Atlanta aux États-Unis.


 69 cas de paralysie confirmés


 Plusieurs experts de la polio ont indiqué à la revue Science qu’ils n’étaient pas d’accord pour garder les choses sous silence. « Cela me dérange que l’information n’ait pas été donnée, » déclare Donald A. Henderson, du Centre pour la biosécurité de l’Université de Pittsburgh. Les détails de l’apparition de toute épidémie sont essentiels, selon lui, pour évaluer les risques que présentent les souches dérivées du vaccin.


Jusqu’à présent, il n’y a eu que 69 cas de paralysie confirmés dus au PVDV et d’autres sont suspectés dans neuf États du nord du Nigeria, précise Kew. Ce nombre va certainement augmenter. Environ la moitié des cas viennent de la région de Kano, un État largement musulman où sentiments antioccidentaux et rumeurs ont conduit plusieurs États à arrêter la vaccination contre la polio en 2003. Elle a repris un an plus tard, après des démonstrations répétées de l’innocuité du vaccin et d’intenses tractations diplomatiques, mais le mal était déjà fait.


 Fin 2004, le nombre de cas de polio avait doublé dans le pays, atteignant presque 800, et en 2006 il s’est envolé à 1 100. Le virus sauvage issu du Nigeria a recontaminé une vingtaine d’autres pays, ce qui a provoqué un pic de cas dans le monde. Ce fut un énorme revers pour le Global Polio Eradication Initiative. Ce n’est que récemment que le nombre de cas déclarés dans le monde est revenu aux niveaux d’avant le boycott.


 Le Nigeria a fait des progrès considérables depuis, mais les souches sauvages du poliovirus, de type 1 et 3, sont toujours en circulation dans le Nord et la couverture vaccinale reste faible : en 2006, entre 6 % et 30 % des enfants n’avait jamais reçu une seule dose de vaccin oral. Ce sont exactement ces conditions qui rendent la région susceptible à des épidémies de PVDV. Depuis les années 1960 les scientifiques savaient qu’un virus atténué peut, en de rares circonstances, muter et regagner sa virulence mais ce n’est qu’en 2000, lors d’une épidémie sur l’île d’Hispaniola, qu’ils ont réalisé qu’il pouvait transmettre la maladie entre les personnes.


 Couverture « pas adéquate »


 L’épidémie actuelle fut découverte lorsqu’un technicien des laboratoires du CDC remarqua une prépondérance de virus de type 2 dans les prélèvements venant du nord du Nigeria. Cela éveilla tout de suite des soupçons car ce type a été éradiqué dans le monde. La source ne pouvait être que le vaccin trivalent utilisé dans le pays avant le boycott. Depuis la reprise des vaccinations en 2004, indique Kew, le Nigeria a utilisé « de façon appropriée » les vaccins monovalents plus efficaces dirigés contre les souches 1 et 3.


 Dans les épidémies précédentes, les PVDV avaient été relativement faciles à éliminer mais celui-là a persisté en dépit de quatre campagnes de vaccination effectuées ces dernières années avec le vaccin oral trivalent. « Nous suspectons que c’est simplement parce que la couverture vaccinale n’était pas adéquate, précise Kew. Nous ne pensons pas que ce virus ait quelque chose d’exceptionnel. » Il remarque ainsi que lorsque les deux souches de PVDV ont franchi la frontière du Niger, un pays où la vaccination est faite à 90 %, « ils n’ont progressé que de 5 km avant de disparaître. »


 
Le spécialiste de la polio Oyewale Tomori, vice-recteur de l’Université Redeemer près de Lagos et siégeant au comité consultatif des experts pour l’éradication de la polio du pays, dit qu’il a pressé les autorités de diffuser l’information. Ne rien dire, s’inquiète-t-il, pourrait alimenter les soupçons sur l’innocuité du vaccin au lieu de renforcer les efforts nécessaires à l’immunisation au Nigeria.


Source: Le Figaro

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admin28 septembre 2007
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2min2110

L’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) encourage les parties ivoiriennes à mener jusqu’à leur terme les audiences foraines, a annoncé jeudi la mission onusienne dans un communiqué.


L’ONUCI « se félicite que le redémarrage des opérations se soit déroulé sans incident et exhorte tous les acteurs concernés à s’impliquer en vue de leur réussite qui sera cruciale dans la mise en oeuvre de l’accord d’Ouagadougou », annonce-t-elle dans le communiqué.


Elle continuera d’apporter son assistance aux autorités concernées, en s’assurant que les audiences foraines et le processus d’identification qu’elles vont conduire correspondent bien aux normes internationales en vigueur en la matière, poursuit le texte.


La Côte d’Ivoire a procédé mardi à la reprise des audiences foraines, phase pilote de l’identification de la population, qui vise à donner des jugements supplétifs d’acte de naissance à des personnes âgées d’au moins 13 ans et non déclarées à l’état civil, dans le cadre des préparatifs des élections, sans cesse d’être reportées en raison de désaccords politiques.


Lancée en juillet 2006, l’opération avait été interrompue suite à des affrontements meurtriers entre militants de l’opposition et partisans du camp présidentiel opposés sur le mode opératoire qui prévoyait la délivrance simultanée des certificats de nationalité et des jugements supplétifs d’acte de naissance.


La présente opération sera sécurisée par le Centre de commandement intégré (CCI) constitué des éléments des deux forces ex-belligérantes qui va mobiliser environ 1200 hommes.


La question de la nationalité est au coeur de l’ex-rébellion des Forces nouvelles qui occoupe la moitié nord du pays suite à coup d’Etat raté contre le président Laurent Gbagbo en septembre 2002.


Source: Xinhuanet

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admin28 septembre 2007
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2min2360

La 1ère cotation en bourse de l’emprunt obligataire TPCI 6% 2007-2010 a eu lieu ce 26 septembre à Abidjan-Plateau. Ce sont au total 150 titres qui ont été introduits sur le marché financier régional de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA). Ces titres ont été rachetés à 1,5 million de Fcfa. A cette occasion, le Directeur de cabinet du ministre de l’Economie et des Finances, M. Kouamé Yao Bernard, a appelé les Ivoiriens à avoir une culture financière afin d’accroître les participations des individus dans les différentes opérations de levée de fonds par appel public à l’épargne. Il a aussi demandé aux Ivoiriens qui veulent placer de l’argent d’aller sur le marché financier. «Au lieu de se tourner vers d’autres structures informelles», a-t-il insisté. L’opération de cotation doit permettre à l’Etat de Côte d’Ivoire de remettre sur le marché financier l’emprunt qu’il a pu mobiliser. Ainsi ces titres vont être mis en vente sur le marché financier régional de l’UEMOA.
De sorte que les sociétés et structures cotées à la Bourse des valeurs mobilières d’Abidjan (BRVM) puissent les acheter avec des intérêts. Lancé le 16 avril 2007, l’emprunt obligataire TPCI 6% 2007-2010 portant sur un montant de 30 milliards de Fcfa a pris fin le 16 mai dernier sur une note de satisfaction. 51,2 milliards Fcfa ont été mobilisés par l’ensemble des souscripteurs, personnes physiques et morales, dans l’espace UEMOA. Soit un taux de souscription de 172%. Le ministre de l’Economie et des Finances, M. Diby Charles, s’en était d’ailleurs félicité à la fin de l’opération.
Pour lui, cela traduit le fait que “la qualité de la signature de l’Etat est restée intacte. En 6 émissions, le trésor public ivoirien a mobilisé plus de 350 milliards de Fcfa.


Source: Fraternité Matin

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admin27 septembre 2007
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2min2030

Le diabète et l’hépatite virale sont deux maladies très répandues en Côte d’Ivoire. C’est fort de ce constat qu’un groupe de naturothérapeutes conduits par Mme Ahou Championnat, propriétaire du cabinet Ivoire santé naturelle, située à Yopougon Ananeraie, a organisé une journée de consultation gratuite sur le diabète et l’hépatite virale, samedi dernier, dans les locaux dudit cabinet.



« Je peux affirmer que je suis satisfaite de l’organisation de cette journée, contre toute attente nous avons reçu la visite de plus de 150 personnes », soutient Mme Ahou Championnat.
La journée de consultation gratuite a été organisée, selon Ahou championnat, en collaboration avec un cabinet d’analyses médicales, pour les personnes qui n’avaient pas encore fait leurs analyses.
Les organisateurs ne se sont pas arrêtés à de simples consultations, ils avaient aussi sous la main des médicaments pour venir à bout de ces deux maladies. ‘’L’un de nos objectifs, à travers cette journée, était de faire découvrir aux malades du diabète et de l’hépatite de nouveaux médicaments relatifs à ces maladies », dixit Ahou Championnat.
Devant l’affluence des malades, la responsable du cabinet Ivoire Santé naturelle compte organiser très prochainement une autre journée et de vente de médicaments.
Le cabinet de Ivoire Santé naturelle, selon Ahou Championnat, reçoit aussi des médicaments de naturothérapeutes étrangers. « Après analyses et expérimentation nous les commercialisons. C’est donc dans ce cadre que nous avons organisé cette journée pour présenter ces médicaments qui soignent le diabète et l’hépatite virale », a conclu Mme Ahou Championnat.


Source: Le Front

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admin27 septembre 2007
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2min3010

Le directeur national de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), Yao Sahi, a été reçu hier, en audience par le Premier ministre, à son cabinet, au Plateau. Mettant à profit cette visite de courtoisie au Chef du gouvernement, au moment où la Côte d’Ivoire, après cinq ans de guerre, est dans un processus de normalisation de la vie économique et sociale, Yao Sahi et son hôte se sont appesantis sur le redéploiement des services financiers et bancaires dans la zone Centre, Nord et Ouest (CNO). «Vous savez que dans cette zone, nous avons trois agences qui, au cours des évènements que nous avons connus depuis 2002, ont subi des dégâts et des dommages. Et donc dans le processus actuel de redéploiement de systèmes financiers, nous sommes venus échanger un peu avec le Premier ministre, pour discuter des conditions d’évaluation de la réouverture de nos agences : conditions de sécurité, d’accompagnement…pour que des missions de la banque centrale puissent se rendre dans cette zone à l’effet d’évaluer, de manière précise, les différentes agences. Et puis, voir ce qu’il y a lieu de faire à l’effet de les réhabiliter et permettre leur réouverture», a-t-il dit, à sa sortie d’audience. Ce sont des missions, a indiqué le directeur national de la BCEAO, pluridisciplinaires qui seront composées d’agents locaux et de spécialistes venus du siège, à Dakar. « Le Premier ministre nous a donné les assurances nécessaires avec des points focaux de personnes que nous allons contacter. Et dès lors que nous aurons réuni les conditions nécessaires, ces missions viendront», a affirmé Yao Sahi. Qui a ensuite ajouté que le gouvernement et la direction nationale sont pressés que les choses se mettent en place.


Source: Fraternité Matin

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