Guide santé Archives - Page 12 sur 51 - Urgences - Parce que la santé est primordiale!

admin3 mai 2010
bf-examen-medical.jpg
1min2320

Quatre postes privés de santé ont été fermés ces trois derniers mois, à de Mbanza-Kongo, province de Zaire, à cause des irrégularités techniques dans leur fonctionnement, a informé vendredi, dans cette ville, le chef de département d’inspection de la direction locale de la Santé,Saldanha Masumu Ma Nza.


Selon le responsable, ces irrégularités sont des anomalies dans la prescription de médicaments aux malades, dont les ordonances laissaient implites la dose et la durée du traitement.


Il a révélé que d’autres inspections à caractère pédagogiques avaient été réalisées, au cours de la même période, dans des unité commerciales, pharmaceutiques et boulangeries dans la ville de Mbanza-Kongo.


A cet effet, Saldanha Masumu Ma Nza a informé qu’il existait 83 pharmacies et 28 postes de santé, réconnus par son département au niveau de toute la région, fonctionnant dans des conditions exigées par les autorités compétentes.

Lire la suite

admin3 mai 2010
bf-examen-medical.jpg
1min2330

Quatre postes privés de santé ont été fermés ces trois derniers mois, à de Mbanza-Kongo, province de Zaire, à cause des irrégularités techniques dans leur fonctionnement, a informé vendredi, dans cette ville, le chef de département d’inspection de la direction locale de la Santé,Saldanha Masumu Ma Nza.


Selon le responsable, ces irrégularités sont des anomalies dans la prescription de médicaments aux malades, dont les ordonances laissaient implites la dose et la durée du traitement.


Il a révélé que d’autres inspections à caractère pédagogiques avaient été réalisées, au cours de la même période, dans des unité commerciales, pharmaceutiques et boulangeries dans la ville de Mbanza-Kongo.


A cet effet, Saldanha Masumu Ma Nza a informé qu’il existait 83 pharmacies et 28 postes de santé, réconnus par son département au niveau de toute la région, fonctionnant dans des conditions exigées par les autorités compétentes.

Lire la suite

admin30 avril 2010
photo_1259586868058-1-0.jpg
7min2270

Malgré les campagnes de sensibilisation et de prévention sur le SIDA, la pandémie continue de faire des ravages au Cameroun. Selon les chiffres du plan stratégique de lutte contre le SIDA, ce pays a enregistré environ 60.000 nouvelles infections en 2009 et 33.000 décès liés à la maladie.


La prise en charge des personnes vivant avec le VIH/SIDA constitue un axe majeur de la politique sanitaire de l’Etat camerounais soutenu par ses partenaires internationaux. Pour 2010 par exemple, selon les chiffres du Comité national de lutte contre le SIDA (CNLS), le Cameroun dépensera quelque 490,9 millions de francs CFA (environ un million de dollars) pour l’accès aux traitements et soins en faveur des enfants et adultes vivant avec le VIH/SIDA.


Face aux dépenses considérables consacrées à l’achat des médicaments pour soigner les malades du SIDA, un nouvel espoir est venu de Douala, la capitale économique du Cameroun, où a été inauguré, le 8 avril, le laboratoire de la Compagnie industrielle pharmaceutique (Cinpharm). La Cinpharm envisage de fabriquer, à partir de juin, des médicaments génériques parmi lesquels les anti-rétroviraux (ARV) à des prix coûtant de 30 pour cent à 40 pour cent moins chers – et d’égale qualité – que ceux disponibles actuellement sur le marché national.


L’implantation de ce laboratoire pharmaceutique ne sera pas seulement une aubaine pour le gouvernement du Cameroun qui pourra réaliser de substantielles économies dans l’acquisition des ARV. Les malades du SIDA se sentiront aussi soulagés.


Selon le fondateur du Cinpharm, Célestin Tawamba, le coût global des investissements mobilisés pour l’implantation du laboratoire, s’élève à quelque 11 milliards FCFA (environ 22,9 millions de dollars).


«Le gouvernement ne subventionne que les anti-rétroviraux de première ligne et de deuxième ligne. Les ARV de troisième ligne ne sont pas encore subventionnés et coûtent extrêmement chers. Les malades qui sont sous ARV de troisième ligne doivent se prendre en charge eux-mêmes», a expliqué à IPS, Hilarion Fortuné Manga, président du comité directoire du Réseau des associations des personnes affectées ou infectées par le VIH au Cameroun (Rapaic).


Pour les malades du SIDA sous ARV de troisième ligne, la fabrication de ces ARV au Cameroun sera un soulagement car la plupart des personnes qui ont développé une résistance aux ARV de deuxième ligne doivent souvent être évacués vers les pays développés pour le traitement aux ARV de troisième ligne.


Comme les ARV de première ligne et de deuxième ligne sont gratuits pour les malades depuis 2007 dans ce pays d’Afrique centrale, les ARV de troisième ligne seront également subventionnés dès qu’ils seront disponibles au laboratoire du Cinpharm, affirme Dr Ibilié Abessouguié, secrétaire exécutif du CNLS.


Selon les spécialistes, il devient urgent pour le gouvernement et ses partenaires d’acquérir les ARV à des prix plus abordables par rapport au nombre de malades en constante progression. En 2009, seuls 76.228 personnes étaient sous ARV sur un total de 164.070 infectés au VIH, soit 46,6 pour cent seulement des personnes qui étaient potentiellement dans le besoin de ce traitement, selon le CNLS.


Le Raipac exprime toutefois quelques inquiétudes par rapport aux ARV qui seront produits par la Cinpharm. «Est-on vraiment sûr que ces génériques seront certifiés et de bonne qualité? En outre, est-ce certain qu’ils seront moins chers? Car si les comprimés sont fabriqués à 10 FCFA par exemple et sont taxés à 20 FCFA, ils reviendront chers. Donc, il faut accorder des facilités fiscales à cette compagnie», explique le président du Raipac.


Ces inquiétudes ont trouvé leurs réponses le jour de l’inauguration du laboratoire. «On est assuré que Cinpharm pourra fabriquer des médicaments de haute qualité qui répondent aux normes internationales», a affirmé à IPS, Markus Geibel, représentant de la Société allemande d’investissement et de développement (DEG), un des partenaires financiers du laboratoire.


Pour sa part, le ministre de la Santé publique, André Mama Fouda, a exprimé le soutien du gouvernement camerounais à cette initiative du Cinpharm. «Plus la chaîne de distribution des médicaments est courte, moins il y a des risques de trafics», avait-il déclaré notamment le jour de l’inauguration du laboratoire.


Mais, les patients soulèvent une autre inquiétude : la mise sous ARV nécessite au préalable la réalisation d’un bilan thérapeutique pour les malades. Ce bilan est facturé à 3.000 FCFA (environ 6,25 dollars) au patient qui sera remboursé plus tard par le gouvernement.


Tous les patients n’ont pas toujours cette somme à payer, souligne Manga à IPS, indiquant, par ailleurs, qu’il est parfois demandé à certains patients de débourser 14.800 FCFA (environ 30 dollars) au lieu de 3.000 FCFA. Ce qui complique davantage la situation.


«Je ne sais pas pourquoi ils le font, mais nous avons reçu les plaintes de certains malades et nous avons déjà attiré l’attention des autorités là-dessus, et nous sommes en train de mener nos enquêtes», ajoute le président du Raipac.

Lire la suite

admin30 avril 2010
photo_1259586868058-1-0.jpg
7min2170

Malgré les campagnes de sensibilisation et de prévention sur le SIDA, la pandémie continue de faire des ravages au Cameroun. Selon les chiffres du plan stratégique de lutte contre le SIDA, ce pays a enregistré environ 60.000 nouvelles infections en 2009 et 33.000 décès liés à la maladie.


La prise en charge des personnes vivant avec le VIH/SIDA constitue un axe majeur de la politique sanitaire de l’Etat camerounais soutenu par ses partenaires internationaux. Pour 2010 par exemple, selon les chiffres du Comité national de lutte contre le SIDA (CNLS), le Cameroun dépensera quelque 490,9 millions de francs CFA (environ un million de dollars) pour l’accès aux traitements et soins en faveur des enfants et adultes vivant avec le VIH/SIDA.


Face aux dépenses considérables consacrées à l’achat des médicaments pour soigner les malades du SIDA, un nouvel espoir est venu de Douala, la capitale économique du Cameroun, où a été inauguré, le 8 avril, le laboratoire de la Compagnie industrielle pharmaceutique (Cinpharm). La Cinpharm envisage de fabriquer, à partir de juin, des médicaments génériques parmi lesquels les anti-rétroviraux (ARV) à des prix coûtant de 30 pour cent à 40 pour cent moins chers – et d’égale qualité – que ceux disponibles actuellement sur le marché national.


L’implantation de ce laboratoire pharmaceutique ne sera pas seulement une aubaine pour le gouvernement du Cameroun qui pourra réaliser de substantielles économies dans l’acquisition des ARV. Les malades du SIDA se sentiront aussi soulagés.


Selon le fondateur du Cinpharm, Célestin Tawamba, le coût global des investissements mobilisés pour l’implantation du laboratoire, s’élève à quelque 11 milliards FCFA (environ 22,9 millions de dollars).


«Le gouvernement ne subventionne que les anti-rétroviraux de première ligne et de deuxième ligne. Les ARV de troisième ligne ne sont pas encore subventionnés et coûtent extrêmement chers. Les malades qui sont sous ARV de troisième ligne doivent se prendre en charge eux-mêmes», a expliqué à IPS, Hilarion Fortuné Manga, président du comité directoire du Réseau des associations des personnes affectées ou infectées par le VIH au Cameroun (Rapaic).


Pour les malades du SIDA sous ARV de troisième ligne, la fabrication de ces ARV au Cameroun sera un soulagement car la plupart des personnes qui ont développé une résistance aux ARV de deuxième ligne doivent souvent être évacués vers les pays développés pour le traitement aux ARV de troisième ligne.


Comme les ARV de première ligne et de deuxième ligne sont gratuits pour les malades depuis 2007 dans ce pays d’Afrique centrale, les ARV de troisième ligne seront également subventionnés dès qu’ils seront disponibles au laboratoire du Cinpharm, affirme Dr Ibilié Abessouguié, secrétaire exécutif du CNLS.


Selon les spécialistes, il devient urgent pour le gouvernement et ses partenaires d’acquérir les ARV à des prix plus abordables par rapport au nombre de malades en constante progression. En 2009, seuls 76.228 personnes étaient sous ARV sur un total de 164.070 infectés au VIH, soit 46,6 pour cent seulement des personnes qui étaient potentiellement dans le besoin de ce traitement, selon le CNLS.


Le Raipac exprime toutefois quelques inquiétudes par rapport aux ARV qui seront produits par la Cinpharm. «Est-on vraiment sûr que ces génériques seront certifiés et de bonne qualité? En outre, est-ce certain qu’ils seront moins chers? Car si les comprimés sont fabriqués à 10 FCFA par exemple et sont taxés à 20 FCFA, ils reviendront chers. Donc, il faut accorder des facilités fiscales à cette compagnie», explique le président du Raipac.


Ces inquiétudes ont trouvé leurs réponses le jour de l’inauguration du laboratoire. «On est assuré que Cinpharm pourra fabriquer des médicaments de haute qualité qui répondent aux normes internationales», a affirmé à IPS, Markus Geibel, représentant de la Société allemande d’investissement et de développement (DEG), un des partenaires financiers du laboratoire.


Pour sa part, le ministre de la Santé publique, André Mama Fouda, a exprimé le soutien du gouvernement camerounais à cette initiative du Cinpharm. «Plus la chaîne de distribution des médicaments est courte, moins il y a des risques de trafics», avait-il déclaré notamment le jour de l’inauguration du laboratoire.


Mais, les patients soulèvent une autre inquiétude : la mise sous ARV nécessite au préalable la réalisation d’un bilan thérapeutique pour les malades. Ce bilan est facturé à 3.000 FCFA (environ 6,25 dollars) au patient qui sera remboursé plus tard par le gouvernement.


Tous les patients n’ont pas toujours cette somme à payer, souligne Manga à IPS, indiquant, par ailleurs, qu’il est parfois demandé à certains patients de débourser 14.800 FCFA (environ 30 dollars) au lieu de 3.000 FCFA. Ce qui complique davantage la situation.


«Je ne sais pas pourquoi ils le font, mais nous avons reçu les plaintes de certains malades et nous avons déjà attiré l’attention des autorités là-dessus, et nous sommes en train de mener nos enquêtes», ajoute le président du Raipac.

Lire la suite

admin28 avril 2010
afrique1mintogo2.jpg
3min2340

Le Ministre de la santé publique, de la population et de la lutte
contre le Sida André Nalké Dorogo a présidé ce jour, dans l’hémicycle
du palais de l’Assemblée Nationale, l’ouverture de l’atelier
d’information et de sensibilisation sur la Campagne pour l’accélération
de la réduction de la mortalité maternelle en Afrique (CARMMA).
Lire la suite

admin28 avril 2010
afrique1mintogo2.jpg
3min2190

Le Ministre de la santé publique, de la population et de la lutte
contre le Sida André Nalké Dorogo a présidé ce jour, dans l’hémicycle
du palais de l’Assemblée Nationale, l’ouverture de l’atelier
d’information et de sensibilisation sur la Campagne pour l’accélération
de la réduction de la mortalité maternelle en Afrique (CARMMA).
Lire la suite

admin27 avril 2010
neuroppaludisme.jpg
2min2440

Le paludisme tue chaque année 180.000 personnes dont un nombre important de femmes enceintes et d’enfants de moins de cinq ans en RD Congo, a déploré le ministre de la Santé publique, Victor Makweng Kaput, à l’occasion de la Journée mondiale du paludisme célébrée dimanche.


Selon le ministre, le paludisme constitue la première cause de morbidité et la troisième cause de mortalité chez les enfants de moins de 5 ans, un enfant congolais faisant en moyenne 10 épisodes de fièvre paludique par an.


En RDC, 68 pour cent des consultations externes et 30 pour cent des hospitalisations concernent le paludisme, alors que seulement 20 pour cent de la population fréquente les structures médicales, ce qui veut dire, a observé le ministre, qu’il faut multiplier ces chiffres par cinq pour mesurer l’ampleur des ravages du paludisme en termes de pertes en vies humaines et pour mesurer le fardeau socio-économique.


Selon le ministre, le paludisme est un des facteurs de pauvreté avéré de la population quand on considère les pertes causées par l’absentéisme à l’école et au travail et les frais des funérailles.


Il a appelé ses compatriotes à une prise de conscience pour combattre « jusqu’à son dernier retranchement cette endémie qui ravage plus qu’un tsunami ».

Lire la suite

admin26 avril 2010
6min2200

L’Etat du Sénégal a décidé de rendre gratuits, à partir du 1-er mai sur l’ensemble du territoire, les médicaments à base de dérivés d’artémisinine (ACT), prescrits contre le paludisme, pour rester dans la dynamique des actions entreprises dans la lutte contre la maladie.


« La mesure va être effective le 1er mai », a annoncé le ministre de la Santé et de la Prévention médicale, Modou Diagne Fada, dimanche lors de la célébration de la Journée mondiale de lutte contre le paludisme, organisée à Mbirkilane (Kaffrine).


Pour le ministre de la Santé, plusieurs actes ont été posés dans cette lutte contre le paludisme avec notamment l’introduction des médicaments ACT en 2006, la baisse de moitié du prix des médicaments ACT et l’introduction des tests de diagnostic rapide qui sont dispensé gratuitement dans toutes les structures sanitaires publiques.


Il a aussi cité la distribution gratuite de plus de 3 millions de moustiquaires imprégnées aux enfants de moins de 5ans, lors des campagnes de supplémentation en vitamine A.


Modou Diagne a fait ces déclarations devant les populations mobilisées très tôt le matin au terrain de basket de Mbirkilane.
Lire la suite

admin24 avril 2010
6a00d83451a26b69e201156f5abcfa970c-500wi.jpg
5min2300

La Journée mondiale contre le paludisme, commémorée le 25 avril, est l’occasion d’attirer l’attention sur les efforts déployés par la communauté internationale pour maîtriser cette maladie potentiellement mortelle transmise aux humains par les piqûres de moustiques contaminées.


Au Sud Soudan, où le taux de paludisme est répandu et persistant, touchant jusqu’à 36% de la population, le PNUD a intensifié ses efforts de prévention, de dépistage et de traitement de la maladie, surtout pour les femmes enceintes, qui sont spécialement vulnérables. La grossesse affaiblit l’immunité au paludisme, augmentant les chances d’anémie grave, de fausse couche, de mortinatalité et d’insuffisance pondérale à la naissance, cause majeure de mortalité infantile.


Le Programme de lutte contre le paludisme du PNUD, produit également, en partenariat avec l’Organisation mondiale de la santé, le Consortium contre le paludisme et Vision mondiale des statistiques actualisées mises à la disposition du ministère de la santé et d’autres organismes pour les aider à freiner la maladie. En outre, le PNUD a formé des milliers d’agents des services de santé pour qu’ils puissent aider la population à mieux prévenir et combattre l’épidémie.


Le programme, financé par le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme a officiellement mis fin à ses activités le mois dernier.


« Les activités du programme ont connu un énorme succès », a déclaré Gerard Van Mourik, coordonnateurdu Fonds mondial. « Bien plus de 700.000 moustiquaires imprégnées d’insecticides de longue durée ont été distribuées aux populations ciblées au Sud Soudan. Près de 83.000 femmes enceintes ont reçu un traitement préventif intermittent, sous forme de médicaments antipaludiques spéciaux, de moustiquaires imprégnées d’insecticides et de bonne gestion du paludisme et de l’anémie maternelle « .


La vulnérabilité particulière des femmes enceintes au paludisme a été longtemps ignorée, mais de nouvelles approches, comme celles proposées par l’initiative du PNUD, sous forme de traitement préventif intermittent à l’aide de médicaments antipaludiques, offrent l’espoir d’une diminution du fardeau du paludismependant les grossesses et d’une amélioration de la santé des mères et des nourrissons.


L’histoire de Martha


En 2009, le Programme de lutte contre le paludisme a permis de créer l’unité de soins de santé primaires à Wouwou, dans le Lakes State, au Sud Soudan. En coopération avec l’organisation locale Arkangelo Ali Association, le PNUD a ouvert ce centre, tout en continuant à assurer le traitement préventif aux membres de la communauté, en particulier les femmes enceintes.


« Je ne dois plus marcher des heures pour avoir mon traitement », raconte Martha, l’une des femmes qui a bénéficié du traitement. Elle a également rapporté moins de cas de paludisme dans sa famille.


Le prochain projet du PNUD financé par le Fonds mondial devra démarrer en juin 2010 et aura pour objectif de renforcer les systèmes de santé au Sud Soudan, y compris la construction et la réhabilitation des établissements d’enseignement, l’organisation d’ateliers de travail, la mise en place de laboratoires, de dépôts de sang, de dispensaires de soins prénatals, et de centres communautaires.


Le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme a été constitué pour accroître sensiblement les ressources nécessaires à la lutte contre trois des maladies les plus redoutables du monde, et pour les diriger vers les activités qui en ont le plus besoin. Le PNUD est le principal bénéficiaire des ressources du Fonds mondial depuis 2004 et administre à présent cinq projets au nom du Gouvernement du Sud Soudan.

Lire la suite

Page 12 de 51
1 8 9 10 11 12 13 14 15 16 51