Guide santé Archives - Page 43 sur 51 - Urgences - Parce que la santé est primordiale!

Un nouveau site Internet, entièrement dédié aux allergies alimentaires des tout-petits, vient d’arriver sur la Toile. Avec 6% des enfants d’âge scolaire concernés, il sera certainement le bienvenu ! Définitions, avis d’experts, témoignages… Tout y est pour une meilleure compréhension -et donc une meilleure prise en charge- de votre enfant.

Elaboré par une société spécialisée en aliments diététiques et médicalisés – la société SHS Ltd – le site www.club-allergie.fr se veut une aide et un guide « afin que toutes les familles puissent vivre une vie normale ». Blanc d’œuf, arachide, lait, additifs variés… Pas évident en effet de jongler avec tous les produits de l’alimentation actuelle, sans mettre en péril la santé de votre enfant. D’ailleurs c’est connu, l’allergie alimentaire ne se soigne pas, elle se vit…

Le nouveau portail propose une navigation simple, conviviale et interactive. Un chapitre est ainsi entièrement consacré à la reconnaissance des symptômes de l’allergie, avec un état des lieux et des réponses aux questions essentielles face à la suspicion d’un risque allergique. Et pour les parents qui souhaiteraient entrer directement en contact avec des professionnels de santé, une section « Avis d’Experts » est à leur disposition.

Source: fr.news.yahoo.com

L’essai d’un vaccin contre le paludisme au Mozambique a démontré qu’il pouvait être utilisé en toute sécurité sur des nourrissons. En outre, il a révélé des promesses probantes quant à la protection des bébés face à cette infection. Les résultats ont été publiés sur ‘The Lancet’. Ce vaccin (la GlaxoSmithKline ‘RTS,S/AS02D’) stimule la production d’anticorps pouvant lutter contre le Plasmodium falciparum, parasite responsable du paludisme. Des chercheurs du centre de recherche de Manhica au Mozambique ont inoculé le vaccin expérimental, à 214 nourrissons, en même temps que d’autres vaccins communément administrés aux nourrissons. Ce vaccin a déjà été testé chez des enfants âgés de 1 à 4ans et il a été démontré qu’il permettait de réduire aussi bien les risques d’infection que la maladie. Ce récent test concernait des nourrissons âgés de 10 à 18 semaines, nés dans une région du Mozambique où le paludisme est endémique. L’essai dont l’objectif était de tester l’innocuité du vaccin expérimental a démontré que pendant six mois de suivi, les bébés ont supporté les trois doses sans effets secondaires importants. Les chercheurs ont découvert, que le vaccin stimulait la production d’anticorps et son efficacité face à une nouvelle infection, après trois mois de suivi, était de 65%. Le vaccin réduit également les épisodes de paludisme clinique de l’ordre de 35% pendant six mois de suivi. Les auteurs précisent néanmoins que d’autres essais sont nécessaires pour tester son efficacité contre la maladie de façon rigoureuse. Christian Loucq, le directeur de l’organisme PATH Malaria Vaccine Initiative qui a aidé au financement de l’essai, affirme que ce résultat a une portée significative pour les enfants africains. C’est un indicateur positif du succès du vaccin sur les enfants. Il salue le fait qu’il puisse être administré en même temps que d’autres vaccins pour enfants. Il continue en ces termes : «Les programmes de vaccination pour enfants sont effectifs et couvrent un grand nombre de bébés en Afrique. En ajoutant ce nouveau vaccin au programme, nous maximiserons la couverture vaccinale». Il souligne enfin l’importance du vaccin dans la lutte contre le paludisme, en combinaison avec l’utilisation des moustiquaires et la pulvérisation des pesticides. D’ici le second semestre 2008, les chercheurs espèrent commencer la phase III des essais, qui consiste à tester l’efficacité contre la maladie.

Source: news.abidjan.net Lire la suite

Le monde entier a célébré le 01 décembre dernier, la journée internationale de lutte contre le VIH/SIDA. Dans le rapport 2007 publié par l’ONU SIDA, le nombre de nouvelles infections a chuté .Celui des personnes vivant avec le virus du sida s’est stabilisé, indique le même rapport. Mais les chiffres publiés à l’occasion de la journée mondiale de lutte contre cette maladie, célébrée tous les1er décembre sont loin d’être réjouissants pour l’Afrique sub-saharienne, où la maladie reste la première cause de mortalité .Et ce en dépit de nombreux résultats encourageants. Sur les 33,2 millions de personnes infectées dans le monde, 68% vivent en Afrique subsaharienne, soit 22, 5 millions d’individus. Le nombre de ceux qui ont contracté le virus du sida en 2007 s’élève à 2,5 millions dont 1,7 sur « le continent noir ». Quant aux décès dus au sida 2, 1 millions en 2007 au total, l’Afrique a encore payé un lourd tribut de cette pandémie en enregistrant 76% d’entre eux. Par ailleurs, les femmes sont toujours les premières victimes du sida dans cette partie du globe, soit 61% des individus vivant avec le VIH. A l’échelle du continent, les nouvelles contaminations ont diminué par rapport à l’année 2001. Cependant, des efforts restent encore à faire parce que la région reste « très sévèrement touchée », en dépit de constats encourageants souligne l’Onu sida .Le rapport note aussi que « Les efforts constants d’intensification des traitements et de prévention du VIH donnent des résultats dans certains pays ». Ils ont notamment porté leurs fruits, au Kenya, au Zimbabwe et en Côte d’Ivoire où le taux est passé de 8% à 4,7%. Ces pays enregistrent de fait une baisse de leur prévalence nationale. Au Botswana, au Cameroun, au Kenya, au Malawi, au Tchad, au Togo, en Zambie ou encore au Zimbabwe, c’est la tendance à la baisse des comportements à risque parmi les jeunes, les 15-24 ans, qui constitue un motif d’encouragement. Pourtant, poursuit le document, « la mortalité due au sida reste élevée en Afrique du fait de l’ampleur des besoins de traitements non satisfaits ». Actuellement, 88% des personnes vivant avec le VIH et le sida n’ont accès à aucun traitement médical anti-VIH.Dans ce contexte, la prévention reste encore le meilleur moyen de circonscrire le fléau. La journée cette année a été mise sur le « leadership » pour enrayer la pandémie du sida. Son efficacité a déjà été constatée lors de nombreuses campagnes de sensibilisation. Notamment en Afrique du Sud où le fait que Nelson Mandela ait reconnu publiquement que son second fils était mort du sida, a eu un impact considérable dans la lutte contre le sida dans ce pays. Mais en attendant que ce leadership s’affirme davantage à tous les niveaux de la société, la maladie fera encore de nombreux ravages sur le continent tant que les gens n’adoptent pas de comportement responsable.

Source:/news.abidjan.ne

Un lot de produits et équipements médicaux d’une valeur de plus de 2 milliards a été remis au ministère de la Santé et de l’Hygiène publique. Avec la somme de 2 milliards octroyée par le Japon au cours d’un protocole le 20 février 2007, l’UNICEF a acheté des vaccins et du matériel de la chaîne de froid. L’équipement a été remis au ministère de la Santé et de l’Hygiène publique, hier au siège du Programme élargi de vaccination (PEV) à Marcory zone 3. Il s’agit de vaccins contre la polio (760,200 doses), la rougeole (644,200 doses), le tétanos, la fièvre jaune, la tuberculose, etc.
En ce qui concerne le matériel de la chaîne de froid, le représentant-résident de l’UNICEF, Youssouf Oomar, a fait cas de 130 réfrigérateurs, 15 congélateurs et 100 glacières «qui vont permettre de renforcer les capacités de la Côte d’Ivoire afin de conserver correctement les vaccins». Il a souligné par ailleurs l’achat de 361.200 moustiquaires imprégnées d’insecticide de longue rémanence. Le représentant de l’UNICEF s’est réjoui de la protection accordée ainsi aux femmes et enfants de Côte d’Ivoire. «Grâce au gouvernement japonais, bientôt les enfants âgés de moins de 5 ans et les femmes enceintes qui constituent les groupes les plus vulnérables pour le paludisme, seront davantage protégés contre ce fléau qui reste la première cause de mortalité en Côte d’Ivoire et tue encore plus de 27.000 enfants de moins d’un an par année», a-t-il dit. Selon lui, le défi en matière de mortalité maternelle ne peut être relevé que, entre autres, par «l’amélioration du système de santé par le renforcement des capacités techniques et matérielles à tous les niveaux, notamment au niveau périphérique; une meilleure gouvernance et l’engagement de l’Etat pour la stratégie de survie de l’enfant».
En sa qualité de donateur, le gouvernement du Japon a promis son soutien à la Côte d’Ivoire. Et le chargé d’affaires. Kazuhiko Nishiuchi d’affirmer: «Le gouvernement japonais voudrait jouer un rôle essentiel dans le cadre de la lutte contre le paludisme et les maladies infectieuses en Afrique et en particulier en Côte d’Ivoire». En Afrique, le Japon va distribuer, selon lui, «10 millions de moustiquaires jusqu’à la fin de 2007, dans le cadre de son initiative sur la santé et le développement annoncée en 2005».
Le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique, a promis à travers son représentant, le Pr Andoh Joseph, une bonne utilisation de ces dons. D’abord par la couverture vaccinale des populations fragiles, ensuite par la bonne conservation des vaccins.

Source: fraternité matin

L’Association des agents nationaux de l’ONUCI a décidé de venir en aide aux enfants victimes du VIH/SIDA et aux handicapés de Côte d’Ivoire. Ce sera la première action publique. L’information a été donnée récemment, au cours d’un point de presse au siège de l’ONUCI, à Sebroko, par son président, M. Claude Tamo, exerçant au département de l’information. Et la levée de fonds aura lieu le 1er décembre, Journée de lutte contre le VIH/SIDA. Au cours d’un dîner-gala de bienfaisance doublé d’une soirée spectacle prévu à 20 heures, à l’hôtel du Golf. Les bénéficiaires ont déjà été identifiés grâce au Réseau ivoirien des personnes vivant avec le VIH/SIDA dans le premier cas et dans le second, ira au Centre des handicapés de la Riviera. Les organisateurs bénéficient du soutien de l’USAID, de l’UNICEF, de l’Association des personnels des Nations unies en Côte d’Ivoire et des fonctionnaires internationaux de l’ONU. Plusieurs personnalités notamment ivoiriennes ont été invitées. L’Association des agents nationaux de l’ONUCI compte 370 membres sur un effectif d’environ 500 agents. C’est une association à la fois mutualiste et syndicale, conformément au régime des Nations unies. Dans ce cadre, elle œuvre pour le bien-être des travailleurs en même temps qu’elle défend leurs droits devant la direction. Notamment, quand ils sont victimes d’injustice ou pour des problèmes d’avancement.
Son souhait est que davantage d’Ivoiriens soient envoyés en mission à l’étranger.
Paulin N. Zobo
• La CNPS va marcher sur la pandémie
La CNPS marche sur le VIH/sida». C’est le thème choisi par la Caisse nationale de prévoyance sociale pour commémorer la Journée mondiale de lutte contre le sida, samedi prochain. Une marche sportive va cristalliser ce thème. Ouverte uniquement aux agents de la CNPS, elle est prévue sur un circuit de cinq kilomètres à travers la commune du Plateau. Elle partira du siège de l’institution pour y aboutir. Au-delà de sa symbolique, cette marche a pour objectif, selon le président du comité national de lutte contre le sida de la CNPS, M. Jean Marie Bilé, de briser les barrières hiérarchiques et créer un climat convivial entre les agents et montrer l’engagement de l’institution dans la lutte contre ce fléau. Toutefois, elle ne relèguera pas aux oubliettes une préoccupation chère à M. Bilé : amener les agents de l’institution à faire leur test de dépistage. « Nous avons un problème de dépistage au sein de l’institution. Nous avons demandé à nos agents de se faire dépister, mais très peu ont répondu à l’appel », confie-t-il. En marge de cette marche, des entretiens sont prévus avec des médecins à l’effet de lever les dernières hésitations.
Les médecins du personnel, eux, sont déjà à l’œuvre afin de minimiser tout risque lié à cette marche. Ne seront autorisés à y prendre part que les agents déclarés aptes, certificat médical du médecin du personnel à l’appui.

Source: Fraternité Matin

La Côte d’Ivoire accueille le dimanche prochain une grande réunion des responsables des sociétés de cardiologie des pays de l’espace francophone africain. Il s’agit selon le professeur Kakou Guikahué, président de la Société ivoirienne de cardiologie, de développer au sein de ce groupe, un esprit de solidarité en vue de faire la promotion de la cardiologie dans cet espace culturel. Ce sont donc pour cette réunion, 35 à 40 cardiologues y compris plusieurs autres qui pratiquent cette discipline qui vont réfléchir sur des thèmes précis dont celui de l’impact de la cardiologie fœtale sur la cardiologie pédiatrique et adulte. Une autre conférence sera dite également sur l’échographie cardiaque. Au terme donc de cette rencontre qui va durer jusqu’au lundi, les participants qui auront à leur côté un professeur canadien, vont adopter une charte organisationnelle des cardiologues de l’espace francophone d’Afrique. Le ministre Guikahué a par ailleurs précisé que ce forum n’est pas ouvert au public. Cependant, il a promis la mise en place d’un journal scientifique d’expression en langue française : »le journal cardiologique tropical » qui va certainement vulgariser cette discipline.

Source: Le Nouveau Reveil

Les autorités sanitaires britanniques ont annoncé mercredi l’abattage de 68.000 volailles dans un nouvel élevage par mesure de précaution, une semaine après la réapparition de la souche hautement pathogène du virus de la grippe aviaire H5N1 dans l’est de l’Angleterre.

Les infrastructures de cet élevage qui se trouve dans la zone de surveillance à cheval sur les comtés du Norfolk et du Suffolk ont été « en contact dangereux » avec l’exploitation dont la contamination par le virus a été confirmée le 13 novembre, a indiqué le ministère de l’Environnement, de l’Alimentation et des Affaires rurales (Defra) dans un communiqué.

« Cette décision a été prise en se basant sur de nouvelles informations qui indiquent la possibilité que les volailles de cette infrastructure puissent avoir été exposées à l’infection », a déclaré Fred Landeg, le chef des autorités vétérinaires par intérim.

56.000 canards, 9.000 dindes et 3.000 oies ont été abattus dans ce nouvel élevage de taille importante, s’ajoutant aux 29.000 volailles abattues précédemment depuis la mi-novembre dans la zone de surveillance.

Plus de 6.000 volailles avaient été abattues à la ferme de Redgrave Park, proche de Diss dans le Norfolk, où le virus a été identifié le 13 novembre. L’abattage avait ensuite été élargi à quatre élevages voisins.

Le dernier élevage soupçonné d’être contaminé est géré par Redgrave Poultry, la compagnie qui gère le site contaminé et les autres quatre autres où des abattages ont été décidé.

Cette nouvelle crise sanitaire apparaît alors que l’élevage britannique vient de connaître un été agité avec le retour de la fièvre aphteuse et de la maladie de la langue bleue.

Plus de quatre millions de dindes, poulets, canards et oies se trouvent dans la zone de surveillance de 10 km installée autour de Redgrave Park où sont concentrés de nombreux élevages.

Le précédent foyer détecté au Royaume-Uni remonte à fin mai. Il s’agissait d’une contamination au H7N2 d’un élevage de poulets au Pays de Galles.

Le dernier cas de H5N1 remonte à avril 2006, chez un cygne retrouvé en Ecosse. Le même mois, dans le Norfolk, 30.000 volailles avaient été tuées mais il ne s’agissait pas cette fois du H5N1.

Source: yahoo.news

Les grandes douleurs – séparation, perte d’emploi, deuil – exposent à des troubles du sommeil. Et ceci sur le long terme ! Selon un travail finlandais, ces troubles pourraient en effet persister jusqu’à six mois après un événement traumatisant.

Pendant 5 ans, les auteurs se sont intéressés au sommeil de plus de 19 000 Finlandais. Parmi les hommes les plus anxieux exposés à un événement négatif, le risque de présenter des troubles du sommeil était augmenté de 311%. « Nous avons constaté que le fait d’être particulièrement sensible au stress accroissait considérablement le niveau de risque », précisent les auteurs.

En effet, le risque est augmenté de « seulement » 113% chez des hommes moins sensibles aux situations de stress. « Notre travail nous a également permis de montrer que des événements particulièrement durs à vivre peuvent déclencher des troubles du sommeil chez des personnes qui en étaient pourtant indemnes ». D’où l’importance d’en parler avec son médecin afin de mettre en place la stratégie la plus adaptée.

Source: yahoo.news

Lueur d’espoir pour les diabétiques ! Le prix de l’insuline passe de 19 000 F à 3 700 F désormais sur le marché ivoirien. Cette chute de prix est la résultante d’une table ronde organisée à l’Institut national de la santé publique (INSP), mercredi dernier, à la faveur de la journée mondiale de lutte contre le diabète. Initiée par le Programme national de lutte contre les maladies métaboliques (PNLMM) et des laboratoires fournisseurs d’insuline, elle avait pour thème : «la problématique de l’accessibilité à l’insuline».
Face aux difficultés des diabétiques, le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique a émis le vœu d’avoir facilement et gratuitement accès à l’insuline sur tout le territoire ivoirien comme en Algérie et en Tunisie. Le diabète, soulignera le Pr. Adrien Lokrou, directeur-coordonnateur du PNLMM, est un problème majeur de santé publique à l’échelle mondiale. Cette maladie, a-t-il signalé, touche aujourd’hui 246 millions d’individus et fait un décès toutes les 10 secondes dans le monde. Il a indiqué qu’il faut une mobilisation générale contre ce fléau du nouveau millénaire qui affecte un million d’Ivoiriens dont environ 170 000 enfants et adolescents. L’insuline est le seul moyen de salut pour ceux-ci.
« Le diabète de l’enfant et de l’adolescent » ; tel est le thème choisi cette année. Le Lions club a offert à cette occasion un chèque de 2,7 millions en insuline à la Nouvelle association des diabétiques.

Source: Fraternité Matin

Le mécontentement général exprimé par les populations a eu raison de prof. PLO JEANNOT, ex Directeur général du CHU Bouaké. Elle lui reprochait sa gestion opaque appuyée en cela par les Forces nouvelles. Il a été remplacé à ce poste par le prof N’DRI N’GUESSAN qui a été installé hier matin à la tête du CHU de Bouaké par M. ALLAH KOUADIO REMI, Ministre de la santé publique et de l’hygiène. Le nouveau Directeur Général a exprimé toute sa reconnaissance au Ministre pour la confiance placé en lui. Puis, il a demander le soutient de tous la population pour mener a bien sa tache. Il a fait savoir que l’une de ses priorités demeure les urgences où l’on doit améliorer les prestations qui restent à désirer. L’ex Directeur Général du CHU de Bouaké s’est refusé de tout commentaire, prétextant qu’il attend le moment opportun pour donner sa version des faits. Néanmoins il estime qu’il a été injustement accusé.

Source:Fraternité matin