Général - Catégorie d'Articles - Urgences - Parce que la santé est primordiale!

admin4 octobre 2007
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3min2140

Des chercheurs de huit pays africains ont réclamé jeudi une relance des systèmes de recherche agricoles détruits lors des récents conflits armés qui les ont déchirés, pour mettre fin à l’insécurité alimentaire qui menace au moins 70 millions de personnes selon eux.


Ces chercheurs, venus de Côte d’Ivoire, de la République démocratique du Congo, du Congo, de la République centrafricaine, du Tchad, de la
Guinée-Bissau, du Libéria et de la Sierra Leone, ont lancé cet appel à
l’occasion d’une réunion de trois jours entamée mercredi à Abidjan.


« Cette rencontre vise élaborer un plan de réhabilitation et de relance de
notre dispositif de recherche scientifique, sur lequel est basé le
développement de l’agriculture dans nos pays », a expliqué à l’AFP Christophe Kouamé, responsable de la coopération internationale au Centre national ivoirien de recherche agronomique (CNRA), qui a pris l’initiative de ce séminaire.


Les chercheurs espèrent que ce plan de relance, une fois ébauché, recevra « l’appui des gouvernements » concernés « et des partenaires du développement ».


« Les systèmes nationaux de recherche agronomique ont été très sévèrement affectés par la guerre. Cette perte considérable a des répercussions énormes et durables sur la production », a expliqué Marie-Noëlle Koyara, de l’Organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO) en Côte d’Ivoire.


« Plus de 70% des 110 millions d’habitants de ces pays travaillent dans
l’agriculture, qui y participe à plus 30% du produit intérieur brut (PIB),
voire 70% pour le Libéria », a souligné M. Kouamé.


Selon lui, 30% des populations du nord et l’ouest de la Côte d’Ivoire, pays
autrefois considéré comme modèle en Afrique de l’Ouest, « n’arrivent plus à avoir le minimum pour manger chaque jour ». « Et il est à craindre que cela va s’accroître si rien n’est fait d’ici deux ou trois ans », s’est-il alarmé.


Source: AFP

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admin4 octobre 2007
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2min2870

La Mutuelle générale des fonctionnaires et agents de l’Etat a un nouveau directeur général. Il se nomme Adon Mossan. Il a été désigné par le conseil d’administration réuni vendredi dernier pour succéder à M. Traoré Dohia Mamadou, administrateur délégué dans les fonctions de directeur général depuis le mois de mars dernier. La passation des charges entre les deux hommes aura lieu ce matin. Ce changement de tête à la direction générale est le troisième que connaît la Mutuelle depuis le début de cette année 2007 qui s’avère fort mouvementée pour elle. Suite au réaménagement intervenu au sein du Conseil d’administration après le décès en octobre 2006 de son président Bégnana Bogui Jean-Baptiste, le directeur général Yao Touré Albert avait été débarqué en février dernier pour des raisons qui restent toujours obscures. Son successeur, Tapé Goze, n’assurera qu’un très bref intérim de trois semaines avant d’être remplacé en mars par M. Traoré Dohia Mamadou. Le 30 août dernier, une assemblée générale a mis fin au mandat du Conseil d’administration dirigé par M. Hyacinthe Adiko Niamkey. Le nouveau conseil mis en place est dirigé par M. Joseph Holland N’Da, un ancien de l’institution. M. Adon Mossan qui revêt les habits de directeur général ce matin n’est pas inconnu, lui non plus. Administrateur civil de son état, il était jusqu’à un passé récent conseiller technique de l’ancien directeur général Yao Touré Albert.


Source: Fraternité Matin

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admin2 octobre 2007
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2min2080

Deux kilogrammes de cocaïne pure ont été saisis le mercredi à l’aéroport Félix Houphouet- Boigny de Port-Bouët, par la brigade des stupéfiants de la Direction des enquêtes douanières a annoncé jeudi, son Directeur, le Colonel Toro Ipeaud.
Le colis prohibé a été découvert sur Adebayo Ebunoya, une femme originaire du Nigeria qui s’apprêtait à prendre le vol 0784 de la Compagnie Emirates à destination de Londres via Dubaï. Conditionnée dans de petits paquets en plastique de 2 cm d’épaisseur et 38 cm de longueur, la drogue était dissimulée dans une espèce de culotte fabriquée pour la circonstance et qu’elle portait sous son pagne. La valeur sur le marché de cette prise est de 27 millions de francs CFA. « Il y a bientôt un mois, j’ai donné des instructions à mes éléments en poste à l’aéroport pour intensifier leur contrôle au niveau de la brigade des stupéfiants. Et ils ont su réagir à travers ce beau coup de filet qui contribue à crédibiliser davantage notre aéroport », a commenté le Colonel Toro Ipeaud. « A l’issue de l’enquête préliminaire qui a débuté dès mercredi, la prévenue sera remise entre les mains des institutions judiciaires « , a-t-il poursuivi. C’est la troisième fois, en l’espace de trois années que la brigade des stupéfiants de la Direction des enquêtes douanières fait des saisies importantes de drogues dures à l’aéroport Félix Houphouet-Boigny. En 2005, 27 boulettes de cocaïne avaient été saisies et 4 kg de la même substance en 2006.


Source: Fraternité Matin

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admin2 octobre 2007
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4min2230

Depuis de nombreuses années, la Côte d’Ivoire aspire à être la Rotterdam d’Afrique. A New York où il se trouvait pour participer à l’assemblée générale de l’ONU, le Chef de l’Etat a intégré cet aspect dans les contacts qu’il a eus. Ainsi, il a consacré une bonne partie de la journée du 24 septembre dernier pour essayer de poser les bases de la réalisation de cet objectif.
Avec Yar’Adua, son homologue nigérian, Laurent Gbagbo a évoqué le renforcement des relations pétrolières entre les deux pays. Depuis novembre 2003, sous le mandat du général Olusegun Obasanjo, le Nigeria met à la disposition de la Côte d’Ivoire une allocation de 30 mille barils par jour. Le Chef de l’Etat ivoirien a demandé la reconduction de cette allocation qui a permis à la Société ivoirienne de raffinage (SIR) de réaliser des performances historiques. Mieux, il a souhaité une augmentation de ce volume.
Les deux Chefs d’Etat ont aussi traité la question du West african gaz pipe compagny (WAPCO). Ce gazoduc ouest-africain va transporter le gaz flairé produit au Nigeria en direction de trois pays ouest-africains: le Bénin, le Togo et le Ghana. La Côte d’Ivoire ne fait pas partie des premiers bénéficiaires de ce grand projet. Celui-ci ouvrant des perspectives pour la production d’électricité et plus tard le développement de la pétrochimie dans notre pays, Laurent Gbagbo a négocié avec son homologue nigérian afin que cette donne soit reconsidérée à l’effet d’intégrer la Côte d’Ivoire dans le WAPCO.
Sur sa lancée, Laurent Gbagbo a rencontré trois émissaires de la compagnie Energy Allied international conduits par Mike Nassar, président du conseil d’administration de cette société. Les discussions ont porté sur la construction, à Abidjan, d’une raffinerie de pétrole pouvant traiter 60 mille barils par jour et principalement des bruts en provenance de Côte d’Ivoire, d’Angola, de la Guinée Equatoriale et du Nigeria. L’objectif de cette deuxième raffinerie est non seulement de valoriser les bruts africains, mais de conquérir l’exigeant marché américain avec des produits de très grande qualité. Dès ce mois d’octobre, une mission de prospection se rendra à Abidjan pour la définition du site et des détails techniques.
Une autre mission est également attendue prochainement à Abidjan. C’est celle des responsables de Grynberg petroleum compagny. Jack J. Grynberg, président de la société, a annoncé au Chef de l’Etat son intention d’établir en Côte d’Ivoire une plantation de canne à sucre sur une superficie de plus de 60 mille ha pour la production d’éthanol destiné à la fabrication de biocarburant. A cet effet, Laurent Gbagbo a invité les responsables de cette compagnie à effectuer une visite en Côte d’Ivoire pour approfondir le projet avec les deux ministères concernés: Agriculture, Mines et Energie.


Source: Fraternité Matin

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admin28 septembre 2007
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2min2330

La 1ère cotation en bourse de l’emprunt obligataire TPCI 6% 2007-2010 a eu lieu ce 26 septembre à Abidjan-Plateau. Ce sont au total 150 titres qui ont été introduits sur le marché financier régional de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA). Ces titres ont été rachetés à 1,5 million de Fcfa. A cette occasion, le Directeur de cabinet du ministre de l’Economie et des Finances, M. Kouamé Yao Bernard, a appelé les Ivoiriens à avoir une culture financière afin d’accroître les participations des individus dans les différentes opérations de levée de fonds par appel public à l’épargne. Il a aussi demandé aux Ivoiriens qui veulent placer de l’argent d’aller sur le marché financier. «Au lieu de se tourner vers d’autres structures informelles», a-t-il insisté. L’opération de cotation doit permettre à l’Etat de Côte d’Ivoire de remettre sur le marché financier l’emprunt qu’il a pu mobiliser. Ainsi ces titres vont être mis en vente sur le marché financier régional de l’UEMOA.
De sorte que les sociétés et structures cotées à la Bourse des valeurs mobilières d’Abidjan (BRVM) puissent les acheter avec des intérêts. Lancé le 16 avril 2007, l’emprunt obligataire TPCI 6% 2007-2010 portant sur un montant de 30 milliards de Fcfa a pris fin le 16 mai dernier sur une note de satisfaction. 51,2 milliards Fcfa ont été mobilisés par l’ensemble des souscripteurs, personnes physiques et morales, dans l’espace UEMOA. Soit un taux de souscription de 172%. Le ministre de l’Economie et des Finances, M. Diby Charles, s’en était d’ailleurs félicité à la fin de l’opération.
Pour lui, cela traduit le fait que “la qualité de la signature de l’Etat est restée intacte. En 6 émissions, le trésor public ivoirien a mobilisé plus de 350 milliards de Fcfa.


Source: Fraternité Matin

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admin28 septembre 2007
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2min2080

L’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) encourage les parties ivoiriennes à mener jusqu’à leur terme les audiences foraines, a annoncé jeudi la mission onusienne dans un communiqué.


L’ONUCI « se félicite que le redémarrage des opérations se soit déroulé sans incident et exhorte tous les acteurs concernés à s’impliquer en vue de leur réussite qui sera cruciale dans la mise en oeuvre de l’accord d’Ouagadougou », annonce-t-elle dans le communiqué.


Elle continuera d’apporter son assistance aux autorités concernées, en s’assurant que les audiences foraines et le processus d’identification qu’elles vont conduire correspondent bien aux normes internationales en vigueur en la matière, poursuit le texte.


La Côte d’Ivoire a procédé mardi à la reprise des audiences foraines, phase pilote de l’identification de la population, qui vise à donner des jugements supplétifs d’acte de naissance à des personnes âgées d’au moins 13 ans et non déclarées à l’état civil, dans le cadre des préparatifs des élections, sans cesse d’être reportées en raison de désaccords politiques.


Lancée en juillet 2006, l’opération avait été interrompue suite à des affrontements meurtriers entre militants de l’opposition et partisans du camp présidentiel opposés sur le mode opératoire qui prévoyait la délivrance simultanée des certificats de nationalité et des jugements supplétifs d’acte de naissance.


La présente opération sera sécurisée par le Centre de commandement intégré (CCI) constitué des éléments des deux forces ex-belligérantes qui va mobiliser environ 1200 hommes.


La question de la nationalité est au coeur de l’ex-rébellion des Forces nouvelles qui occoupe la moitié nord du pays suite à coup d’Etat raté contre le président Laurent Gbagbo en septembre 2002.


Source: Xinhuanet

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admin27 septembre 2007
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4min2500

Un milliard de personnes dans le monde sont dépourvues d’une protéine musculaire qui favorise les efforts violents. Ce changement a dû aider nos ancêtres à endurer de longues marches et à affronter le froid.


EN 1999, Kathryn North, de l’université de Sydney, découvre que 18 % des personnes d’origine européenne sont dépourvues d’une protéine importante, l’alpha actinine 3 (ACTN3). Cette protéine des muscles squelettiques est utilisée par les fibres à contraction rapide sollicitées lors d’un effort violent. Pourtant, toutes les personnes qui en sont dépourvues se portent bien.


 Poursuivant leur enquête, les chercheurs se tournent alors vers les athlètes de leur pays et découvrent que toutes les sprinteuses d’élite possèdent l’ACTN3. Chez les hommes, elle est toujours présente lorsqu’ils pratiquent un sport nécessitant un effort intense au niveau olympique.


 L’ACTN3 paraît donc indispensable à l’activité musculaire rapide des athlètes. En revanche, son absence semble favoriser les efforts plus soutenus : la proportion d’athlètes qui en sont dépourvus augmente avec le recours à l’endurance et culmine chez les marathoniennes australiennes.


 L’ACTN3 est le premier marqueur musculaire connu pour les sports demandant un effort intense. « Mais cela n’est valable que pour les populations d’origine européenne ou asiatique, précise Kathryn North, déficientes pour une large part en ACTN3. Celles d’Afrique ont conservé le gène non muté de l’ACTN3 et expriment donc la protéine. »


 Mieux utiliser l’oxygène


 Quel avantage a pu conférer cette mutation pour qu’elle soit devenue aussi fréquente dans le monde, plus d’un milliard de personnes étant actuellement dépourvues d’ACTN3 ?


 Un premier élément de réponse vient d’être fourni dans la revue Nature Genetics par Kathryn North et son équipe. Après avoir inactivé le gène de l’ACTN3 chez des souris, ils ont constaté que les fibres musculaires rapides de ces animaux étaient mieux adaptées pour utiliser l’oxygène, se rapprochant ainsi du métabolisme aérobie des fibres lentes recrutées pour l’endurance. Placées sur un tapis roulant, les souris mutantes parcourent 33 % de distance de plus que les autres, confirmant l’avantage initialement observé chez les marathoniennes australiennes. Au lieu de brûler rapidement, mais partiellement, l’énergie disponible sous forme de sucres, une bonne part de la masse musculaire devient capable de l’exploiter plus complètement pour fournir un effort plus prolongé.


 « Nous pouvons maintenant expliquer comment cette variation génétique agit sur les performances sportives, explique Kathryn North, mais aussi pourquoi elle est devenue aussi répandue dans la population générale : un métabolisme utilisant plus efficacement l’oxygène peut avoir aidé les hommes à survivre dans leur migration hors d’Afrique, une fois confrontés à la famine et à un environnement plus hostile et plus froid. »


 Il existe ainsi un lien fascinant entre des facteurs intervenus dans la survie des hommes par le passé et ceux contribuant à leurs capacités athlétiques actuelles.


Source: Le figaro

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admin27 septembre 2007
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2min2910

Le directeur national de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), Yao Sahi, a été reçu hier, en audience par le Premier ministre, à son cabinet, au Plateau. Mettant à profit cette visite de courtoisie au Chef du gouvernement, au moment où la Côte d’Ivoire, après cinq ans de guerre, est dans un processus de normalisation de la vie économique et sociale, Yao Sahi et son hôte se sont appesantis sur le redéploiement des services financiers et bancaires dans la zone Centre, Nord et Ouest (CNO). «Vous savez que dans cette zone, nous avons trois agences qui, au cours des évènements que nous avons connus depuis 2002, ont subi des dégâts et des dommages. Et donc dans le processus actuel de redéploiement de systèmes financiers, nous sommes venus échanger un peu avec le Premier ministre, pour discuter des conditions d’évaluation de la réouverture de nos agences : conditions de sécurité, d’accompagnement…pour que des missions de la banque centrale puissent se rendre dans cette zone à l’effet d’évaluer, de manière précise, les différentes agences. Et puis, voir ce qu’il y a lieu de faire à l’effet de les réhabiliter et permettre leur réouverture», a-t-il dit, à sa sortie d’audience. Ce sont des missions, a indiqué le directeur national de la BCEAO, pluridisciplinaires qui seront composées d’agents locaux et de spécialistes venus du siège, à Dakar. « Le Premier ministre nous a donné les assurances nécessaires avec des points focaux de personnes que nous allons contacter. Et dès lors que nous aurons réuni les conditions nécessaires, ces missions viendront», a affirmé Yao Sahi. Qui a ensuite ajouté que le gouvernement et la direction nationale sont pressés que les choses se mettent en place.


Source: Fraternité Matin

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admin26 septembre 2007
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8min2150

Pourquoi une bicyclette sans personne dessus peut-elle rouler ? En creusant cette question, des scientifiques ont modélisé intégralement les forces en jeu et savent maintenant prédire le comportement routier d’une bicyclette en cours de conception. De quoi introduire la révolution e chez les constructeurs de vélos.


« Les fabricants de bicyclettes n’ont jamais été capables de dire précisément comment fonctionne une bicyclette » explique catégoriquement Arend Schwab, chercheur au département d’ingénierie de l’université Delft de technologie (TU Delft), en Hollande. Imagine-t-on un constructeur automobile qui ne saurait pas dire pourquoi ses voitures roulent ou un ingénieur d’Airbus ignorer les principes du vol ?


Persuadé que cela ne pouvait plus durer, Arend Schwab s’est attelé à cette question ardue, qui trouble d’innombrables bambins depuis un siècle et demi : comment un vélo tient-il sur deux roues seulement ? Les chercheurs ont évacué le cas, trop, simple, où un être humain juché sur l’engin en assure lui-même la stabilité. Non, le vrai mystère, c’est celui de la bicyclette solitaire qui, sur sa lancée, continue son bonhomme de chemin.


Pour venir à bout de cette question, il n’a pas fallu moins de trois équipes internationales, une américaine de l’université Cornell et une britannique, de l’université de Nottingham, ayant rejoint les Hollandais de la TU Delft. Le résultat est un modèle numérique tout à fait sérieux, prenant en compte les multiples forces s’appliquant sur un deux-roues et capable de prédire le comportement de n’importe vélo dont on fournit les caractéristiques. Leurs résultats viennent d’être publiés dans la revue Proceedings of the Dutch Royal Society.


Comme un avion


Le texte publié sur le site de la TU Delft relate une expérience sur un tapis roulant. Un cycliste y pédale jusqu’à une certaine vitesse. Arend Schwab tente alors de le déséquilibrer en tirant sur une corde attachée au vélo. La bicyclette ne fait qu’une légère embardée et revient sur sa ligne, sans que le cycliste ne soit vraiment intervenu.


L’explication du phénomène est que le vélo est naturellement stable dans une certaine plage de vitesses. Plus rapide ou plus lent, le cycliste aurait dû rattraper son engin. « La vitesse doit être comprise entre 14 et 22 kilomètres à l’heure » précise Jodi Kooijman, un des chercheurs impliqués dans ce travail. Et d’ajouter : « Notre modèle prédit exactement ce comportement ».


Grâce à leur outil numérique, il devient effectivement possible d’analyser le comportement d’une bicyclette en cours de conception ou, à l’inverse, de déterminer précisément ce qu’il faut modifier pour aboutir à des performances recherchées (stabilité, vitesse, poids…). Il ne s’agit ni plus ni moins que de faire entrer la fabrication de vélo dans l’ère du numérique, aux côtés des constructeurs de voitures ou d’avions qui utilisent depuis longtemps des modèles sur Source : Futura-sciences


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admin26 septembre 2007
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3min2570

Le gouvernement a adopté un projet de décret pour relancer les activités de la CNMCI (Chambre Nationale de Métiers de Côte d’Ivoire). Cette annonce a été faite, le mardi 25 septembre 2007, par le CSAC (chef du service autonome de la communication) du ministère du Tourisme et de l’Artisanat, Koné Satigui. Selon lui, la CNMCI connaît depuis quelques mois d’incessantes crises. En effet, Koné Satigui annonce que les revendications des artisans portent sur la légitimité de leurs dirigeants. Il ajoute que le mandat de ces responsables a expiré depuis bientôt un an. C’est pour répondre aux attentes des artisans que le gouvernement a adopté en Conseil le projet de décret qui dote la CNMCI d’un comité transitoire de gestion, précise le CSAC. Pour Koné Satigui, le comité transitoire de gestion est l’organe de décision de la CNMCI. Pour ce faire, il doit veiller à l’organisation des élections crédibles pour désigner les nouveaux dirigeants de ladite Chambre, souligne le communiqué. Aux dires de Koné Satigui, le gouvernement, en adoptant ce projet de décret, affiche sa volonté de restructurer ce secteur qui regorge de deux (2) millions d’acteurs. C’est pourquoi, le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Sidiki Konaté a tout mis en œuvre pour obtenir l’adoption dudit projet décret, affirme-t-il. Il faut noter que la CNMCI a pour mission, conformément au décret N°2001-426 du 18 juillet 2001, de contribuer à l’organisation et à la modernisation du secteur des métiers. A ce titre, l’adoption du FAPA (fonds d’appui à la promotion de l’artisanat) par le Conseil des ministres vise à pallier l’absence d’aide financière à ce secteur, dit le CSAC. Pour conclure, Koné Satigui indique que rien ne justifierait les convulsions dans le secteur après ces sacrifices consacrés par l’Etat.


Source: L’intelligent d’Abidjan

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